[Hermel, Frédéric] Un jour, j'ai été heureux
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[Hermel, Frédéric] Un jour, j'ai été heureux
Titre : Un jour, j'ai été heureux
Auteur : Frédéric Hermel
éditeur : Fayard
Nombre de pages : 216
Présentation de l’éditeur :
« Juillet 2002, Brooklyn. Première nuit d’amour avec Allison. Je me souviens de la moiteur de la ville, de nos souffles saccadés, du bruit du ventilateur, des chansons de Madonna qui tournaient en boucle, témoins de nos caresses nocturnes, de l’urgence de s’aimer.
Avril 2022, Paris. Je comprends enfin combien, alors, j’ai été heureux. Dix-sept ans que je ne l’ai pas vue, que je n’ai pas entendu son accent américain si troublant me susurrer des mots d’amour. Pourtant, d’elle, je n’ai rien oublié. Et si le vrai bonheur, c’était ça, notre capacité, immédiate ou tardive, à déceler les moments qui comptent ? »
Mon avis :
Ce livre est un joli récit. Oui, je sens que cette accroche est un peu courte, et pourtant, c’est ce que j’ai ressenti à la lecture de ce texte, qui nous raconte, sans fioriture inutile, la première véritable histoire d’amour du narrateur/auteur/personnage principal. Le récit va du présent au passé, de manière très fluide : l’on ne se perd jamais entre les différentes époques de la narration, y compris lorsque le narrateur nous parle de son adolescence. Cette première histoire d’amour a ceci de particulier que c’était aussi un amour longue distance : Allison est américaine et il n’est pas question pour elle de quitter son pays pour vivre en France, pas plus qu’il ne sera question pour le narrateur de s’installer aux Etats-Unis. Ce n’est pas seulement la distance qui peut distendre les liens entre deux personnes, pourtant amoureuses. Les différences culturelles sont là aussi, les rencontres faites entre temps, l’évolution aussi de leurs propres amis – celles du couple qui a permis au narrateur et à Allison de se rencontrer est sans doute ce qui se fait de pire en matière de relations amoureuses, modèle de ce que le narrateur ne veut surtout pas devenir.
Et pourtant… j’ai apprécié la lecture de ce texte, dans lequel le narrateur se livre, nous raconte aussi le processus qui l’a amené à mettre en mots, en livre, son histoire d’amour, jusqu’à un dénouement qui apparaît pour moi comme le point d’orgue du livre. Bref, un livre qui appartient à un genre littéraire qui n’est pas mon préféré, mais un livre que j’ai trouvé très réussi, et qui m’a apporté de bons moments de lecture.
Auteur : Frédéric Hermel
éditeur : Fayard
Nombre de pages : 216
Présentation de l’éditeur :
« Juillet 2002, Brooklyn. Première nuit d’amour avec Allison. Je me souviens de la moiteur de la ville, de nos souffles saccadés, du bruit du ventilateur, des chansons de Madonna qui tournaient en boucle, témoins de nos caresses nocturnes, de l’urgence de s’aimer.
Avril 2022, Paris. Je comprends enfin combien, alors, j’ai été heureux. Dix-sept ans que je ne l’ai pas vue, que je n’ai pas entendu son accent américain si troublant me susurrer des mots d’amour. Pourtant, d’elle, je n’ai rien oublié. Et si le vrai bonheur, c’était ça, notre capacité, immédiate ou tardive, à déceler les moments qui comptent ? »
Mon avis :
Ce livre est un joli récit. Oui, je sens que cette accroche est un peu courte, et pourtant, c’est ce que j’ai ressenti à la lecture de ce texte, qui nous raconte, sans fioriture inutile, la première véritable histoire d’amour du narrateur/auteur/personnage principal. Le récit va du présent au passé, de manière très fluide : l’on ne se perd jamais entre les différentes époques de la narration, y compris lorsque le narrateur nous parle de son adolescence. Cette première histoire d’amour a ceci de particulier que c’était aussi un amour longue distance : Allison est américaine et il n’est pas question pour elle de quitter son pays pour vivre en France, pas plus qu’il ne sera question pour le narrateur de s’installer aux Etats-Unis. Ce n’est pas seulement la distance qui peut distendre les liens entre deux personnes, pourtant amoureuses. Les différences culturelles sont là aussi, les rencontres faites entre temps, l’évolution aussi de leurs propres amis – celles du couple qui a permis au narrateur et à Allison de se rencontrer est sans doute ce qui se fait de pire en matière de relations amoureuses, modèle de ce que le narrateur ne veut surtout pas devenir.
Et pourtant… j’ai apprécié la lecture de ce texte, dans lequel le narrateur se livre, nous raconte aussi le processus qui l’a amené à mettre en mots, en livre, son histoire d’amour, jusqu’à un dénouement qui apparaît pour moi comme le point d’orgue du livre. Bref, un livre qui appartient à un genre littéraire qui n’est pas mon préféré, mais un livre que j’ai trouvé très réussi, et qui m’a apporté de bons moments de lecture.
Sharon- Modérateur
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Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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