[Girard, Sandrine] Hors de toi
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[Girad, Sandrine] Hors de toi
[Girard, Sandrine] Hors de toi
[Girard, Sandrine]
Hors de toi
Editions Calmann Lévy 18 août 2021
197 pages
Quatrième de couverture
"Puisqu’ils ne savent pas, puisque l’angoisse te suit partout où tu vas, c’est à toi, jour après jour, souffle après souffle, d’inventer ta survie."
Alice a cinq ans, six ans, sept ans, onze, quinze, vingt-cinq… Elle vit intensément chaque rencontre, chaque bain de mer, chaque instant. Et la rage bout en elle, une rage compacte qui explose par intermittence quand elle ne la retourne pas contre elle-même.
Ses parents ont divorcé. Ballottée d’un foyer à l’autre, elle endure en apnée la présence de ses beaux-parents: la cruauté d’une belle-mère jalouse, l’alcoolisme
d’un beau-père brutal. Nulle part, elle n’est en sécurité.
Ce qu’Alice cache, y compris derrière sa soif de vivre inextinguible, ce sont les violences qu’elle subit au quotidien. Car toutes ces années, Alice se tait.
Entre ombre et lumière, Hors de toi tisse une myriade de souvenirs qui se répondent dans un virtuose jeu d’échos, pour reconstituer au plus près des émotions le tourbillon brûlant d’une mémoire traumatique.
Mon avis
Ce roman c’est l’histoire d’une petite fille qui deviendra adulte marquée par son enfance, une vie d’ennui, de solitude et de souffrance , ballottée entre ses séjours chez son père ou Alice doit subir les insultes et des humiliations d’une belle-mère qui la déteste, chez sa mère elle doit faire face à la violence et la grossièreté d’un homme alcoolique qu’elle hait avec raison,. Il n’y a que chez sa grand-mère qu’elle se sent mieux et trouve la paix, bien sûr il y ses deux frères chez lesquels elle se sent en sécurité, bien qu’elle reste une enfant abusée qui ne reçoit aucun écho à sa douleur. Ce roman écrit à la deuxième personne du singulier c’est la découverte non chronologique de l’enchaînement de moments et de souvenirs qui ressurgissent telles les heureux moments de complicité avec ses amies d’école.. A la fin du roman, j’ai pensé à ces enfants victimes d’abus sexuels et autres, qui n’ont jamais pu en parler ne connaissant pas l’importance du dire. C’est une histoire qui m’a profondément bouleversée, une histoire qui ne se laissera pas oublier...4,5/5
Hors de toi
Editions Calmann Lévy 18 août 2021
197 pages
Quatrième de couverture
"Puisqu’ils ne savent pas, puisque l’angoisse te suit partout où tu vas, c’est à toi, jour après jour, souffle après souffle, d’inventer ta survie."
Alice a cinq ans, six ans, sept ans, onze, quinze, vingt-cinq… Elle vit intensément chaque rencontre, chaque bain de mer, chaque instant. Et la rage bout en elle, une rage compacte qui explose par intermittence quand elle ne la retourne pas contre elle-même.
Ses parents ont divorcé. Ballottée d’un foyer à l’autre, elle endure en apnée la présence de ses beaux-parents: la cruauté d’une belle-mère jalouse, l’alcoolisme
d’un beau-père brutal. Nulle part, elle n’est en sécurité.
Ce qu’Alice cache, y compris derrière sa soif de vivre inextinguible, ce sont les violences qu’elle subit au quotidien. Car toutes ces années, Alice se tait.
Entre ombre et lumière, Hors de toi tisse une myriade de souvenirs qui se répondent dans un virtuose jeu d’échos, pour reconstituer au plus près des émotions le tourbillon brûlant d’une mémoire traumatique.
Mon avis
Ce roman c’est l’histoire d’une petite fille qui deviendra adulte marquée par son enfance, une vie d’ennui, de solitude et de souffrance , ballottée entre ses séjours chez son père ou Alice doit subir les insultes et des humiliations d’une belle-mère qui la déteste, chez sa mère elle doit faire face à la violence et la grossièreté d’un homme alcoolique qu’elle hait avec raison,. Il n’y a que chez sa grand-mère qu’elle se sent mieux et trouve la paix, bien sûr il y ses deux frères chez lesquels elle se sent en sécurité, bien qu’elle reste une enfant abusée qui ne reçoit aucun écho à sa douleur. Ce roman écrit à la deuxième personne du singulier c’est la découverte non chronologique de l’enchaînement de moments et de souvenirs qui ressurgissent telles les heureux moments de complicité avec ses amies d’école.. A la fin du roman, j’ai pensé à ces enfants victimes d’abus sexuels et autres, qui n’ont jamais pu en parler ne connaissant pas l’importance du dire. C’est une histoire qui m’a profondément bouleversée, une histoire qui ne se laissera pas oublier...4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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