[Martinez, Carole] Les roses fauves
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[Martinez, Carole] Ls roses fauves
[Martinez, Carole] Les roses fauves
[Martinez, Carole]
Les roses fauves
Editions Gallimard 20 août 2020
347 pages
Quatrième de couverture
"Peu après la sortie de mon premier roman, Le coeur cousu, une lectrice m'a raconté une coutume espagnole dont j'ignorais l'existence : dans la sierra andalouse où étaient nées ses aïeules, quand une femme sentait la mort venir, elle brodait un coussin en forme de coeur qu'elle bourrait de bouts de papier sur lesquels étaient écrits ses secrets. À sa mort, sa fille aînée en héritait avec l'interdiction absolue de l'ouvrir. J'ai métamorphosé cette lectrice en personnage.Lola vit seule au-dessus du bureau de poste où elle travaille, elle se dit comblée par son jardin. Dans son portefeuille, on ne trouve que des photos de ses fleurs et, dans sa chambre, trône une armoire de noces pleine des coeurs en tissu des femmes de sa lignée espagnole. Lola se demande si elle est faite de l'histoire familiale que ces coeurs interdits contiennent et dont elle ne sait rien. Sommes-nous écrits par ceux qui nous ont précédés ?Il faudrait déchirer ces coeurs pour le savoir..."C. M.Carole Martinez, formidable conteuse, libère ses personnages morts et vivants et nous embarque à leur suite dans un monde épineux où le merveilleux côtoie le réel et où poussent des roses fauves.
Mon avis
Dans ce roman on retrouve les coeurs cousus qui était une tradition ancestrale, cette histoire qui est née d’une ancienne carte, est contée par l’écrivaine qui en est la narratrice . Dans ce petit village de Trébuailles, avec elle, on fait la connaissance de Lola la postière qui paraît condamnée à une vie solitaire parmi les roses de son jardin, elle est en possession des coeurs cousus de ces ancêtres. Mais être le thème que l’écrivaine en mal d’écriture qui est à la recherche d’une inspiration pour le livre qu’elle va commencer à écrire. On va connaître l’histoire de l’arrière-grand-mère de Lola grâce aux petits papiers du coussin déchiré, qui m’a passionnée. C’est à partir de cette découverte chez Lola que nous lecteurs, allons avoir droit à deux histoires, l’une enchâssée dans l’autre, et moi j’ai commencé à décrocher après l’histoire du contenu du coussin car les rencontres entre le présent et les époques passées m’ont interrogées...Comment savoir si chacun est écrit par celles et ceux qui les précèdent ? Pour moi c’est le déclenchement d’un monde ou le réel côtoie l’imaginaire ou des roses fauves deviennent envahissantes dégageant un parfum entêtant ou Lola croit vivre une histoire d’amour et des passages qui m’ont parus emmêlés. Je dois avouer que ce roman m’a laissé désemparée parce que j’y ai trouvé beaucoup d’errance, ce qui m’a déçue….
Les roses fauves
Editions Gallimard 20 août 2020
347 pages
Quatrième de couverture
"Peu après la sortie de mon premier roman, Le coeur cousu, une lectrice m'a raconté une coutume espagnole dont j'ignorais l'existence : dans la sierra andalouse où étaient nées ses aïeules, quand une femme sentait la mort venir, elle brodait un coussin en forme de coeur qu'elle bourrait de bouts de papier sur lesquels étaient écrits ses secrets. À sa mort, sa fille aînée en héritait avec l'interdiction absolue de l'ouvrir. J'ai métamorphosé cette lectrice en personnage.Lola vit seule au-dessus du bureau de poste où elle travaille, elle se dit comblée par son jardin. Dans son portefeuille, on ne trouve que des photos de ses fleurs et, dans sa chambre, trône une armoire de noces pleine des coeurs en tissu des femmes de sa lignée espagnole. Lola se demande si elle est faite de l'histoire familiale que ces coeurs interdits contiennent et dont elle ne sait rien. Sommes-nous écrits par ceux qui nous ont précédés ?Il faudrait déchirer ces coeurs pour le savoir..."C. M.Carole Martinez, formidable conteuse, libère ses personnages morts et vivants et nous embarque à leur suite dans un monde épineux où le merveilleux côtoie le réel et où poussent des roses fauves.
Mon avis
Dans ce roman on retrouve les coeurs cousus qui était une tradition ancestrale, cette histoire qui est née d’une ancienne carte, est contée par l’écrivaine qui en est la narratrice . Dans ce petit village de Trébuailles, avec elle, on fait la connaissance de Lola la postière qui paraît condamnée à une vie solitaire parmi les roses de son jardin, elle est en possession des coeurs cousus de ces ancêtres. Mais être le thème que l’écrivaine en mal d’écriture qui est à la recherche d’une inspiration pour le livre qu’elle va commencer à écrire. On va connaître l’histoire de l’arrière-grand-mère de Lola grâce aux petits papiers du coussin déchiré, qui m’a passionnée. C’est à partir de cette découverte chez Lola que nous lecteurs, allons avoir droit à deux histoires, l’une enchâssée dans l’autre, et moi j’ai commencé à décrocher après l’histoire du contenu du coussin car les rencontres entre le présent et les époques passées m’ont interrogées...Comment savoir si chacun est écrit par celles et ceux qui les précèdent ? Pour moi c’est le déclenchement d’un monde ou le réel côtoie l’imaginaire ou des roses fauves deviennent envahissantes dégageant un parfum entêtant ou Lola croit vivre une histoire d’amour et des passages qui m’ont parus emmêlés. Je dois avouer que ce roman m’a laissé désemparée parce que j’y ai trouvé beaucoup d’errance, ce qui m’a déçue….
lalyre- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 07/04/2010
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