[Laviolette, Laurent] Théodore
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[Laviolette, Laurent] Théodore
[Laviolette, Laurent] Théodore
[Laviolette, Laurent]
Théodore
Editions Hervé Chopin 4 janvier 2024
277 pages
Quatrième de couverture
Plus qu'un roman, Théodore est une fresque historique étourdissante, un héros que l'on déteste et que l'on adore... une histoire qu'on ne lâche pas.
Théodore naît en 1871 à Paris, où ses parents meurent tragiquement durant les événements de la Commune. Recueilli par son oncle, capitaine d'industrie à l'ambition dévorante, il n'est pas un enfant comme les autres. Remarquablement intelligent, hypersensible – notamment au froid – virtuose, il est convaincu d'être Dieu. Obnubilé par la question d'éternité, il va très vite franchir un interdit et s'emparer de l'âme de ceux qu'il aime.
De la Commune aux années 1990, on suit les aventures d'un homme seul, aussi détestable qu'attachant qui, à travers ses rencontres, se pose et nous pose les grandes questions de notre condition humaine : la mort, la liberté, l'amour, l'art, l'éternité, Dieu..
" Que dirais-tu de ne plus vieillir, de ne jamais mourir, d'être imperméable au temps qui passe, sans être seule puisque je serai toujours là ? "
Mon avis
C’est l’histoire de Théodore, qui physiquement aura toujours l’aspect d’un trentenaire, qui traversera les années de 1871 jusqu’aux années 1990, un homme qui arriva à la conclusion, que les plus grandes leçons s’apprenaient dans les cimetières et non dans les bibliothèques, et que c’est ironiquement au milieu des tombes que l’on mesurait l’importance de la vie. Il s’empare des âmes de ceux qui lui sont chers, il devient un mécène particulièrement intéressé par les œuvres des peintres qu’il rencontre. Ce roman historique et philosophique, nous transporte au travers d’une culture qui avait donné naissance à Bach, Gutenberg, Mendelssohn ou Beethoven, c’est aussi des rencontres avec des écrivains, historiens et musiciens allant jusqu’à Hitler et ses crimes. Tout cela sans oublier les réflexions sur le temps qui passe, la vieillesse et l’amour, ainsi que sur l’argent et le pouvoir qu’il apporte. Ce qui le désolait c’était la propension des hommes à se détruire et se mobiliser sur des quêtes inutiles, il parle aussi des aînés qui avaient pris soin de documenter dans des manuels dont nous profitons encore. Ce que j’ai aimé lors de ma lecture ce sont toutes les réflexions que l’auteur nous impose dans ce premier roman, malgré l’étrange Théodore surprenant et désarmant qui m’a parfois fait sourire….
Théodore
Editions Hervé Chopin 4 janvier 2024
277 pages
Quatrième de couverture
Plus qu'un roman, Théodore est une fresque historique étourdissante, un héros que l'on déteste et que l'on adore... une histoire qu'on ne lâche pas.
Théodore naît en 1871 à Paris, où ses parents meurent tragiquement durant les événements de la Commune. Recueilli par son oncle, capitaine d'industrie à l'ambition dévorante, il n'est pas un enfant comme les autres. Remarquablement intelligent, hypersensible – notamment au froid – virtuose, il est convaincu d'être Dieu. Obnubilé par la question d'éternité, il va très vite franchir un interdit et s'emparer de l'âme de ceux qu'il aime.
De la Commune aux années 1990, on suit les aventures d'un homme seul, aussi détestable qu'attachant qui, à travers ses rencontres, se pose et nous pose les grandes questions de notre condition humaine : la mort, la liberté, l'amour, l'art, l'éternité, Dieu..
" Que dirais-tu de ne plus vieillir, de ne jamais mourir, d'être imperméable au temps qui passe, sans être seule puisque je serai toujours là ? "
Mon avis
C’est l’histoire de Théodore, qui physiquement aura toujours l’aspect d’un trentenaire, qui traversera les années de 1871 jusqu’aux années 1990, un homme qui arriva à la conclusion, que les plus grandes leçons s’apprenaient dans les cimetières et non dans les bibliothèques, et que c’est ironiquement au milieu des tombes que l’on mesurait l’importance de la vie. Il s’empare des âmes de ceux qui lui sont chers, il devient un mécène particulièrement intéressé par les œuvres des peintres qu’il rencontre. Ce roman historique et philosophique, nous transporte au travers d’une culture qui avait donné naissance à Bach, Gutenberg, Mendelssohn ou Beethoven, c’est aussi des rencontres avec des écrivains, historiens et musiciens allant jusqu’à Hitler et ses crimes. Tout cela sans oublier les réflexions sur le temps qui passe, la vieillesse et l’amour, ainsi que sur l’argent et le pouvoir qu’il apporte. Ce qui le désolait c’était la propension des hommes à se détruire et se mobiliser sur des quêtes inutiles, il parle aussi des aînés qui avaient pris soin de documenter dans des manuels dont nous profitons encore. Ce que j’ai aimé lors de ma lecture ce sont toutes les réflexions que l’auteur nous impose dans ce premier roman, malgré l’étrange Théodore surprenant et désarmant qui m’a parfois fait sourire….
lalyre- Grand sage du forum
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