[Exbrayat] Tarchinini - Tome 5: Ces sacrées florentines

Collection : le club des masques
Editeur : Librairie des Champs-Elysées
Date de parution : 1969
Nombre de pages : 186

4ème de couverture :
"- Comme ça vous n'avez pas le temps de nous montrer vos papiers, hé ? Alors, vous allez bien gentiment nous accompagner au commissariat hé ?
- Ma qué ! Venez donc avec moi au lieu de débiter des sottises.
A nouveau les représentants de l'ordre, s'examinèrent mutuellement pour s'assurer qu'ils avaient bien entendu. Cependant, le Véronais n'attendit pas la fin des cogitations policières pour tourner les talons et rentrer dans le palais où les agents se précipitèrent à sa suite. Ils grimpèrent l'escalier derrière lui et lorsqu'ils arrivèrent à l'endroit où le pauvre Montarina occupait une position incommode, TARCHININI s'écarta :
- Pour vous.
Les yeux ronds des flics contemplèrent l'étrange cadeau, l'un d'eux ne put que dire :
- Qu'est-ce que c'est que ça ?
- Un cadavre."

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Mon avis :
J'ai lu 60 pages, et j'ai abandonné. J'ai voulu abandonner 2 fois avant ces 60 pages, et je me suis persuadée un peu de continuer, mais franchement, cette histoire mène nulle part.
Très ennuyeux, on ne s'identifie à aucun des personnages, qui ne donnent même pas envie de les connaître.
Le style d'écriture est lassant, c'est plat, il n'y a pas de surprise.
C'est le premier livre que j'ai commencé à lire de lui, et ça ne me donne pas envie d'en savoir plus.
Si ça se trouve, je le reprendrai peut être plus tard, ou peut être que j'essayerai un autre titre (j'ai 3 livres de cet auteur à la maison), mais en tout cas pour le moment, je n'en ai pas envie.

Ma note : 2/10

Exbrayat est très inégal... Ses romans sont tellement différents les uns des autres, qu'on pourrait croire qu'il s'y est mis à plusieurs pour les écrire. Changement d'humeur ? D'époque ? Certains laissent un goût de cendre dans la bouche, d'autres sont très drôles. Tous nous font découvrir un lieu, parfois inventé, parfois réel et souvent cher à l'auteur. Il est dépaysant, j'aime bien.