L'Ile sans sourire [Fernandez, Enrique]
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L'Ile sans sourire (Enrique Fernandez)
L'Ile sans sourire [Fernandez, Enrique]
L'ILE SANS SOURIRE (Enrique Fernandez)
éd. Drugstore
Le Mot de l'éditeur :
Quand une fillette tente d'apprendre à un adulte les secrets du bonheur de vivre. Un conte onirique et poétique porté par un dessin remarquable.
Yulkukany, l'île aux baleiniers. Un morceau de terre battu par les embruns, majoritairement occupé par une nature sauvage et grandiose, et ponctué de masures éparses habitées par des autochtones taciturnes et méfiants. Car nombreux sont les marins que la mer n'a pas rendus à leurs foyers... Milander Dean, géologue, débarque à Yulkukany en mission de recherche. Mais Dean cherche aussi et surtout un havre de tranquillité pour passer le temps. Seul. Un temps devenu abominablement long depuis la perte d'être chers. Un temps dont il n'a finalement plus que faire... Elianor, native de l'île, est au contraire la joie de vie incarnée. Une petite fille rêveuse, sensible, adorable comme tout, à l'imagination vive et sans limites, à la bonne humeur contagieuse. Si ce n'est que pour Dean la bonne humeur est justement une maladie. Et qu'il n'a pas l'intention de se laisser contaminer...
À mi-chemin des récits maritimes chers à Stevenson et de la fantasy animiste de Miyazaki, Enrique Fernandez construit un face-à-face superbe et déconcertant entre un adulte revenu de tout et une fillette à la confiance intacte en la vie. Nanti d'un graphisme de toute beauté, L'île sans sourire est une fable sensible et enchanteresse qui se double d'une étonnante et magnifique réflexion sur le bonheur et l'art de le conserver au chaud de son coeur. Une oeuvre appelée à faire date.
Enrique Fernandez
Enrique Fernandez est un jeune auteur espagnol admiré de toute la génération montante d'auteurs de BD pour la qualité de son graphisme, la remarquable expressivité de ses personnages et son grand talent de coloriste. Il a déjà publié une adaptation très appréciée du Magicien d'Oz (3 volumes chez Delcourt, sur scénario de David Chauvel) et une ambitieuse fresque de science-fiction, La mère des victoires, chez le même éditeur.
Ma critique :
Les graphismes sont très réussis, simples, efficaces...Ce n'est pas ma définition du beau mais la petite fille (Eli) n'en est pas moins attachante.
L'influence de Miyazaki est certaine, jusque dans les graphismes des créatures étranges qui peuplent cette île.
C'est une jolie histoire qui serait très convenue s'il n'y avait justement le côté onirique du récit et celui farfelu de la petite fille.
A lire par curiosité...
éd. Drugstore
Le Mot de l'éditeur :
Quand une fillette tente d'apprendre à un adulte les secrets du bonheur de vivre. Un conte onirique et poétique porté par un dessin remarquable.
Yulkukany, l'île aux baleiniers. Un morceau de terre battu par les embruns, majoritairement occupé par une nature sauvage et grandiose, et ponctué de masures éparses habitées par des autochtones taciturnes et méfiants. Car nombreux sont les marins que la mer n'a pas rendus à leurs foyers... Milander Dean, géologue, débarque à Yulkukany en mission de recherche. Mais Dean cherche aussi et surtout un havre de tranquillité pour passer le temps. Seul. Un temps devenu abominablement long depuis la perte d'être chers. Un temps dont il n'a finalement plus que faire... Elianor, native de l'île, est au contraire la joie de vie incarnée. Une petite fille rêveuse, sensible, adorable comme tout, à l'imagination vive et sans limites, à la bonne humeur contagieuse. Si ce n'est que pour Dean la bonne humeur est justement une maladie. Et qu'il n'a pas l'intention de se laisser contaminer...
À mi-chemin des récits maritimes chers à Stevenson et de la fantasy animiste de Miyazaki, Enrique Fernandez construit un face-à-face superbe et déconcertant entre un adulte revenu de tout et une fillette à la confiance intacte en la vie. Nanti d'un graphisme de toute beauté, L'île sans sourire est une fable sensible et enchanteresse qui se double d'une étonnante et magnifique réflexion sur le bonheur et l'art de le conserver au chaud de son coeur. Une oeuvre appelée à faire date.
Enrique Fernandez
Enrique Fernandez est un jeune auteur espagnol admiré de toute la génération montante d'auteurs de BD pour la qualité de son graphisme, la remarquable expressivité de ses personnages et son grand talent de coloriste. Il a déjà publié une adaptation très appréciée du Magicien d'Oz (3 volumes chez Delcourt, sur scénario de David Chauvel) et une ambitieuse fresque de science-fiction, La mère des victoires, chez le même éditeur.
Ma critique :
Les graphismes sont très réussis, simples, efficaces...Ce n'est pas ma définition du beau mais la petite fille (Eli) n'en est pas moins attachante.
L'influence de Miyazaki est certaine, jusque dans les graphismes des créatures étranges qui peuplent cette île.
C'est une jolie histoire qui serait très convenue s'il n'y avait justement le côté onirique du récit et celui farfelu de la petite fille.
A lire par curiosité...
Invité- Invité
Re: L'Ile sans sourire [Fernandez, Enrique]
je suis grande fan de Miyazaki je vais le noter merci Caesonia
Invité- Invité
Re: L'Ile sans sourire [Fernandez, Enrique]
J'ai beaucoup aimé cet album.
L'île sans sourire s'apparente à un conte. Le rythme est à la fois rapide et lent, l'histoire fournie et peu dense. C'est l'histoire d'une rencontre, entre un homme triste et une fillette joyeuse, qui vont apprendre l'un de l'autre. L'homme réapprend à s'émerveiller et la fillette se retrouve confrontée à la douleur de la réalité. Un peu de fantastique se mêle, sombre, menaçant.
Le style de l'auteur est très identifiable pour qui en a déjà lu. Il emploie des jeux de lumières fabuleux, passant de l'obscurité à la lumière pure, illuminant son récit.
L'île sans sourire est une BD qui fait... sourire justement. Elle rend nostalgique, elle apporte de la tendresse. Un petit conte sans prétention qui laisse une agréable sensation après lecture.
L'île sans sourire s'apparente à un conte. Le rythme est à la fois rapide et lent, l'histoire fournie et peu dense. C'est l'histoire d'une rencontre, entre un homme triste et une fillette joyeuse, qui vont apprendre l'un de l'autre. L'homme réapprend à s'émerveiller et la fillette se retrouve confrontée à la douleur de la réalité. Un peu de fantastique se mêle, sombre, menaçant.
Le style de l'auteur est très identifiable pour qui en a déjà lu. Il emploie des jeux de lumières fabuleux, passant de l'obscurité à la lumière pure, illuminant son récit.
L'île sans sourire est une BD qui fait... sourire justement. Elle rend nostalgique, elle apporte de la tendresse. Un petit conte sans prétention qui laisse une agréable sensation après lecture.
Invité- Invité
Re: L'Ile sans sourire [Fernandez, Enrique]
Il s’agit d’une très belle bande-dessinée. L’histoire ressemble a un conte et les dessins me font penser à Miyazaki. Un bon moment de lecture.
Invité- Invité
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