[Faber, Michel] Le Cinquième évangile
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Michel Faber - Le Cinquième évangile
[Faber, Michel] Le Cinquième évangile
éd. L'Olivier, 06-2009
204 p.
Traduit de l’anglais par Adèle Carasso.
Quatrième de couverture :
Theo Griepenkerl est un universitaire sans envergure à l’ego démesuré. Dans les décombres d’un musée à Bagdad, il découvre un trésor inestimable : les mémoires de Malchus, témoin des derniers jours de Jésus. Il ramène secrètement les neuf rouleaux de papyrus au Canada et s’empresse de les traduire. Publié par une obscure maison d’édition, son Cinquième Évangile est un immense succès. Mais Theo est dépassé par le scandale que provoquent les révélations de Malchus…
Drôle, irrévérencieux, palpitant, Le Cinquième Évangile tourne en dérision cette mode des textes anciens, censés révéler au monde « la » vérité. Ce roman à la loufoquerie très british est aussi une satire cinglante des mœurs de l’édition et de la culture de masse.
Mon avis :
Le roman précédent de Faber était tout son contraire, : drame historique dans l'Angleterre victorienne de plus de 500 pages, superbement bien écrit. Faber s'essaye ici à un tout autre registre ; le résultat est tout à fait honorable mais un peu "léger" à mon goût et pas seulement dans le nombre de pages.Certes, je me suis surprise à sourire...parfois...
Reste que la critique de la société est très bien menée et que le passage de la véritable attitude de Jésus sur la croix est savoureux (si on peut dire...). Faber malmène les croyances religieuses ou plus précisément l'attitude des croyants de tous bords. Il est de ce point de vue, effectivement, très irrévérencieux et c'est peut-être la seule raison avec la critique citée plus haut qui m'ait fait l'apprécier un tant soit peu...
Pour moi, il ne vaut guère plus qu'un 6/10
204 p.
Traduit de l’anglais par Adèle Carasso.
Quatrième de couverture :
Theo Griepenkerl est un universitaire sans envergure à l’ego démesuré. Dans les décombres d’un musée à Bagdad, il découvre un trésor inestimable : les mémoires de Malchus, témoin des derniers jours de Jésus. Il ramène secrètement les neuf rouleaux de papyrus au Canada et s’empresse de les traduire. Publié par une obscure maison d’édition, son Cinquième Évangile est un immense succès. Mais Theo est dépassé par le scandale que provoquent les révélations de Malchus…
Drôle, irrévérencieux, palpitant, Le Cinquième Évangile tourne en dérision cette mode des textes anciens, censés révéler au monde « la » vérité. Ce roman à la loufoquerie très british est aussi une satire cinglante des mœurs de l’édition et de la culture de masse.
Mon avis :
Le roman précédent de Faber était tout son contraire, : drame historique dans l'Angleterre victorienne de plus de 500 pages, superbement bien écrit. Faber s'essaye ici à un tout autre registre ; le résultat est tout à fait honorable mais un peu "léger" à mon goût et pas seulement dans le nombre de pages.Certes, je me suis surprise à sourire...parfois...
Reste que la critique de la société est très bien menée et que le passage de la véritable attitude de Jésus sur la croix est savoureux (si on peut dire...). Faber malmène les croyances religieuses ou plus précisément l'attitude des croyants de tous bords. Il est de ce point de vue, effectivement, très irrévérencieux et c'est peut-être la seule raison avec la critique citée plus haut qui m'ait fait l'apprécier un tant soit peu...
Pour moi, il ne vaut guère plus qu'un 6/10
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