[May, Peter] Tempête sur Kinlochleven
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[May, Peter] Tempête sur Kinlochleven
[May, Peter] Tempête sur Kinlochleven
[May, Peter]
Tempête sur Kinlochleven
Rouergue noir 27 mars 2024
345 pages
Quatrième de couverture
Cameron Brodie est un flic de Glasgow. Un veuf solitaire qui, comme tout le monde, endure les effets du changement climatique avec la perturbation des courants océaniques, l’Écosse est devenue en ce milieu du vingt et unième siècle une terre quasi polaire. Quand son chef lui demande de se rendre dans les Highlands où le corps d’un journaliste d’investigation a été retrouvé dans un tunnel de glace, Brodie décide d’accepter cette improbable mission. C’est que son médecin vient de lui annoncer qu’il ne lui reste que six mois à vivre et qu’aller à Kinlochleven est son unique chance de revoir Addie, sa fille unique, avec laquelle il n’a plus aucun contact depuis dix ans. Et c’est justement Addie qui a découvert la dépouille de Charles Younger.
Dans ce passionnant roman qui dépeint un futur proche terriblement vraisemblable, Peter May nous immerge dans des paysages aussi grandioses qu’inquiétant. Quels dangereux secrets recèlent ces montagnes lointaines et inhospitalières, qui ont conduit au meurtre d’un homme atteint d’étranges lésions pulmonaires ? Quel dialogue un père et une fille séparés par des années d’incompréhension vont-ils parvenir à nouer ? Avec maestria, Peter May emporte son lecteur dans un maelstrom de rebondissements et d’émotions.
Mon avis
Dans ce polar, Peter May nous immerge dans des paysages aussi grandioses qu’inquiétants mais tellement beaux, il nous emporte vers les Highlands avec un roman noir à la moitié du XXlème siècle, une Ecosse devenue polaire, avec montée de eaux, disparitions des terres et dérèglement du temps. J’ai aimé Cameron le seul personnage très attachant, alors que j’ai trouvé sa fille entêtée, quand à son gendre, le policier du village ou notre héros va séjourner, il m’a paru insignifiant, sans doute ai-je tort, car il a aussi un rôle dans l’histoire, vais-je ajouter qu’au fil du roman, les cadavres vont s’amonceler. C’est noir, tout est très réaliste, la violence est présente et explicite mais l’auteur semble ne pas insister sur cela, cependant les montées du policier et son aide dans la neige lorsde la nuit sont assez stressantes, là aussi c’est noire cette recherche d’un endroit ou l’on a trouvé un corps. Et que dire des dangereux secrets que recèlent ces montagnes inhospitalières et terrifiantes autant que belles et grandioses. Mais dans ce polar, il y a aussi des personnages bien détaillés, chacun dans leur rôle et un enquête menée à huis clos, je termine en avouant que cette lecture m’a emportée dans un va et vient de rebondissements et d’émotions….4,5/5
Tempête sur Kinlochleven
Rouergue noir 27 mars 2024
345 pages
Quatrième de couverture
Cameron Brodie est un flic de Glasgow. Un veuf solitaire qui, comme tout le monde, endure les effets du changement climatique avec la perturbation des courants océaniques, l’Écosse est devenue en ce milieu du vingt et unième siècle une terre quasi polaire. Quand son chef lui demande de se rendre dans les Highlands où le corps d’un journaliste d’investigation a été retrouvé dans un tunnel de glace, Brodie décide d’accepter cette improbable mission. C’est que son médecin vient de lui annoncer qu’il ne lui reste que six mois à vivre et qu’aller à Kinlochleven est son unique chance de revoir Addie, sa fille unique, avec laquelle il n’a plus aucun contact depuis dix ans. Et c’est justement Addie qui a découvert la dépouille de Charles Younger.
Dans ce passionnant roman qui dépeint un futur proche terriblement vraisemblable, Peter May nous immerge dans des paysages aussi grandioses qu’inquiétant. Quels dangereux secrets recèlent ces montagnes lointaines et inhospitalières, qui ont conduit au meurtre d’un homme atteint d’étranges lésions pulmonaires ? Quel dialogue un père et une fille séparés par des années d’incompréhension vont-ils parvenir à nouer ? Avec maestria, Peter May emporte son lecteur dans un maelstrom de rebondissements et d’émotions.
Mon avis
Dans ce polar, Peter May nous immerge dans des paysages aussi grandioses qu’inquiétants mais tellement beaux, il nous emporte vers les Highlands avec un roman noir à la moitié du XXlème siècle, une Ecosse devenue polaire, avec montée de eaux, disparitions des terres et dérèglement du temps. J’ai aimé Cameron le seul personnage très attachant, alors que j’ai trouvé sa fille entêtée, quand à son gendre, le policier du village ou notre héros va séjourner, il m’a paru insignifiant, sans doute ai-je tort, car il a aussi un rôle dans l’histoire, vais-je ajouter qu’au fil du roman, les cadavres vont s’amonceler. C’est noir, tout est très réaliste, la violence est présente et explicite mais l’auteur semble ne pas insister sur cela, cependant les montées du policier et son aide dans la neige lorsde la nuit sont assez stressantes, là aussi c’est noire cette recherche d’un endroit ou l’on a trouvé un corps. Et que dire des dangereux secrets que recèlent ces montagnes inhospitalières et terrifiantes autant que belles et grandioses. Mais dans ce polar, il y a aussi des personnages bien détaillés, chacun dans leur rôle et un enquête menée à huis clos, je termine en avouant que cette lecture m’a emportée dans un va et vient de rebondissements et d’émotions….4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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