[O'Brian, Patrick] Le port de la trahison
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Votre avis sur Le port de la trahison de Patrick O'Brian
[O'Brian, Patrick] Le port de la trahison
Titre : Les aventures de Jack Aubrey, tome 9 : le Port de la trahison.
Auteur : Patrick O’Brian.
Editeur : Omnibus.
p. 9 à 254.
Résumé (p. 997) :
La Valette - port de Malte constituant un bastion britannique en Méditerranée - est le port de toutes les trahisons, les vraies et les fausses. Pour ce qui est des vraies : chaque fois que Jack Aubrey appareille pour une mission délicate, que ce soit en mer Rouge, en Adriatique ou vers le mystérieux port barbaresque de Zambra, les Français se tiennent en embuscade. Il y a forcément un traître à La Valette. Quant aux fausses trahisons : quels sont les véritables liens qui se sont tissés entre le docteur Stephen Maturin et la sublime Laura Fielding ?
Mon avis :
Ce livre est le neuvième tome des aventures de Jack Aubrey. Ce volume est particulier, car pendant le premier tiers de l’intrigue, le capitaine est obligé de rester à terre, dans l’attente de la réparation de son navire la Surprise. Nous découvrons ainsi la vie des marins à terre et leurs occupations, trompant l’ennui, dépensant leur solde. Nous voyons les difficultés qu’a Jack Aubrey à conserver ses marins (ils sont enrôlés de force sur d’autres navires) et à maintenir un semblant de discipline, tout en attendant lui-même des nouvelles de sa famille et de ses affaires.
Ce calme apparent cache un autre enjeu : Stephen Mathurin, chirurgien et meilleur ami de Jack Aubrey, est au centre d’une intrigue d’espionnage. Espion par haine farouche de l’Empereur et non par appât du gain, sa finesse d’analyse lui permet de déjouer les pièges qui lui sont tendus - mais pas de toujours protéger son ami.
Car Jack Aubrey va reprendre la mer. Dès qu’une mission lui est confiée, Jack Aubrey reprend du poil de la bête, bien que les obstacles soient nombreux. Les batailles vont crescendo, jusqu’à un dénouement percutant, mais Aubrey ne fait que jouer d'une inhabituelle malchance, qui doit plus à des trahisons (d'où le titre) qu'au fait que lui ou ses hommes aient démérité.
Roman d’aventure, le Port de la Trahison contient également des scènes extrêmement drôles. Pour Stephen Mathurin, l’eau est vraiment son élément, il suffit de voir sa propension à tomber dedans dès qu’une occasion se présente. Quant à Jack Aubrey, il se passerait bien de l’amour qu’il a provoqué chez un éminent représentant de la race canine.
Auteur : Patrick O’Brian.
Editeur : Omnibus.
p. 9 à 254.
Résumé (p. 997) :
La Valette - port de Malte constituant un bastion britannique en Méditerranée - est le port de toutes les trahisons, les vraies et les fausses. Pour ce qui est des vraies : chaque fois que Jack Aubrey appareille pour une mission délicate, que ce soit en mer Rouge, en Adriatique ou vers le mystérieux port barbaresque de Zambra, les Français se tiennent en embuscade. Il y a forcément un traître à La Valette. Quant aux fausses trahisons : quels sont les véritables liens qui se sont tissés entre le docteur Stephen Maturin et la sublime Laura Fielding ?
Mon avis :
Ce livre est le neuvième tome des aventures de Jack Aubrey. Ce volume est particulier, car pendant le premier tiers de l’intrigue, le capitaine est obligé de rester à terre, dans l’attente de la réparation de son navire la Surprise. Nous découvrons ainsi la vie des marins à terre et leurs occupations, trompant l’ennui, dépensant leur solde. Nous voyons les difficultés qu’a Jack Aubrey à conserver ses marins (ils sont enrôlés de force sur d’autres navires) et à maintenir un semblant de discipline, tout en attendant lui-même des nouvelles de sa famille et de ses affaires.
Ce calme apparent cache un autre enjeu : Stephen Mathurin, chirurgien et meilleur ami de Jack Aubrey, est au centre d’une intrigue d’espionnage. Espion par haine farouche de l’Empereur et non par appât du gain, sa finesse d’analyse lui permet de déjouer les pièges qui lui sont tendus - mais pas de toujours protéger son ami.
Car Jack Aubrey va reprendre la mer. Dès qu’une mission lui est confiée, Jack Aubrey reprend du poil de la bête, bien que les obstacles soient nombreux. Les batailles vont crescendo, jusqu’à un dénouement percutant, mais Aubrey ne fait que jouer d'une inhabituelle malchance, qui doit plus à des trahisons (d'où le titre) qu'au fait que lui ou ses hommes aient démérité.
Roman d’aventure, le Port de la Trahison contient également des scènes extrêmement drôles. Pour Stephen Mathurin, l’eau est vraiment son élément, il suffit de voir sa propension à tomber dedans dès qu’une occasion se présente. Quant à Jack Aubrey, il se passerait bien de l’amour qu’il a provoqué chez un éminent représentant de la race canine.
Sharon- Modérateur
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Date d'inscription : 01/11/2008
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