[Leon, Donna] Requiem pour une cité de verre
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[Leon, Donna] Requiem pour une cité de verre
Donna Leon
Requiem pour une cité de verre
4° de couverture : Venise, un jour de printemps. Le Commissaire Brunetti et son adjoint Vianello sont appelés à la rescousse pour faire libérer Ribetti, un ami de Vianello, qui s'est fait bêtement coffrer lors d'une manifestation des défenseurs de l'environnement. Ribetti est un fervent écologiste mais non-violent. D'où la surprise de Brunetti, quand, à la sortie du commissariat, les trois hommes tombent sur Giovanni De Cal, le beau-père de Ribetti, qui l'insulte copieusement... De fait, De Cal est connu pour ses menaces et son agressivité vis-à-vis de son gendre qu'il déteste. De Cal est le propriétaire d'une usine de verre, très polluante, son gendre est écolo, certes... Mais de là à proférer des menaces de mort ? Quelques jours plus tard, le gardien de nuit de l'usine est retrouvé mort au pied d'un haut-fourneau. Accident ou meurtre ? L'homme avait auprès de lui une copie de 'L' Enfer' de Dante...
L'auteur : Donna Leon, née dans le New Jersey, vit à Venise depuis plus de vingt ans, ville où se situent toutes ses intrigues. Les enquêtes du Commissaire Brunetti ont conquis des millions de lecteurs à travers le monde et ont toutes été publiées en France
Mon avis : Un bon policier comme j’aime. Pas de meurtres en série par des moyens toujours plus cruels.
Non, un commissaire Guido Brunetti qui va s’intéresser à une usine de verrerie située sur une île de Venise.
Le mort n’apparaîtra qu’au milieu du bouquin
Mais on découvre le fonctionnement de ces usines, leurs difficultés économiques, et comment par appât du gain certains n’hésitent pas à polluer.
On découvre aussi l’intérêt pour l’écologie d’une part de la population italienne.
On y découvre aussi une police dont la hiérarchie n’est pas soucieuse de traquer des criminels mais d’entretenir son réseau.
Enfin on se ballade dans Venise, ceux qui y sont allé se régaleront en reconnaissant les lignes de vaporetto, les rues, les îles.
J’aime beaucoup les bouquins de Donna Leon. Elle y dénonce les travers de la société italienne, très facilement transposables à d’autres pays. Chaque enquête tourne autour d’un thème sociétal à découvrir et est menée par un homme simple et courageux.
Requiem pour une cité de verre
4° de couverture : Venise, un jour de printemps. Le Commissaire Brunetti et son adjoint Vianello sont appelés à la rescousse pour faire libérer Ribetti, un ami de Vianello, qui s'est fait bêtement coffrer lors d'une manifestation des défenseurs de l'environnement. Ribetti est un fervent écologiste mais non-violent. D'où la surprise de Brunetti, quand, à la sortie du commissariat, les trois hommes tombent sur Giovanni De Cal, le beau-père de Ribetti, qui l'insulte copieusement... De fait, De Cal est connu pour ses menaces et son agressivité vis-à-vis de son gendre qu'il déteste. De Cal est le propriétaire d'une usine de verre, très polluante, son gendre est écolo, certes... Mais de là à proférer des menaces de mort ? Quelques jours plus tard, le gardien de nuit de l'usine est retrouvé mort au pied d'un haut-fourneau. Accident ou meurtre ? L'homme avait auprès de lui une copie de 'L' Enfer' de Dante...
L'auteur : Donna Leon, née dans le New Jersey, vit à Venise depuis plus de vingt ans, ville où se situent toutes ses intrigues. Les enquêtes du Commissaire Brunetti ont conquis des millions de lecteurs à travers le monde et ont toutes été publiées en France
Mon avis : Un bon policier comme j’aime. Pas de meurtres en série par des moyens toujours plus cruels.
Non, un commissaire Guido Brunetti qui va s’intéresser à une usine de verrerie située sur une île de Venise.
Le mort n’apparaîtra qu’au milieu du bouquin
Mais on découvre le fonctionnement de ces usines, leurs difficultés économiques, et comment par appât du gain certains n’hésitent pas à polluer.
On découvre aussi l’intérêt pour l’écologie d’une part de la population italienne.
On y découvre aussi une police dont la hiérarchie n’est pas soucieuse de traquer des criminels mais d’entretenir son réseau.
Enfin on se ballade dans Venise, ceux qui y sont allé se régaleront en reconnaissant les lignes de vaporetto, les rues, les îles.
J’aime beaucoup les bouquins de Donna Leon. Elle y dénonce les travers de la société italienne, très facilement transposables à d’autres pays. Chaque enquête tourne autour d’un thème sociétal à découvrir et est menée par un homme simple et courageux.
Invité- Invité
Re: [Leon, Donna] Requiem pour une cité de verre
Merci pour cette critique Michel!!
Pourrais-tu ajouter l'éditeur ainsi que le nombre de pages?
Merci d'avance
Pourrais-tu ajouter l'éditeur ainsi que le nombre de pages?
Merci d'avance
Ironman- Grand sage du forum
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Localisation : Belgique
Emploi/loisirs : Chercheur/Doctorant
Genre littéraire préféré : policier, thriller, fantastique, horreur, manga
Date d'inscription : 30/06/2008
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