[Winckler, Martin] Le choeur des femmes
+5
chocolette
Véronique M.
Thot
Sharon
Astazie
9 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Votre avis
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Sincèrement, j'ai failli fermer ce bouquin dés les premières lignes tant je trouvais que les personnages étaient des caricatures de médecins...et puis, on comprends petit à petit que leur "façon " d'exercer est guidée par ce qu'ils ont vécu personnellement et professionnellement. Jean, une femme qui parle de sexe comme un mec m'a dérangée parfois même si là aussi, on trouve une explication au cours de la lecture. La fin est un peu tirée par les cheveux et je ne comprend pas pourquoi les auteurs (certains) s'obstinent à vouloir créer des liens passés entre les personnages. Parfois, il n'y a pas besoin et là en l'occurrence, je n'avais pas envi qu'il y en ait. Malgré tout, je conseillerai ce roman dont j'ai attribué un avis positif dans ce sondage. Il est original et on aimerai que chaque médecin fasse une rétrospective sur lui(elle)même pour respecter aussi bien la parole de leurs patients.
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
On ne peut pas vraiment juger de cette œuvre comme d'un roman lambda. Si l'on faisait cela, se préoccuper de la qualité stylistique et narrative avant tout, à mes yeux l'ouvrage de monsieur Winckler n'atteindrait sans doute pas la moyenne. Je vais donc commencer par parler de ces aspects avant d'expliquer pourquoi je les néglige et les raisons de ce généreux 15/20.
« Le Chœur des femmes » a le même défaut majeur que l'autre grande œuvre de Martin Winckler La Maladie de Sachs, sa construction en chroniques (mais après tout ce cher monsieur ne s'est-il pas fait connaître du grand public par ses nouvelles ?) à voix multiples n'est pas toujours des plus heureuses. Les maladresses narratives sont nombreuses. Concernant l'histoire en elle-même j'ai trouvé la fin de l'ouvrage pas très bien ficelée. Trop de coïncidences, trop de mélo, trop de révélations.
Sauf que ne pas pardonner de tels défauts à l'ouvrage de monsieur Winckler serait un non-sens. C'est un livre à lire avec ses tripes et pas avec son cerveau. Un livre militant, idéologique et qui ne fait pas dans la dentelle. Si les ficelles sont grosses, tant pis, ce n'est pas tellement important. Ce qu'il faut retenir de cet ouvrage c'est avant tout les pistes de réflexions qu'il nous donne à voir. Le rapport patient / soignant est complexe et non dénué de rancœurs et de violences de part et d'autre. Lorsque l'on aborde l'intime absolue : le domaine gynécologique, les difficultés se multiplient. J'ai été suivi un temps par un gynécologue certes compétent sur le plan technique mais dont les postures et l'inhumanité ont engendré de vrais souffrances pour moi. Je n'étais pas une patiente à guider, mais j'étais devenue un amas de chair sans volonté et sans intelligence qui se devait d'être contrôlé. Depuis j'ai changé pour un autre patricien avec lequel j'ai une place réelle de patiente, je suis informée, écoutée, guidée. Le livre de Martin Wincler c'est avant tout un livre qui libère la parole, qui donnent à entendre la voix des femmes qui ne devraient pas être moralement bâillonnées face à la médecine. Peut-être que « Le Chœur des Femmes » n'est pas un très bon roman au sens strict du terme mais il m'a fait un bien fou.
MA NOTE : 15 / 20
« Le Chœur des femmes » a le même défaut majeur que l'autre grande œuvre de Martin Winckler La Maladie de Sachs, sa construction en chroniques (mais après tout ce cher monsieur ne s'est-il pas fait connaître du grand public par ses nouvelles ?) à voix multiples n'est pas toujours des plus heureuses. Les maladresses narratives sont nombreuses. Concernant l'histoire en elle-même j'ai trouvé la fin de l'ouvrage pas très bien ficelée. Trop de coïncidences, trop de mélo, trop de révélations.
Sauf que ne pas pardonner de tels défauts à l'ouvrage de monsieur Winckler serait un non-sens. C'est un livre à lire avec ses tripes et pas avec son cerveau. Un livre militant, idéologique et qui ne fait pas dans la dentelle. Si les ficelles sont grosses, tant pis, ce n'est pas tellement important. Ce qu'il faut retenir de cet ouvrage c'est avant tout les pistes de réflexions qu'il nous donne à voir. Le rapport patient / soignant est complexe et non dénué de rancœurs et de violences de part et d'autre. Lorsque l'on aborde l'intime absolue : le domaine gynécologique, les difficultés se multiplient. J'ai été suivi un temps par un gynécologue certes compétent sur le plan technique mais dont les postures et l'inhumanité ont engendré de vrais souffrances pour moi. Je n'étais pas une patiente à guider, mais j'étais devenue un amas de chair sans volonté et sans intelligence qui se devait d'être contrôlé. Depuis j'ai changé pour un autre patricien avec lequel j'ai une place réelle de patiente, je suis informée, écoutée, guidée. Le livre de Martin Wincler c'est avant tout un livre qui libère la parole, qui donnent à entendre la voix des femmes qui ne devraient pas être moralement bâillonnées face à la médecine. Peut-être que « Le Chœur des Femmes » n'est pas un très bon roman au sens strict du terme mais il m'a fait un bien fou.
MA NOTE : 15 / 20
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Une révélation que ce livre.
Il y a certains médecins à qui j'offrirais bien un exemplaire tant certains passages sont importants à mes yeux....
je le conseille très très vivement.
Par ailleurs, je le trouve facile à lire et plutôt court, c'est une lecture prenante et rapide.
Il y a certains médecins à qui j'offrirais bien un exemplaire tant certains passages sont importants à mes yeux....
(…) Chaque fois que vous interrompez une patiente, vous l’empêchez de dire ce qui est essentiel pour elle. Chaque fois que vous remettez en question la véracité de ce qu’elle dit, vous la faites douter. (…) Ce n’est pas "faux", c’est ce qu’elle ressent. Son interprétation n’est peut-être pas conforme aux acquis de la science, mais elle lui permet d’appréhender la situation d’une manière intelligible, de ne se laisser gagner par la panique. Notre boulot, ça n’est pas de lui dire que ce qu’elle ressent est "vrai", ou "faux", mais de chercher pour son bénéfice, et avec son aide, ce que ça signifie. Si tu veux que les patientes respectent ton avis, il faut d’abord que tu respectes leur perception des choses …(…) Respecter ça ne veut pas dire adhérer. Ca veut dire : plutôt que perdre son temps dans un bras de fer (j’ai raison, tu as tort), essayons de trouver un terrain commun. Une relation de soin, ce n’est pas un rapport de force.
je le conseille très très vivement.
Par ailleurs, je le trouve facile à lire et plutôt court, c'est une lecture prenante et rapide.
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
J'ai voté : excellent = coup de cœur
Ce livre n'est pas un simple roman ; il est bien plus que ça.
C'est un plaidoyer pour les femmes, pour qu'elles soient écoutées, respectées, soignées par les médecins. C'est un appel à une prise de conscience qui, espérons-le, aura un effet papillon pour les femmes qui le liront et pour certains médecins qui un jour, peut-être, changeront leur posture professionnelle.
Le soignant, c'est celui à qui le patient prend la main.
C'est le quatrième livre de Martin Winckler que je lis, et c'est le plus abouti. Je l'ai "dévoré" en deux jours, tant j'étais emportée dans ces témoignages. L'histoire des personnages est secondaire, me semble-t-il. C'est le "chœur des femmes" qu'il faut écouter ici avant tout, tous ces témoignages, ces parcours individuels.
La fin, d'ailleurs, m'a semblée plutôt inintéressante. C'est juste un clin d’œil, la volonté du médecin de retrouver cette patiente "alpha" qui a marqué un tournant dans sa carrière, le besoin d'expliquer comment les choses se sont passées ce jour-là.
J'ai aimé les petites allusions à ses autres romans, à certains personnages que les lecteurs ont pu y croiser.
Je trouve les prises de position de Martin Winckler très courageuses. C'est de la fiction, bien sûr, mais il ose malgré tout parler de transsexualité, de médecins qui mutilent leurs patients tels des nazis, d'euthanasie, du pouvoir des firmes pharmaceutiques... et autres sujets tabous.
La médecine française est, purement et simplement, une médecine de classe. Un trop grand nombre de "professionnels" méprisent souverainement tous les patients et les traitent comme des enfants - et plus encore les femmes, parce que ce sont des femmes.
J'aimerais pouvoir, comme lui, avoir une vision nouvelle dans mon domaine professionnel (l'enseignement), être capable de m'interroger sur mon métier et la façon de le pratiquer. Je trouve son approche très enrichissante sur ce point.
Par ailleurs, j'ai eu à prendre récemment des décisions définitives concernant la contraception (ne pouvant plus supporter aucune contraception hormonale) et son site internet m'a aidée à y voir plus clair en m'apportant toutes les informations utiles de façon complète et pédagogique.
Je lirai avec plaisir le nouveau livre de Martin Winckler, En souvenir d'André et je continuerai à suivre cet auteur.
J'espère que vous serez nombreux à lire ce livre... et j'aimerais bien, d'ailleurs, avoir le point de vue de lecteurs hommes sur ce livre (pour l'instant, seules des lectrices ont déposé leur critique).
Ce livre n'est pas un simple roman ; il est bien plus que ça.
C'est un plaidoyer pour les femmes, pour qu'elles soient écoutées, respectées, soignées par les médecins. C'est un appel à une prise de conscience qui, espérons-le, aura un effet papillon pour les femmes qui le liront et pour certains médecins qui un jour, peut-être, changeront leur posture professionnelle.
Le soignant, c'est celui à qui le patient prend la main.
C'est le quatrième livre de Martin Winckler que je lis, et c'est le plus abouti. Je l'ai "dévoré" en deux jours, tant j'étais emportée dans ces témoignages. L'histoire des personnages est secondaire, me semble-t-il. C'est le "chœur des femmes" qu'il faut écouter ici avant tout, tous ces témoignages, ces parcours individuels.
La fin, d'ailleurs, m'a semblée plutôt inintéressante. C'est juste un clin d’œil, la volonté du médecin de retrouver cette patiente "alpha" qui a marqué un tournant dans sa carrière, le besoin d'expliquer comment les choses se sont passées ce jour-là.
J'ai aimé les petites allusions à ses autres romans, à certains personnages que les lecteurs ont pu y croiser.
Je trouve les prises de position de Martin Winckler très courageuses. C'est de la fiction, bien sûr, mais il ose malgré tout parler de transsexualité, de médecins qui mutilent leurs patients tels des nazis, d'euthanasie, du pouvoir des firmes pharmaceutiques... et autres sujets tabous.
La médecine française est, purement et simplement, une médecine de classe. Un trop grand nombre de "professionnels" méprisent souverainement tous les patients et les traitent comme des enfants - et plus encore les femmes, parce que ce sont des femmes.
J'aimerais pouvoir, comme lui, avoir une vision nouvelle dans mon domaine professionnel (l'enseignement), être capable de m'interroger sur mon métier et la façon de le pratiquer. Je trouve son approche très enrichissante sur ce point.
Par ailleurs, j'ai eu à prendre récemment des décisions définitives concernant la contraception (ne pouvant plus supporter aucune contraception hormonale) et son site internet m'a aidée à y voir plus clair en m'apportant toutes les informations utiles de façon complète et pédagogique.
Je lirai avec plaisir le nouveau livre de Martin Winckler, En souvenir d'André et je continuerai à suivre cet auteur.
J'espère que vous serez nombreux à lire ce livre... et j'aimerais bien, d'ailleurs, avoir le point de vue de lecteurs hommes sur ce livre (pour l'instant, seules des lectrices ont déposé leur critique).
Dernière édition par virgule le Jeu 18 Juil 2013 - 11:09, édité 1 fois (Raison : Correction faute de frappe)
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
@ Virgule, le titre que tu cites "En souvenir d'André" fait-il référence à André Soubiran?
Belle critique, je n'ai pas lu ce livre et je le note. Merci Virgule!
Belle critique, je n'ai pas lu ce livre et je le note. Merci Virgule!
chocolette- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 3756
Age : 73
Localisation : Hainaut.Belgique.
Emploi/loisirs : lecture,promenade,cinéma,mots fléchés.
Genre littéraire préféré : Policier et un peu de tout...pas de SF!
Date d'inscription : 13/05/2011
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Je ne pense pas, chocolette.
J'avais vu l'interview de l'auteur à La grande librairie ; c'était il y a quelques mois.
Et d'après ce que j'ai retenu, c'est un livre sur la fin de vie et l'euthanasie.
André doit être le nom du patient (?)
Il y a un article qui présente le livre sur le site internet de l'auteur.
J'avais vu l'interview de l'auteur à La grande librairie ; c'était il y a quelques mois.
Et d'après ce que j'ai retenu, c'est un livre sur la fin de vie et l'euthanasie.
André doit être le nom du patient (?)
Il y a un article qui présente le livre sur le site internet de l'auteur.
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Ah! merci Virgule pour cet éclaircissement.
chocolette- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 3756
Age : 73
Localisation : Hainaut.Belgique.
Emploi/loisirs : lecture,promenade,cinéma,mots fléchés.
Genre littéraire préféré : Policier et un peu de tout...pas de SF!
Date d'inscription : 13/05/2011
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
●○● Jean Atwood est une jeune interne, arrogante, brusque, franche et directe. Pour finir son internet, elle doit passer dans le service du Dr. Karma spécialisé dans la médecine de la femme. Pour cette brillante et méprisante interne, chaque rendez-vous n'est que perte de temps à écouter toutes ces femmes qui se plaignent.
Evidemment, elle évoluera au fil du récit, on en apprendra plus sur elle.
Chaque chapitre est raconté selon le point de vue de la patiente, du médecin, de sa secrétaire ou de cette jeune interne.
Cela amène une dynamique très particulière, en forme de témoignage.
Un roman écrit par un médecin pour qui la relation avec la patiente, le respect est primordial, qui dénonce l'absence de communication dans la formation des internes, le lobby des grands groupes pharmaceutiques.
Un récit touchant et profondément humain qui devrait être mis dans les mains de tous les médecins pour une remise en question, et de toutes les femmes pour leur apprendre à s'affirmer face aux médecins. ●○●
Note : 2.5/3
Evidemment, elle évoluera au fil du récit, on en apprendra plus sur elle.
Chaque chapitre est raconté selon le point de vue de la patiente, du médecin, de sa secrétaire ou de cette jeune interne.
Cela amène une dynamique très particulière, en forme de témoignage.
Un roman écrit par un médecin pour qui la relation avec la patiente, le respect est primordial, qui dénonce l'absence de communication dans la formation des internes, le lobby des grands groupes pharmaceutiques.
Un récit touchant et profondément humain qui devrait être mis dans les mains de tous les médecins pour une remise en question, et de toutes les femmes pour leur apprendre à s'affirmer face aux médecins. ●○●
Note : 2.5/3
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Merci titepomme pour cette belle critique.
En effet, c'est un livre à mettre en toutes les mains.
En effet, c'est un livre à mettre en toutes les mains.
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Merci Titepomme et les autres pour vos critiques
louloute- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 24619
Age : 56
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Ca y est, après trois jours passés le nez dans ce livre, j'en ai enfin tourné la dernière page ! On me l'avait vivement conseillé, je suis heureuse de l'avoir lu et de le recommander à mon tour.
Comme le disent bien Altervorace et Virgule, il ne faut pas voir ce livre comme un simple roman. L'intrigue principale est souvent prévisible, les personnages ultra-caricaturaux, quant à l'écriture, elle oscille entre trop de vulgarité et trop d'emphase. Bref, techniquement, on est loin du petit bijou littéraire. Mais ce qui compte ici n'est pas la forme, c'est le message. Martin Winckler nous invite à remettre en cause la relation patient-médecin, ou plus précisément patientE-médecin, puisque le cadre de ce récit est un service de gynécologie. Il propose d'écouter et soigner, plutôt que gronder et accumuler les actes et les prescriptions. D'adapter la position de l'examen gynécologique au confort des patientes avant celui du médecin. De laisser les enfants au sexe incertain grandir jusqu'à être capable d'exprimer leur souhait plutôt que les charcuter à la naissance.
A la lecture de ce plaidoyer, j'ai été à la fois complètement emportée par la révolte qui anime l'auteur, et très frustrée par la forme de fiction qu'il a donnée à cette histoire. Je voulais des noms, des chiffres à me mettre sous la dent. Mais je comprends aussi que l'enrobage "roman" permet à ce manifeste d'être lu par un public bien plus large. Le jeu en vaut la chandelle, et j'irai à la pêche aux informations précises ailleurs.
Comme le disent bien Altervorace et Virgule, il ne faut pas voir ce livre comme un simple roman. L'intrigue principale est souvent prévisible, les personnages ultra-caricaturaux, quant à l'écriture, elle oscille entre trop de vulgarité et trop d'emphase. Bref, techniquement, on est loin du petit bijou littéraire. Mais ce qui compte ici n'est pas la forme, c'est le message. Martin Winckler nous invite à remettre en cause la relation patient-médecin, ou plus précisément patientE-médecin, puisque le cadre de ce récit est un service de gynécologie. Il propose d'écouter et soigner, plutôt que gronder et accumuler les actes et les prescriptions. D'adapter la position de l'examen gynécologique au confort des patientes avant celui du médecin. De laisser les enfants au sexe incertain grandir jusqu'à être capable d'exprimer leur souhait plutôt que les charcuter à la naissance.
A la lecture de ce plaidoyer, j'ai été à la fois complètement emportée par la révolte qui anime l'auteur, et très frustrée par la forme de fiction qu'il a donnée à cette histoire. Je voulais des noms, des chiffres à me mettre sous la dent. Mais je comprends aussi que l'enrobage "roman" permet à ce manifeste d'être lu par un public bien plus large. Le jeu en vaut la chandelle, et j'irai à la pêche aux informations précises ailleurs.
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Très belle critique, Algue. Merci.
J'espère qu'elle donnera à beaucoup de lecteurs, hommes et femmes, l'envie de lire ce livre.
J'espère qu'elle donnera à beaucoup de lecteurs, hommes et femmes, l'envie de lire ce livre.
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Toc Toc Toc ! Bonjour c'est Fabrice Je vais commander quelques livres d'ici peu et... Je viens de noter "Le chœur des femmes". Je reviendrai pour vous donner l'intégralité de mon ressenti.
Je vous ai lu dans les votre... à bientôt.
Je vous ai lu dans les votre... à bientôt.
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Oui Fabrice, on attend ton avis avec impatience. Bonne lecture !
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Je viens de l'acheter pour l'offrir à la femme de mon papa. Je suis sûre qu'il va lui plaire.
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Bonjour, j'ai terminé ce livre il y a déjà quelques semaines... je vais revenir pour vous en parler, à très vite!
Invité- Invité
Re: [Winckler, Martin] Le choeur des femmes
Mon avis :
Jean Atwood, brillante jeune interne des hopitaux, lors de son stage dans l'unité du docteur Karma, va progressivement oublier ses préjugés et découvrir une médecine axé vers l'écoute, la compréhension et le soin.
Si certains propos ou réactions des protagonistes peuvent interpeller ou surprendre, ce qui resort de cet ouvrage, c'est la tolérence et la bienveillance.
C'est un coup de coeur.
Jean Atwood, brillante jeune interne des hopitaux, lors de son stage dans l'unité du docteur Karma, va progressivement oublier ses préjugés et découvrir une médecine axé vers l'écoute, la compréhension et le soin.
Si certains propos ou réactions des protagonistes peuvent interpeller ou surprendre, ce qui resort de cet ouvrage, c'est la tolérence et la bienveillance.
C'est un coup de coeur.
pétunia- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 1939
Localisation : Var
Genre littéraire préféré : Un peu de tout sauf la poesie et les BD
Date d'inscription : 18/01/2018
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» [Nimier, Marie] Anatomie d'un choeur
» [Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
» [Mordillat, Gérard] Ces femmes-là
» [Editions Taurnada] Haut le choeur de Gaëlle Perrin-Guillet
» [Sabard, Clarisse] À la lumière de nos jours
» [Perrin-Guillet, Gaëlle] Haut le choeur
» [Mordillat, Gérard] Ces femmes-là
» [Editions Taurnada] Haut le choeur de Gaëlle Perrin-Guillet
» [Sabard, Clarisse] À la lumière de nos jours
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum