[Condé, Maryse] En attendant la montée des eaux
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[Condé, Maryse] En attendant la montée des eaux
En attendant la montée des eaux
Auteur : Maryse Condé
Née en 1934 à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Maryse Condé est l’auteur d’une œuvre considérable : la trilogie Ségou, La Migration des cœurs, La Traversée de la mangrove, Désirada, La Belle Créole, Histoire de la femme cannibale, Les Belles Ténébreuses, publiée aux Editions Robert Laffont et au Mercure de France. Elle a reçu le prix Tropiques, le prix de l’Académie Française et le prix Marguerite Yourcenar. Après avoir longtemps enseigné à l’Université de Columbia, elle se partage aujourd’hui entre Paris et New York.
On retrouve dans En attendant la montée des eaux ses thèmes et ses paysages de prédilection, l’empire de Ségou, les sociétés antillaises, la terrible Haïti.
Editeur : JC Lattès
Nombres de pages : 364 pages
4ème de couverture :
Babakar est médecin. Il vit seul avec ses souvenirs d’une enfance africaine, d’une mère aux yeux bleus qui vient le visiter en songe, d’un ancien amour, Azelia, disparue elle aussi, et autres rêves de jeunesse d’avant son exil en Guadeloupe, berceau de sa famille. Mais le hasard ou la providence place une enfant sur sa route et l’oblige à renoncer à sa solitude, à ses fantômes.
La petite Anaïs n’a que lui. Sa mère, une réfugiée haïtienne, est morte en la mettant au monde, lui léguant sa fuite et sa misère. Babakar veut lui offrir un autre avenir. Ils s’envolent pour Haïti, cette île martyrisée par la violence, les gouvernements corrompus, les bandes rebelles, mais si belle, si envoûtante. Babakar recherche la famille d’Anaïs, une tante, un oncle, des grands-parents peut-être, qui pourraient lui raconter son histoire. Mais Babakar ne rencontre personne et ne peut compter que sur lui et sur ses deux amis Movar et Fouad. Des hommes qui lui ressemblent, exilés, solitaires, à la recherche d’eux-mêmes et qui trouvent à Haïti des réponses à leur quête, un lieu de paix au milieu des décombres.
Mon avis :
Auteur : Maryse Condé
Née en 1934 à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), Maryse Condé est l’auteur d’une œuvre considérable : la trilogie Ségou, La Migration des cœurs, La Traversée de la mangrove, Désirada, La Belle Créole, Histoire de la femme cannibale, Les Belles Ténébreuses, publiée aux Editions Robert Laffont et au Mercure de France. Elle a reçu le prix Tropiques, le prix de l’Académie Française et le prix Marguerite Yourcenar. Après avoir longtemps enseigné à l’Université de Columbia, elle se partage aujourd’hui entre Paris et New York.
On retrouve dans En attendant la montée des eaux ses thèmes et ses paysages de prédilection, l’empire de Ségou, les sociétés antillaises, la terrible Haïti.
Editeur : JC Lattès
Nombres de pages : 364 pages
4ème de couverture :
Babakar est médecin. Il vit seul avec ses souvenirs d’une enfance africaine, d’une mère aux yeux bleus qui vient le visiter en songe, d’un ancien amour, Azelia, disparue elle aussi, et autres rêves de jeunesse d’avant son exil en Guadeloupe, berceau de sa famille. Mais le hasard ou la providence place une enfant sur sa route et l’oblige à renoncer à sa solitude, à ses fantômes.
La petite Anaïs n’a que lui. Sa mère, une réfugiée haïtienne, est morte en la mettant au monde, lui léguant sa fuite et sa misère. Babakar veut lui offrir un autre avenir. Ils s’envolent pour Haïti, cette île martyrisée par la violence, les gouvernements corrompus, les bandes rebelles, mais si belle, si envoûtante. Babakar recherche la famille d’Anaïs, une tante, un oncle, des grands-parents peut-être, qui pourraient lui raconter son histoire. Mais Babakar ne rencontre personne et ne peut compter que sur lui et sur ses deux amis Movar et Fouad. Des hommes qui lui ressemblent, exilés, solitaires, à la recherche d’eux-mêmes et qui trouvent à Haïti des réponses à leur quête, un lieu de paix au milieu des décombres.
Mon avis :
Dernière édition par mimi54 le Ven 1 Avr 2011 - 17:03, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [Condé, Maryse] En attendant la montée des eaux
Au delà de l'histoire de la petite Anaïs, recueillie par Babakar, le roman est le prétexte pour montrer l'absurdité des guerres civiles, qu'elles se déroulent en Afrique noire, en Palestine ou en Haïti. Des hommes se battent contre leurs frères pour défendre une liberté, un idéal mais le libérateur d'aujourd'hui deviendra le dictateur de demain et il est difficile de rester neutre sans choisir un camp plutôt que l'autre.
Le livre est aussi une réflexion sur l'attachement au passé, à ses racines, à sa culture.
L'écriture de Maryse Condé est agréable, elle retranscrit très bien les atmosphères, j'ai déambulé dans les rues de Éburnéa (Côte d'ivoire ?) ou de Port aux princes à la suite des personnages mais je ne suis pas vraiment rentrée dans l'histoire d'où l'avis "moyennement apprécié". De plus, les phrases en créole non traduites m'ont un peu gêné : heureusement qu'il n'y en a pas trop.
Le livre est aussi une réflexion sur l'attachement au passé, à ses racines, à sa culture.
L'écriture de Maryse Condé est agréable, elle retranscrit très bien les atmosphères, j'ai déambulé dans les rues de Éburnéa (Côte d'ivoire ?) ou de Port aux princes à la suite des personnages mais je ne suis pas vraiment rentrée dans l'histoire d'où l'avis "moyennement apprécié". De plus, les phrases en créole non traduites m'ont un peu gêné : heureusement qu'il n'y en a pas trop.
Invité- Invité
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