[Pagnol, Marcel] César
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Votre avis sur : César
[Pagnol, Marcel] César
Auteur : PAGNOL, Marcel
(Lien de la liste des livres de M. Pagnol présents sur le forum : Lien ICI )
Titre : César
(Tome 3 de la trilogie : Marius, Fanny, César)
Éditions de Fallois
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture :
Vingt ans ont passé. Marius est devenu garagiste à Toulon, Fanny est la riche madame Panisse, et César le parrain de Césario, le fils de Fanny, élève à Polytechnique. Lorsque Panisse meurt, il veut que le jeune homme apprenne qu'il n'était pas son véritable père...
Mon avis :
Dans ce troisième tome, toujours de l'humour (un peu moins quand même) mais beaucoup de mélancolie. Les personnages ont vieillis, Panisse disparait, le bébé Césario est devenu un jeune-homme et Fanny une riche et respectable veuve. Elle est reconnaissante à Panisse de lui avoir offert une vie paisible et facile. Elle a été une épouse exemplaire.
On apprend que Marius est revenu depuis longtemps de ses expéditions lointaines mais il vit désormais à Toulon et n'a plus interféré avec la vie du vieux port de Marseille et des personnages des deux premiers tomes.
Pourtant, maintenant que Césario sait, selon les dernières volontés de Panisse, qu'il n'était pas son véritable père, bien qu'il lui garde toute son affection, il veut connaitre ce fameux Marius, qui est son géniteur. Cela va déranger la tranquillité de tout le monde, à commencer par César et Fanny.... Mais naturellement, tout se termine bien !
- Je vote : Beaucoup apprécié ! -
extrait p.59
M. Brun
- Eh oui. Cette chaise vide est plus triste que son tombeau. Les poètes l'ont dit déjà. En souvenir de lui, écoutez quatre vers de Sully Prudhomme. C'est un grand écrivain, un grand poète, qui est momentanément considéré comme un imbécile. Écoutez :
C'est aux premiers regards portés
En famille autour de la table
Sur les sièges plus écartés
Que se fait l'adieu véritable.
extrait p.110
Marius
- Quand j'avais dix-huit ans, à force de voir des bateaux, il m'a pris l'envie de naviguer... Il me semblait que mon bonheur était de l'autre côté de la terre. J'y suis allé, il n'y était pas.
extrait
César
S'il faut toujours dire la vérité à la clientèle, il n'y a pas de commerce possible.
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Titre : César
(Tome 3 de la trilogie : Marius, Fanny, César)
Éditions de Fallois
Nombre de pages : 190
Quatrième de couverture :
Vingt ans ont passé. Marius est devenu garagiste à Toulon, Fanny est la riche madame Panisse, et César le parrain de Césario, le fils de Fanny, élève à Polytechnique. Lorsque Panisse meurt, il veut que le jeune homme apprenne qu'il n'était pas son véritable père...
Mon avis :
Dans ce troisième tome, toujours de l'humour (un peu moins quand même) mais beaucoup de mélancolie. Les personnages ont vieillis, Panisse disparait, le bébé Césario est devenu un jeune-homme et Fanny une riche et respectable veuve. Elle est reconnaissante à Panisse de lui avoir offert une vie paisible et facile. Elle a été une épouse exemplaire.
On apprend que Marius est revenu depuis longtemps de ses expéditions lointaines mais il vit désormais à Toulon et n'a plus interféré avec la vie du vieux port de Marseille et des personnages des deux premiers tomes.
Pourtant, maintenant que Césario sait, selon les dernières volontés de Panisse, qu'il n'était pas son véritable père, bien qu'il lui garde toute son affection, il veut connaitre ce fameux Marius, qui est son géniteur. Cela va déranger la tranquillité de tout le monde, à commencer par César et Fanny.... Mais naturellement, tout se termine bien !
- Je vote : Beaucoup apprécié ! -
extrait p.59
M. Brun
- Eh oui. Cette chaise vide est plus triste que son tombeau. Les poètes l'ont dit déjà. En souvenir de lui, écoutez quatre vers de Sully Prudhomme. C'est un grand écrivain, un grand poète, qui est momentanément considéré comme un imbécile. Écoutez :
C'est aux premiers regards portés
En famille autour de la table
Sur les sièges plus écartés
Que se fait l'adieu véritable.
extrait p.110
Marius
- Quand j'avais dix-huit ans, à force de voir des bateaux, il m'a pris l'envie de naviguer... Il me semblait que mon bonheur était de l'autre côté de la terre. J'y suis allé, il n'y était pas.
extrait
César
S'il faut toujours dire la vérité à la clientèle, il n'y a pas de commerce possible.
DameLecture- Membre connaisseur
-
Nombre de messages : 341
Localisation : france
Date d'inscription : 12/06/2021
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