[Liu, Cixin] La Mort immortelle
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[Liu, Cixin] La Mort immortelle
[Liu, Cixin] La Mort immortelle
Titre: La Mort immortelle
Auteur: Liu Cixin
Traducteur: Gwennaël Gaffric
Éditions: Actes Sud
Collection: Exofictions
Genre: Science-ficton
Époque: passé - présent - futur
814 pages
ISBN 978-2-330-11384-1
Quatrième de couverture
Un demi-siècle après l’Ultime Bataille, l’équilibre précaire dû à la dissuasion de la forêt sombre continue de maintenir les envahisseurs trisolariens à distance. La Terre jouit d’une prospérité sans précédent grâce au transfert des connaissances et des technologies trisolariennes. La science humaine connaît des progrès pour ainsi dire quotidiens, les Trisolariens découvrent avec fascination une nouvelle culture et l’espoir grandit que les deux civilisations puissent bientôt coexister pacifiquement sans la terrible menace d’une annihilation réciproque. Mais lorsqu’une ingénieure en aéronautique originaire du début du XXIe siècle sort de son hibernation, elle réveille avec elle le souvenir d’un programme qui menace cet équilibre. Bientôt, l’humanité aura à faire un choix : partir à la conquête d’autres univers ou mourir dans son berceau.
Après Le Problème à trois corps et La Forêt sombre, Liu Cixin referme magistralement l’un des cycles de science-fiction les plus ambitieux de ce siècle.
Après Le Problème à trois corps et La Forêt sombre, Liu Cixin referme magistralement l’un des cycles de science-fiction les plus ambitieux de ce siècle.
Mon avis
Troisième et dernier volet de cette trilogie.
Ce fut assez long mais, avant la conclusion, j'ai bien aimé. La conclusion m'a plutôt laissé sur ma faim car l'imagination ne suffisait plus car tant jouer avec les diverses dimensions s'avérait difficile. Mais comment bien terminer un tel ouvrage? Jouer avec les dimensions et nous rendre le tout digeste semble un pari difficile à gagner. Personnellement, je m'y suis embourbé sérieusement. Mais il fallait bien finir par finir... et bravo à l'auteur.
Ma cote: 6/10.
Ce fut assez long mais, avant la conclusion, j'ai bien aimé. La conclusion m'a plutôt laissé sur ma faim car l'imagination ne suffisait plus car tant jouer avec les diverses dimensions s'avérait difficile. Mais comment bien terminer un tel ouvrage? Jouer avec les dimensions et nous rendre le tout digeste semble un pari difficile à gagner. Personnellement, je m'y suis embourbé sérieusement. Mais il fallait bien finir par finir... et bravo à l'auteur.
Ma cote: 6/10.
Citations
"Harmonie, respect, pureté et sérénité, les quatre principes au centre d'une authentique cérémonie du thé japoonaise."
(Page 182)"... avait commencé un voyage long de trois milliards et cinq cent millions d'années...
L'Archéen et le Protérozoïque: près de deux milliards d'années chacun; puis le Paléozoîque: les soixante-dix millions d'années du Cambrien, les soixante millions l'Ordovicien, les quarante millions du Silurien, les cinquante millions du Dévonien, les soixante millions du Carbonifère, les cinquante-cinq millions du Permien; puis le Mésozoïque: les trente-cinq millions du Trias, les cinquante-huit millions du Jurassique, les soixante-dix millions du Crétacé; le Cénozoîque: soixante-quatre millions et demi pour le Tertiaire, deux millions et demi pour le Quaternaire. Et l'homme apparut. Son existence fut une simple péripétie à côté de ces périodes géologiques. Ses dynasties et ses lignées se métamorphosèrent à la vitesse d'un feu d'artifice, et avant même que les massues faites en os lancées dans les airs par les anthropoïdes retombent, elles étaient devenues des vaisseaux spatiaux. Cette longue route battue par les vents et les pluies pendant trois milliards d'années s'arrêtaient aujourd'hui...
(Pages 231 et 232)L'Archéen et le Protérozoïque: près de deux milliards d'années chacun; puis le Paléozoîque: les soixante-dix millions d'années du Cambrien, les soixante millions l'Ordovicien, les quarante millions du Silurien, les cinquante millions du Dévonien, les soixante millions du Carbonifère, les cinquante-cinq millions du Permien; puis le Mésozoïque: les trente-cinq millions du Trias, les cinquante-huit millions du Jurassique, les soixante-dix millions du Crétacé; le Cénozoîque: soixante-quatre millions et demi pour le Tertiaire, deux millions et demi pour le Quaternaire. Et l'homme apparut. Son existence fut une simple péripétie à côté de ces périodes géologiques. Ses dynasties et ses lignées se métamorphosèrent à la vitesse d'un feu d'artifice, et avant même que les massues faites en os lancées dans les airs par les anthropoïdes retombent, elles étaient devenues des vaisseaux spatiaux. Cette longue route battue par les vents et les pluies pendant trois milliards d'années s'arrêtaient aujourd'hui...
"La vie est une quinte flush royale..."
(Page 543)
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