[Sel, Marcel] Elise
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[Sel, Marcel] Elise
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[Sel, Marcel]
Editions Onlit
Elise
2019
435 pages
Quatrième de couverture
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, François est obnubilé par la dernière phrase prononcée par Elise May, son amour de jeunesse. Celle qui lui avait dit sa haine du Führer quelques semaines auparavant, a crié avec conviction « Heil Hitler » un soir de janvier 1945, avant de poser son front contre l’arme du soldat de l’armée rouge qui lui fait face, prêt à l’abattre. François a besoin de comprendre ce cri. Quarante ans plus tard, il décide de refaire le voyage jusqu’à la « Tanière du Loup » où Elise fut une des goûteuses du dictateur.
Mon avis
On imagine que c’est François marié avec Rita, une survivante amnésique des camps, qui raconte son parcours pour retourner sur les lieux ou il a connu Elise, car il fut prisonnier et parce qu’il a déclaré savoir traire les vaches, il est placé dans un manoir dont Ellinor Frefrau est la propriétaire. Elise et Hilda y travaille mais elle font aussi partie des quinze goûteuses de Hitler, les deux jeunes gens amoureux l’un de l’autre, mais il faut se cacher pour s’aimer, les voix s’entrecroisent dont celle Elise qui raconte et nous l’accompagnons lors des séances de musique avec François au manoir, dieu comme ils étaient heureux. Mais voilà, l’armée russe envahit l’Allemagne et c’est l’horreur provoquée par les exactions des soldats russes surtout à l’égard des femmes, dont les goûteuses d’Hitler. Ceci pour l’ambiance du roman car la guerre quel quelle soit est toujours incompréhensible. C’est un roman interpellant, fort et fracassant, qui prend aux tripes, François un personnage attachant qui essaye de surmonter son abandon par les deux femmes qu’il a aimées, Rita pages et Elise et cherche le moyen de survivre à toutes les horreurs qu’il a vécues, la fiction et la réalité donnent une meilleure compréhension de la guerre par de nombreux aspects en imaginant que l’on puisse comprendre l’incompréhensible de la violence de toutes guerres. Un magnifique roman qui aurait pu être un coup de coeur, la raison en est que je n’ai pas trop aimé le style oral, lorsque c’est François qui raconte, il y a d’ailleurs des mots exprimés en galo-mainiot sans doute parce que François est de souche rural. 4,5/5
Editions Onlit
Elise
2019
435 pages
Quatrième de couverture
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, François est obnubilé par la dernière phrase prononcée par Elise May, son amour de jeunesse. Celle qui lui avait dit sa haine du Führer quelques semaines auparavant, a crié avec conviction « Heil Hitler » un soir de janvier 1945, avant de poser son front contre l’arme du soldat de l’armée rouge qui lui fait face, prêt à l’abattre. François a besoin de comprendre ce cri. Quarante ans plus tard, il décide de refaire le voyage jusqu’à la « Tanière du Loup » où Elise fut une des goûteuses du dictateur.
Mon avis
On imagine que c’est François marié avec Rita, une survivante amnésique des camps, qui raconte son parcours pour retourner sur les lieux ou il a connu Elise, car il fut prisonnier et parce qu’il a déclaré savoir traire les vaches, il est placé dans un manoir dont Ellinor Frefrau est la propriétaire. Elise et Hilda y travaille mais elle font aussi partie des quinze goûteuses de Hitler, les deux jeunes gens amoureux l’un de l’autre, mais il faut se cacher pour s’aimer, les voix s’entrecroisent dont celle Elise qui raconte et nous l’accompagnons lors des séances de musique avec François au manoir, dieu comme ils étaient heureux. Mais voilà, l’armée russe envahit l’Allemagne et c’est l’horreur provoquée par les exactions des soldats russes surtout à l’égard des femmes, dont les goûteuses d’Hitler. Ceci pour l’ambiance du roman car la guerre quel quelle soit est toujours incompréhensible. C’est un roman interpellant, fort et fracassant, qui prend aux tripes, François un personnage attachant qui essaye de surmonter son abandon par les deux femmes qu’il a aimées, Rita pages et Elise et cherche le moyen de survivre à toutes les horreurs qu’il a vécues, la fiction et la réalité donnent une meilleure compréhension de la guerre par de nombreux aspects en imaginant que l’on puisse comprendre l’incompréhensible de la violence de toutes guerres. Un magnifique roman qui aurait pu être un coup de coeur, la raison en est que je n’ai pas trop aimé le style oral, lorsque c’est François qui raconte, il y a d’ailleurs des mots exprimés en galo-mainiot sans doute parce que François est de souche rural. 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 07/04/2010
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