[Paulin, Rachel] Legs sanglants

«Legs sanglants»
(Les enquêtes d'Astride Sanschagrin)

Larguée par son copain, Astride Sanschagrin, en pleine dérive sentimentale, cherche à reprendre le contrôle sur sa vie. Quoi de mieux que de reprendre le travail ! Terminées les filatures ! Elle aspire à résoudre des enquêtes non résolues par la police.

Comme elle n'a rien à se mettre sous la dent, elle acceptera d'aider ses amis vietnamiens, Hong et Dao, propriétaires d'un dépanneur au-dessus duquel elle habite, qui la supplient de retrouver leurs statuettes volées sous leur nez, pendant la nuit. Ces statuettes sont des génies qui ont une grande importance pour eux.

Elle acceptera du même coup de venir au secours de la tendre Lysiane qui se cherche désespérément un père que l'on soupçonne de pédophilie. Sortira-t-elle indemne de ces deux enquêtes qui au départ paraissent si banales ? Le couple Nguyen tiendra-t-il le coup dans l'adversité ? Quel sera le destin de Lysiane ?


Rachel Paulin a fait des études en arts de la scène au Conservatoire d'Art dramatique de Montréal. Elle a expérimenté le théâtre et la télévision en tant que comédienne. La grande partie de sa vie professionnelle servira la petite enfance en éducation et au contrôle de la sécurité et de la qualité des soins. En 2001, elle a publié une première édition de son roman À cause d'Elles. En 2014, la Fédération québécoise du loisir littéraire a retenu ce roman comme finaliste au Prix Le passeur. En 2015, elle présente une édition révisée de ce roman sous le titre À cause d'Elles, la quête. En 2014, elle a publié son deuxième roman 6 Petits enfants disparus, deux romans d'intrigue. LEGS SANGLANTS est le premier d'une série policière mettant en vedette la détective privée Astride Sanschagrin.

J'ai aimé prêté par une amie.
Il y a quelques longueurs, mais l'histoire demeure intéressante.
Le personnage d'Astride est bien composé et sa xénophilie apporte une belle clarté à ce roman.
À certains moments le manque de précision apporte un questionnement qui n'aurait pas dû exister. Mais peut-être est-ce le manque d'attention du lecteur qui faisait défaut.
Ma cote: 6/10.