[Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
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[Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Les voleurs de cygnes
Roman
475 pages édité chez Michel Lafon en juin 2010
Résumé
Andrew Marlow, psychiatre solitaire à qui ses patients et la peinture tiennent lieu de compagnie, mène une vie parfaitement organisée.
Jusqu'au jour où un peintre renommé lacère une toile à la National Gallery. Marlow tente de comprendre l'acte sacrilège de cet artiste, tâche d'autant plus ardue que, devenu son patient, celui-ci refuse de prononcer un seul mot. Le psychiatre n'aura pas d'autre choix que d'enquêter sur l'entourage du peintre, les femmes de sa vie, et surtout, cette mystérieuse inconnue qu'il dessine sans relâche... A la fois roman historique, récit d'un amour fou et enquête policière, Les Voleurs de cygnes est un véritable tour de force littéraire.
Mon avis
Par quoi commencer pour vous parler de ce livre merveilleux. Tout d’abord, il parle de peintures, de couleurs, de traits, de lieux … Elisabeth a une manière de raconter les choses tout en délicatesse que j’ai eu bien souvent l’impression qu’elle me prenait la main et m’emmenait à la découverte d’un univers fait de lumières et d’ombres…
Ce nuancier met en valeur des personnages fictifs ou réels, de grands peintres ou d’autres rêvés, de tableaux existants ou inventés… C’est ce balancier incessant entre la réalité et la fiction du livre qui rend ce livre aussi magique.
C’est aussi l’utilisation du miroir à l’instar de Lewis Caroll : Marlow le psychiatre qui joue au détective (philippe Marlow dans les vieux films noirs), Oliver le patient (l’olivier, la paix et la longévité) qui est dans un repli psychique, le tableau « Léda et le cygne » (il y a au moins 6 versions peintes par des grands noms… mais c’est sa symbolique qui est intéressante… qui prend son sens dans l’histoire du livre) et le tableau « les voleurs de cygnes » (une réponse à Léda…) ; c’est une histoire dans l’histoire… et puis il y a l’obsession… quelle est la mienne, la votre ?
C’est aussi une rencontre avec les impressionnistes du XIXème siècle, je me suis régalée et j’ai découvert certains peintres que je ne connaissais pas… et ça, c’est du bonheur… Je suis entrée dans les ateliers, j’ai senti, vibré, ressenti… et plus j’avançais dans le livre plus les personnages « proches » Marlow et Oliver, semblaient s’éloigner et plus je voulais connaître Béatrice de Clerval… cela devenait de l’obsession à certains moments… La manière dont Elisabeth écrit, fait que le lecteur devient accro comme Oliver, cela prend toute la place… Passionnée par la peinture (je suis un « barbouilleur du dimanche »), je peux comprendre l’obsession de la recherche du trait parfait ou de la couleur parfaite pour redonner cette lumière parfaite pour faire vivre un mouvement, faire naître une ombre pour mettre en évidence un relief… être aspiré par son tableau… L’auteur a su rendre et dépeindre la vie d’un artiste…
Entre une obsession et une passion, il y a peu de choses qui les séparent et pourtant ce peu peut faire toute la différence. Passion, obsession, sensibilité, compassion et humanité sont les traits de caractères des personnages que j’ai suivi… c’est une merveilleuse histoire d’hommes et de femmes au travers leur amour de la vie et qui a atteint plusieurs générations…. C’est un hymne au génie créatif des artistes et à celui qui sommeille en nous tous…
A lire absolument
Un grand merci aux éditions Lafon Michel et à Thot pour le travail qu'elle fournit
Roman
475 pages édité chez Michel Lafon en juin 2010
Résumé
Andrew Marlow, psychiatre solitaire à qui ses patients et la peinture tiennent lieu de compagnie, mène une vie parfaitement organisée.
Jusqu'au jour où un peintre renommé lacère une toile à la National Gallery. Marlow tente de comprendre l'acte sacrilège de cet artiste, tâche d'autant plus ardue que, devenu son patient, celui-ci refuse de prononcer un seul mot. Le psychiatre n'aura pas d'autre choix que d'enquêter sur l'entourage du peintre, les femmes de sa vie, et surtout, cette mystérieuse inconnue qu'il dessine sans relâche... A la fois roman historique, récit d'un amour fou et enquête policière, Les Voleurs de cygnes est un véritable tour de force littéraire.
Mon avis
Par quoi commencer pour vous parler de ce livre merveilleux. Tout d’abord, il parle de peintures, de couleurs, de traits, de lieux … Elisabeth a une manière de raconter les choses tout en délicatesse que j’ai eu bien souvent l’impression qu’elle me prenait la main et m’emmenait à la découverte d’un univers fait de lumières et d’ombres…
Ce nuancier met en valeur des personnages fictifs ou réels, de grands peintres ou d’autres rêvés, de tableaux existants ou inventés… C’est ce balancier incessant entre la réalité et la fiction du livre qui rend ce livre aussi magique.
C’est aussi l’utilisation du miroir à l’instar de Lewis Caroll : Marlow le psychiatre qui joue au détective (philippe Marlow dans les vieux films noirs), Oliver le patient (l’olivier, la paix et la longévité) qui est dans un repli psychique, le tableau « Léda et le cygne » (il y a au moins 6 versions peintes par des grands noms… mais c’est sa symbolique qui est intéressante… qui prend son sens dans l’histoire du livre) et le tableau « les voleurs de cygnes » (une réponse à Léda…) ; c’est une histoire dans l’histoire… et puis il y a l’obsession… quelle est la mienne, la votre ?
C’est aussi une rencontre avec les impressionnistes du XIXème siècle, je me suis régalée et j’ai découvert certains peintres que je ne connaissais pas… et ça, c’est du bonheur… Je suis entrée dans les ateliers, j’ai senti, vibré, ressenti… et plus j’avançais dans le livre plus les personnages « proches » Marlow et Oliver, semblaient s’éloigner et plus je voulais connaître Béatrice de Clerval… cela devenait de l’obsession à certains moments… La manière dont Elisabeth écrit, fait que le lecteur devient accro comme Oliver, cela prend toute la place… Passionnée par la peinture (je suis un « barbouilleur du dimanche »), je peux comprendre l’obsession de la recherche du trait parfait ou de la couleur parfaite pour redonner cette lumière parfaite pour faire vivre un mouvement, faire naître une ombre pour mettre en évidence un relief… être aspiré par son tableau… L’auteur a su rendre et dépeindre la vie d’un artiste…
Entre une obsession et une passion, il y a peu de choses qui les séparent et pourtant ce peu peut faire toute la différence. Passion, obsession, sensibilité, compassion et humanité sont les traits de caractères des personnages que j’ai suivi… c’est une merveilleuse histoire d’hommes et de femmes au travers leur amour de la vie et qui a atteint plusieurs générations…. C’est un hymne au génie créatif des artistes et à celui qui sommeille en nous tous…
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Pinky- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
enthousiasmant comme critique, mais comment fais tu en ce domaine comme dans celui de publier le même jour 4 critiques sur 4 livres différents....
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
c'est simple, je ne poste pas un livre dès que je l'ai lu... je mets un avis tous les 4 à 5 livres... je laisse "reposer" en quelque sorte... ai-je répondu à ta question Loubhi ?
Pinky- Grand sage du forum
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Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Ben voilà, je m'en douter un peu : je le note dans ma lal. Merci Pinky.
Du même auteur et pour prolonger le plaisir, je te conseille L'Historienne et Dracula (deux tomes en poche) (je ne sais pas s'il existe déjà une critique sur le forum, comme je l'ai lu il y a un moment, je ne me sens pas capable de la faire!).
Du même auteur et pour prolonger le plaisir, je te conseille L'Historienne et Dracula (deux tomes en poche) (je ne sais pas s'il existe déjà une critique sur le forum, comme je l'ai lu il y a un moment, je ne me sens pas capable de la faire!).
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
merci Alexielle du conseil, je me les note... et encore deux de plus :<;9:
Pinky- Grand sage du forum
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Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Pinky a écrit:merci Alexielle du conseil, je me les note... et encore deux de plus :<;9:
Rho, on est plus à deux près, me semble-t-il, non?
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Pinky a écrit:c'est simple, je ne poste pas un livre dès que je l'ai lu... je mets un avis tous les 4 à 5 livres... je laisse "reposer" en quelque sorte... ai-je répondu à ta question Loubhi ?
tout à fait, tu me rassure je craignais d'avoir à faire à une lectrice compulsive ou à une Luky Luke du bouquin... il n'empêche chapeau bas pour la moyenne de livres lus; on doit en être à une demie douzaine par mois non ? mon rève
[ KOSTOVA, Elizabeth ] Les voleurs de cygnes
[ KOSTOVA, Elizabeth ]
Les voleurs de cygnes
Michel Lafon juin 2010
475 pages
Les voleurs de cygnes
Michel Lafon juin 2010
475 pages
Mon avis :Je débute mon commentaire en décrivant la très belle couverture du livre,la tranche et le nom de l'auteur sont dorés, l'illustration représente le détail d'une peinture qui a piqué ma curiosité, après quelques recherches, j'a pu l'admiré en entier , il s'agit justement de Léda, peint par François-Edouard Picot ( 1786-1868 ) .J'ai lu attentivement le passage ou le professeur dit à ses élèves : Nous vivons dans un univers de couleurs et de formes que nous avons toujours chercher à reproduire .Bien sûr, depuis l'invention de la couleur synthétique, le monde a revêtu des teintes artificielles beaucoup plus criardes que les teintes naturelles.... Il est vrai que le roman se passe pour la plupart du temps dans le monde magique de la peinture.Très vite je me suis passionnée pour l'histoire ou plusieurs personnages ont la parole,mais déconcertée par les lettres de Béatrice de Clerval,je ne comprenais pas la raison de ces écrits, qui au fil des pages apparaissaient sans raison, me semblait-il......C'est vers la page 250 que je me suis doutée que tout allait se regrouper à la fin, mais sans rien deviner de plus, c'est cela le bon suspense et je dois dire que l'auteur a très bien réussi....Ensuite j'ai savouré de très beaux passages tel que celui-ci.......Il déguste sa bouche, boit la jeunesse qui s'en exhale tout en offrant lui-même ce que l'amour lui enseigna voila des lustres, comme s'il lançait un caillou dans le puits de sa poitrine....Historique, suspense et l'enquête du psychiatre pour venir en aide à son patient m'ont fait tourner les pages,allant de découvertes en découvertes.C'est pour toutes ces raisons et d'autres dont je ne dirai rien, que ce roman est pour moi un gros coup coeur.10/10
Je remercie vivement Partage-Lectures et l'Edition Michel Lafon qui m'a gracieusement envoyé ce livre, un roman que je recommande à tous....
lalyre- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
J'avais bien aimé L'historienne et Dracula, du coup celui-ci me fait envie ! Dommage que je n'ai pas remarqué le partenariat à temps, je me serai bien laissé tenter...(je remarque toujours les nouveaux partenariats quand c'est trop tard :>i:
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
LOUBHI 49 a écrit: tout à fait, tu me rassure je craignais d'avoir à faire à une lectrice compulsive ou à une Luky Luke du bouquin... il n'empêche chapeau bas pour la moyenne de livres lus; on doit en être à une demie douzaine par mois non ? mon rève
j'aime bien l'image que tu suggères, "une lucky Luke du bouquin"... je lis un minimum de 10 bouquins par mois ... quant au maximum... chut !
Ne pas mettre tout de suite ma critique, me permet de "digérer" le livre et de prendre du recul par rapport à l'histoire...
Pinky- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
10 livres par mois ??
Mais où trouves-tu le temps ? Dis-moi ton secret, j'en rêve !:-D
Mais où trouves-tu le temps ? Dis-moi ton secret, j'en rêve !:-D
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
je lis tous les soirs quelque soit l'heure, avant de m'endormir et je peux lire aussi dans la journée dès que je le peux !
Pinky- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
j'ai eu la joie de terminer ce roman hier soir.
Que dire de plus que ce qui a été mentionné? A part que pour moi, c'est aussi un vrai coup de coeur. J'ai adoré l'histoire, la recherche du personnage principal pour comprendre cet homme qui refuse de parler. Ayant une maman artiste peintre, une soeur faisant des études dans l'art et moi un peu comme le personnage principal, qui m'offre le plaisir de peindre de temps en temps, il m'a été très facile de m'indentifier et de me confondre dans les explications de l'auteur. Rencontrer au fil de l'histoire des tableaux déjà vu ou en découvrir d'autres jamais vu par la lecture fut extraordinaire.
Que dire de plus que ce qui a été mentionné? A part que pour moi, c'est aussi un vrai coup de coeur. J'ai adoré l'histoire, la recherche du personnage principal pour comprendre cet homme qui refuse de parler. Ayant une maman artiste peintre, une soeur faisant des études dans l'art et moi un peu comme le personnage principal, qui m'offre le plaisir de peindre de temps en temps, il m'a été très facile de m'indentifier et de me confondre dans les explications de l'auteur. Rencontrer au fil de l'histoire des tableaux déjà vu ou en découvrir d'autres jamais vu par la lecture fut extraordinaire.
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Les Voleurs des cygnes
Encore une très jolie découverte grâce à ces partenariats, Merci à Thot pour ce choix et aux éditions Michel Lafont.
Le livre en lui-même parait très précieux, et est très bien adapté au thème. Couleur dorée, couverture représentant un tableau.
Les personnages sont très travaillés, très détaillés. Ils sont présentés avec leur historique, leur psychologie sauf Robert. J’aurais aimé que ce soit un peu plus poussé sur le malade, rentré parfois dans sa tête sans nous donner la réponse pour autant.
Je me suis également beaucoup attaché à Béatrice de Clerval.
Souvent de changement de narrateur mais qui sont bien précisés donc le lecteur n’est pas perdu. Je pense que cela aide le lecteur à les comprendre et à rentrer dans l’intrique.
Les descriptions, et les flashes back amènent parfois une certaine lenteur un peu dommage qui fait que j’ai eu tendance à décrocher. Je pense que certains passages auraient pu être enlevés sans gêner la lecture.
On rentre complètement dans l’univers de la peinture, l’interprétation des tableaux, des symboles. Beaucoup de détails, beaucoup de techniques mais pas ennuyant alors que je n’y connais rien.
Les lettres intriquent beaucoup au début, on se questionne sur leur place et leur utilité. Puis les intriques se recoupent et on comprend leur rôle. Dans la dernière partie, les lettres font places à des paragraphes complets alors que j’aurais aimé continué avec les lettres. Les lettres sont écrites dans un style très joli, très imaginatif, romantique.
Le livre est pour une partie psychologique sur le thème de l’obsession. L’obsession du trait parfait, de rendre le tableau vivant, de comprendre qui est cette femme et pourquoi Robert la peint sans arrêt … La question est aussi soulevée « jusqu’ou peut on aller pour aider quelqu’un ? ». Marlow enfreint toutes les règles pour Robert mais a-t-il le choix ?
On retrouve aussi une note d’espoir car Marlow s’est sorti de ses habitudes et de son enfermement grâce à cette aventure.
Alors finalement l’obsession peut à la fois « tuer » et à la fois « réveiller » une personne. Jusqu'au aller ? Comment ne pas s'oublier ?
On y retrouve un suspens et une intrique digne d’un polar « mais qui est cette femme ? ».
Il y a une intrigue derrière le mystère de l’obsession pour cette femme. Les lettres données petit à petit, les rencontres avec les femmes de Robert, les réponses qui arrivent petit à petit. Le lecteur a le temps de réfléchir et de trouver des pistes.
Un thème sur l’amour est très présent également. Bizarrement des amours impossibles ou difficiles la plupart du temps. Différence d’âge, mariage. J’avoue ne pas avoir compris le but de l’auteur de ce côté-là. Je trouve que le schéma se retrouve entre Robert/Mary ; Marlow/Mary et Béatrice/Oliver.
Pour ceux qui ont lus le livre, je me pose une question :
Encore une très jolie découverte grâce à ces partenariats, Merci à Thot pour ce choix et aux éditions Michel Lafont.
Le livre en lui-même parait très précieux, et est très bien adapté au thème. Couleur dorée, couverture représentant un tableau.
Les personnages sont très travaillés, très détaillés. Ils sont présentés avec leur historique, leur psychologie sauf Robert. J’aurais aimé que ce soit un peu plus poussé sur le malade, rentré parfois dans sa tête sans nous donner la réponse pour autant.
Je me suis également beaucoup attaché à Béatrice de Clerval.
Souvent de changement de narrateur mais qui sont bien précisés donc le lecteur n’est pas perdu. Je pense que cela aide le lecteur à les comprendre et à rentrer dans l’intrique.
Les descriptions, et les flashes back amènent parfois une certaine lenteur un peu dommage qui fait que j’ai eu tendance à décrocher. Je pense que certains passages auraient pu être enlevés sans gêner la lecture.
On rentre complètement dans l’univers de la peinture, l’interprétation des tableaux, des symboles. Beaucoup de détails, beaucoup de techniques mais pas ennuyant alors que je n’y connais rien.
Les lettres intriquent beaucoup au début, on se questionne sur leur place et leur utilité. Puis les intriques se recoupent et on comprend leur rôle. Dans la dernière partie, les lettres font places à des paragraphes complets alors que j’aurais aimé continué avec les lettres. Les lettres sont écrites dans un style très joli, très imaginatif, romantique.
Le livre est pour une partie psychologique sur le thème de l’obsession. L’obsession du trait parfait, de rendre le tableau vivant, de comprendre qui est cette femme et pourquoi Robert la peint sans arrêt … La question est aussi soulevée « jusqu’ou peut on aller pour aider quelqu’un ? ». Marlow enfreint toutes les règles pour Robert mais a-t-il le choix ?
On retrouve aussi une note d’espoir car Marlow s’est sorti de ses habitudes et de son enfermement grâce à cette aventure.
Alors finalement l’obsession peut à la fois « tuer » et à la fois « réveiller » une personne. Jusqu'au aller ? Comment ne pas s'oublier ?
On y retrouve un suspens et une intrique digne d’un polar « mais qui est cette femme ? ».
Il y a une intrigue derrière le mystère de l’obsession pour cette femme. Les lettres données petit à petit, les rencontres avec les femmes de Robert, les réponses qui arrivent petit à petit. Le lecteur a le temps de réfléchir et de trouver des pistes.
Un thème sur l’amour est très présent également. Bizarrement des amours impossibles ou difficiles la plupart du temps. Différence d’âge, mariage. J’avoue ne pas avoir compris le but de l’auteur de ce côté-là. Je trouve que le schéma se retrouve entre Robert/Mary ; Marlow/Mary et Béatrice/Oliver.
Pour ceux qui ont lus le livre, je me pose une question :
- Spoiler:
- Pensez vous que Aude est la fille d’Oliver ou d’Yves ?
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Voici, mon avis. Il est un peu moins enthousiaste que les premières critiques formulées:
J'ai légèrement peiné sur la lecture de ce livre parce que j'ai trouvé le rythme assez lent et le style un peu lourd et
émaillé de détails insignifiants, superflus, voire parfois un peu grotesques.
" Sa peau avait un goût piquant, le goût de l'huile d'olive extra vierge pressé à froid."
" Il a secoué tristement la tête en regardant une crotte d'oiseau collée sur le bord de la table;"
Je ne cite pas les détails les plus surprenants mais il m'est apparu étrange que Mary, la petite amie de Robert, le peintre
admis en psychiatrie vienne écrire au médecin qu'elle connaît encore à peine les moindres détails de son adolescence.Mais l'histoire reste intéressante et se déroule à la manière d'une enquête.Je
reconnais l'importance du travail de recherche de l'auteur sur la
période des impressionnistes français. D'ailleurs,
curieusement, le style littéraire s'enrichit lorsque l'auteur décrit
les tableaux, et ses analyses sont très perspicaces et
professionnelles.
" Il avait saisi l'instant de choc, d'incrédulité, l'instant où tout bascule."Quant
aux personnages, j'ai regretté qu' Andrew Marlow, le psychiatre endosse
le rôle principal car je le trouve assez fade.
Il s'éprend des femmes du peintre, sans grande conviction, un peu à
l'image d'un transfert psychiatrique. Je n'ai pas ressenti d'émotion
profonde chez cet homme, à part un désir de "se caser" à
la cinquantaine.Par contre, le caractère du peintre, Robert Oliver était riche et intéressant mais ce personnage passe rapidement au second
plan, oublié dans son hôpital et son mutisme.Bien
sûr, le personnage de Béatrice de Clerval, la jeune peintre du XIX ème
siècle est très romantique. Évoquée par le biais
de sa correspondance avec son oncle et mentor,Olivier Vignot, elle
est digne des héroïnes de Maupassant ou Flaubert. Jeune épouse, en
manque de maternité, elle s'adonne à sa passion de la
peinture et tombe amoureuse du vieil oncle qui révélera son talent.
Il y a une très grande poésie et émotion dans l'évocation de leur
rencontre charnelle.L'enchâssement
des deux histoires, celle de Béatrice au XIX ème siècle et celle,
actuelle, de l'enquête du psychiatre permet
de donner un rythme au récit. Le lecteur peut y voir l'évolution des
romances entre personnages d'âges différents (Béatrice et Olivier,
Robert ou Andrew et Mary, Henri et Aude).Globalement,
je trouve le contexte du livre sur le monde des impressionnistes bien
documenté et enrichissant. La trame de
l'histoire est bien construite et les explications se construisent
au fil du récit. L'enquête du psychiatre donnera la raison de
l'agression du peintre envers ce célèbre tableau " Léda vaincue
par le cygne".Toutefois, je n'ai pas été emportée par l'histoire, sûrement à cause du style et du manque d'intérêt pour le personnage
principal, Andrew Marlow.
Merci à Partage Lecture et aux Éditions Michel Lafon pour cette découverte.
J'ai légèrement peiné sur la lecture de ce livre parce que j'ai trouvé le rythme assez lent et le style un peu lourd et
émaillé de détails insignifiants, superflus, voire parfois un peu grotesques.
" Sa peau avait un goût piquant, le goût de l'huile d'olive extra vierge pressé à froid."
" Il a secoué tristement la tête en regardant une crotte d'oiseau collée sur le bord de la table;"
Je ne cite pas les détails les plus surprenants mais il m'est apparu étrange que Mary, la petite amie de Robert, le peintre
admis en psychiatrie vienne écrire au médecin qu'elle connaît encore à peine les moindres détails de son adolescence.Mais l'histoire reste intéressante et se déroule à la manière d'une enquête.Je
reconnais l'importance du travail de recherche de l'auteur sur la
période des impressionnistes français. D'ailleurs,
curieusement, le style littéraire s'enrichit lorsque l'auteur décrit
les tableaux, et ses analyses sont très perspicaces et
professionnelles.
" Il avait saisi l'instant de choc, d'incrédulité, l'instant où tout bascule."Quant
aux personnages, j'ai regretté qu' Andrew Marlow, le psychiatre endosse
le rôle principal car je le trouve assez fade.
Il s'éprend des femmes du peintre, sans grande conviction, un peu à
l'image d'un transfert psychiatrique. Je n'ai pas ressenti d'émotion
profonde chez cet homme, à part un désir de "se caser" à
la cinquantaine.Par contre, le caractère du peintre, Robert Oliver était riche et intéressant mais ce personnage passe rapidement au second
plan, oublié dans son hôpital et son mutisme.Bien
sûr, le personnage de Béatrice de Clerval, la jeune peintre du XIX ème
siècle est très romantique. Évoquée par le biais
de sa correspondance avec son oncle et mentor,Olivier Vignot, elle
est digne des héroïnes de Maupassant ou Flaubert. Jeune épouse, en
manque de maternité, elle s'adonne à sa passion de la
peinture et tombe amoureuse du vieil oncle qui révélera son talent.
Il y a une très grande poésie et émotion dans l'évocation de leur
rencontre charnelle.L'enchâssement
des deux histoires, celle de Béatrice au XIX ème siècle et celle,
actuelle, de l'enquête du psychiatre permet
de donner un rythme au récit. Le lecteur peut y voir l'évolution des
romances entre personnages d'âges différents (Béatrice et Olivier,
Robert ou Andrew et Mary, Henri et Aude).Globalement,
je trouve le contexte du livre sur le monde des impressionnistes bien
documenté et enrichissant. La trame de
l'histoire est bien construite et les explications se construisent
au fil du récit. L'enquête du psychiatre donnera la raison de
l'agression du peintre envers ce célèbre tableau " Léda vaincue
par le cygne".Toutefois, je n'ai pas été emportée par l'histoire, sûrement à cause du style et du manque d'intérêt pour le personnage
principal, Andrew Marlow.
Merci à Partage Lecture et aux Éditions Michel Lafon pour cette découverte.
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Alors moi je n'accroche pas du tout ... franchement si les éditions Michel Lafon ne me l'avait pas envoyé je pense que je l'aurais abandonné.
Je vais passer en lecture rapide ...
Je vais passer en lecture rapide ...
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Mon avis : Je comprends aisement que pour certains, ce livre puisse être un véritable coup de coeur : un travail sur les peintres excellent et très documenté, des personnages très recherchés, fouillés et une écriture poétique et imagée à souhait. Pour ma part, j'ai plutôt ressenti : des descriptions à n' en plus finir, des longueurs inutiles qui m'ont rendue cette lecture un peu laborieuse.
Pourtant je dois dire que je suis passée par divers sentiments, de la lassitude, j'ai eu beaucoup de mal avec les descriptions interminables qui alourdissent le rythme d'autant plus qu'il n'y a pas beaucoup d'actions dans ce livre. Une vingtaine de lignes pour sortir du cab et frapper à une porte c'est un peu long. Des explications de tableaux en long, en large et en travers mais tout de même de l'intérêt car j'ai dévoré certains passages mais peu.
J'ai pu noter aussi des personnages attachants, un peintre dévoré par sa passion et des femmes éperdument amoureuses de cet être torturé incapable de rendre une once d'amour, un artiste se donnant tout entier à sa passion jusqu'à finir en hopital psychiatrique à la limite de passer pour un autiste. Andrew Malowe son psy prêt à tout pour trouver ce qui a mis dans cet état son patient.
Une enquête qui donne tour à tour la parole aux femmes de sa vie qui nous décrivent un être tourmenté, obsédé et amoureux d'une chimère.
Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé mais ce n'est pas mon genre de lecture ; cependant je ne regrette pas, c'est un roman qui mérite le succès.
Pourtant je dois dire que je suis passée par divers sentiments, de la lassitude, j'ai eu beaucoup de mal avec les descriptions interminables qui alourdissent le rythme d'autant plus qu'il n'y a pas beaucoup d'actions dans ce livre. Une vingtaine de lignes pour sortir du cab et frapper à une porte c'est un peu long. Des explications de tableaux en long, en large et en travers mais tout de même de l'intérêt car j'ai dévoré certains passages mais peu.
J'ai pu noter aussi des personnages attachants, un peintre dévoré par sa passion et des femmes éperdument amoureuses de cet être torturé incapable de rendre une once d'amour, un artiste se donnant tout entier à sa passion jusqu'à finir en hopital psychiatrique à la limite de passer pour un autiste. Andrew Malowe son psy prêt à tout pour trouver ce qui a mis dans cet état son patient.
Une enquête qui donne tour à tour la parole aux femmes de sa vie qui nous décrivent un être tourmenté, obsédé et amoureux d'une chimère.
Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé mais ce n'est pas mon genre de lecture ; cependant je ne regrette pas, c'est un roman qui mérite le succès.
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
C'est avec un peu de retard que je rends mon avis:
Cette lecture m’a été permise grâce au partenariat établi entre les Editions Michel Lafon et le forum Partage lecture.
Ce livre peut être qualifié de roman à intrigue car le but de ce livre est principalement la quête d’explication de la dégradation du tableau par Robert Olivier.
Andrew Marlow, fort de son expérience de psychiatre et de son attrait naturel pour la peinture se retrouve intrigué le jour où il reçoit un nouveau patient : Robert Olivier. Ce dernier est interné parce qu’il a lacéré un tableau à la National Gallery et est entré depuis dans n mutisme total. Pour tenter d’aider son patient, Andrew Marlow se sent investi d’une mission : tenter d’expliquer l’inexplicable pourquoi un passionné d’art s’en est pris à un tableau ? Et pourquoi précisément à ce tableau ?
Tout d’abord, je tiens à souligner la qualité des références faites à l’art dans le livre, on sent bien que l’auteur s’est documenté avant, ce qui est d’ailleurs spécifié en quatrième de couverture où on apprend que l’auteur a consacré 5 ans de recherches aux peintres impressionnistes.
On navigue ainsi entre deux microcosmes : celui de l’art par le biais du tableau et ce qui s’y rapporte et celui de la psychiatrie grâce au feed back régulier sur Robert Olivier tout cela servi par une intrigue prometteuse et habilement mise en place.
Cependant je regrette quelques longueurs par moments, qui peuvent nous faire lâcher un peu le livre ;
Enfin je qualifierais ce livre comme un beau livre à lire qui mêle roman et documentaire facilement abordable au néophyte, mais qui demande une certaine concentration.
Cette lecture m’a été permise grâce au partenariat établi entre les Editions Michel Lafon et le forum Partage lecture.
Ce livre peut être qualifié de roman à intrigue car le but de ce livre est principalement la quête d’explication de la dégradation du tableau par Robert Olivier.
Andrew Marlow, fort de son expérience de psychiatre et de son attrait naturel pour la peinture se retrouve intrigué le jour où il reçoit un nouveau patient : Robert Olivier. Ce dernier est interné parce qu’il a lacéré un tableau à la National Gallery et est entré depuis dans n mutisme total. Pour tenter d’aider son patient, Andrew Marlow se sent investi d’une mission : tenter d’expliquer l’inexplicable pourquoi un passionné d’art s’en est pris à un tableau ? Et pourquoi précisément à ce tableau ?
Tout d’abord, je tiens à souligner la qualité des références faites à l’art dans le livre, on sent bien que l’auteur s’est documenté avant, ce qui est d’ailleurs spécifié en quatrième de couverture où on apprend que l’auteur a consacré 5 ans de recherches aux peintres impressionnistes.
On navigue ainsi entre deux microcosmes : celui de l’art par le biais du tableau et ce qui s’y rapporte et celui de la psychiatrie grâce au feed back régulier sur Robert Olivier tout cela servi par une intrigue prometteuse et habilement mise en place.
Cependant je regrette quelques longueurs par moments, qui peuvent nous faire lâcher un peu le livre ;
Enfin je qualifierais ce livre comme un beau livre à lire qui mêle roman et documentaire facilement abordable au néophyte, mais qui demande une certaine concentration.
Invité- Invité
Cygnes
Ravie de vous rejoindre.
J'espère lire assez pour suivre le rythme :-)
J'avais dévoré "l'historienne et Dracula".
Je suis tombée dans "les voleurs de cygnes" avec autant de facilité.
Les personnages sont riches, complexes, merveilleusement humains.
Les incrustations des lettres au sein des textes nous emmènent d'une époque à l'autre avec une facilité déconcertante.
Extrêmement bien construit ce livre m'a laissée joliment rêveuse.
Et surtout donne l'envie d'en savoir plus : une très bonne publicité pour la visite de musées :-)
J'espère lire assez pour suivre le rythme :-)
J'avais dévoré "l'historienne et Dracula".
Je suis tombée dans "les voleurs de cygnes" avec autant de facilité.
Les personnages sont riches, complexes, merveilleusement humains.
Les incrustations des lettres au sein des textes nous emmènent d'une époque à l'autre avec une facilité déconcertante.
Extrêmement bien construit ce livre m'a laissée joliment rêveuse.
Et surtout donne l'envie d'en savoir plus : une très bonne publicité pour la visite de musées :-)
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Je viens d'en terminer la lecture. bien que j'en ais très apprécié la lecture, il n'est pourtant pas dans mes coups de coeur !
peut être par certaines descriptions longues ou trop répétitives, ce qui crée une lassitude temporaire dans la lecture mais par contre j'ai beaucoup aimé le mélange de deux époques par le biais des lettres entre Béatrice et Olivier ; la "folie" de ce peintre, Robert, dûe à cette obssession sur Béatrice est bien écrite ainsi que la souffrance des êtres qu'ils cotoient (Kate et Mary). La recherche sur les peintres impressionnistes est riche et interessante. elle nous pousse à aller voir les peintures décrites...
L'enquète que mène le psychiatre manque un peu de punch ! je rejoins dans ce sens Jostein. Il manque quelque chose dans le personnage de Marlow.
peut être par certaines descriptions longues ou trop répétitives, ce qui crée une lassitude temporaire dans la lecture mais par contre j'ai beaucoup aimé le mélange de deux époques par le biais des lettres entre Béatrice et Olivier ; la "folie" de ce peintre, Robert, dûe à cette obssession sur Béatrice est bien écrite ainsi que la souffrance des êtres qu'ils cotoient (Kate et Mary). La recherche sur les peintres impressionnistes est riche et interessante. elle nous pousse à aller voir les peintures décrites...
L'enquète que mène le psychiatre manque un peu de punch ! je rejoins dans ce sens Jostein. Il manque quelque chose dans le personnage de Marlow.
BESMAR- Grand expert du forum
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Nombre de messages : 1204
Age : 60
Localisation : Au Quebec
Emploi/loisirs : agente de gestion du personnel en invalidité- loisirs : lecture, rénovations-bricolage-décoration.
Genre littéraire préféré : Policiers (PD James, Connelly,Reich), romans historiques, aventure, tres peu de fiction sinon toute lecture m'interesse !!mon coup de coeur actuel est "L'Élégance du Hérisson" de Mureil Barberry
Date d'inscription : 18/07/2010
Enigme
Bonjour à tous,
Je suis également une fanatique des "Voleurs de cygnes" mais je ne comprends pas bien la fin... Marlow a tout trouvé certes mais cela suffit-il à guérir Robert de son obsession???
On dirait que c'est magique or les obsessions ne se guérisssent pas si facilement d'après les psys.Si quelqu'un pouvait me répondre à ce sujet j'en serais ravie!
Je suis également une fanatique des "Voleurs de cygnes" mais je ne comprends pas bien la fin... Marlow a tout trouvé certes mais cela suffit-il à guérir Robert de son obsession???
On dirait que c'est magique or les obsessions ne se guérisssent pas si facilement d'après les psys.Si quelqu'un pouvait me répondre à ce sujet j'en serais ravie!
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
Quoi dire apres tant de si beaux commentaires? J'ai adore ce livre ou l'auteur prend un tableau et "brode" sur ce qu'il y voit. L'histoire est epatante, l'architecture du livre est admirable! J'en suis ravie.
Invité- Invité
Re: [Kostova, Elisabeth] Les voleurs de cygnes
contente Libellule de voir que tu as aimé ce livre, en même une passionnée de peintures et de couleurs comme toi, ne pouvais que plébisciter
Pinky- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
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