[Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
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angele13127
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Votre avis sur "Le dernier jour d'un condamné" de Victor Hugo
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
J'ai lu ce livre cette année en seconde, c'est un livre que j'ai trouvé émouvant, un véritable plaidoyer contre la peine de mort. Une grande oeuvre littéraire, avec la vision du condamné. Peine, souffrance mentale et physique, c'est un livre haletant et émouvant.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Je l'ai lu l'année dernière.C'est un livre poignant,émouvant surtout la dernère partie.C'est un livre qui se lit vite.
angele13127- Grand sage du forum
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Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Je l'ai lu au collège et j'avoue que je l'ai pas vraiment apprécié...
Mais maintenant redécouvre sa valeur et sonb intérêt pour la société de l'époque.
Mais maintenant redécouvre sa valeur et sonb intérêt pour la société de l'époque.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Fontaine a écrit:J'ai lu plusieurs fois ce court texte (moins de cent pages en Librio) que Victor Hugo a écrit jeune, il avait un peu plus de trente ans je crois: on se retrouve brutalement à vivre "du dedans" la condamnation à mort, peu importe la raison de la condamnation, c'est pourquoi elle n'est jamais dite. L'important, c'est que le personnage est coupable et que d'autres hommes vont le tuer. Il n'y a rien à changer, dans notre XXIe siècle, à ce plaidoyer contre l'horreur barbare de la peine de mort. J'ai vu ce texte mis en scène à Avignon en juillet dernier: les mots, dits par un tout jeune comédien seul devant un mur blanc, gardent une telle force que le public était complètement silencieux et bouleversé à la fin du spectacle, avant d'applaudir et de rester discuter... On pense bien sûr à la fin de "L'Etranger" d'Albert Camus, mais Hugo pose une autre question, toujours d'actualité:quel que soit l'acte commis par un homme, d'autres hommes ont-ils le droit de le tuer? A chacun d'y réfléchir, c'est pour cela que ce livre mérite d'être lu: il vous met à la place du condamné....
Je viens de découvrir ce forum et en lisant ce message, j'ai pensé à "La ligne verte" de Stephen King et à tous ces condamnés qui passent des années dans les couloirs de la mort, souvent injustement s'ils sont pauvres et noirs.De quel côté est la barbarie?
Comment endurent-ils cette situation?...
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Je l'avais lu au collège ce livre, et j'avais trouvé ça plutôt poignant à l'époque. Je ne serai pas forcément tentée à le relire, mais j'en ai gardé un souvenir assez marqué.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Je l'ai lu il y a très longtemps, au collège, et je n'en ai pas de souvenir très précis, mais je me souviens qu'il m'avait énormément marquée et m'avait pour la première fois poussée à réfléchir à la peine de mort, qui existait encore en France à l'époque. Je crois que c'est le plus beau plaidoyer contre cette pratique barbare, avec toute la puissance et la force de conviction qu'insufflait Hugo à ses textes politiques.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Mon avis :
Quelle belle manière aura utilisé Victor Hugo pour combattre cette absurdité qu'est la peine capitale encore en application dans bien des pays. Ce texte est écrit à la première personne, nous nous retrouvons à la place de ce condamné dont on ne connaît, ni son âge, bien que l'on comprenne qu'il est trop jeune pour mourir, ni son nom, ni son travail. Il a une famille, une femme et une petite fille. Au delà de sa mort, il dénonce aussi la souffrance de sa famille.
De ce condamné, nous ne connaissons que sa condamnation, la peine capitale. La guillotine, inventée pour rendre à la mort sa dignité, dont l'inventeur se verra refuser le brevet par la France, encore une contradiction "à la française".
Nous ne saurons pas quelle faute aura t-il commis, mais mérite t-elle la peine capitale. Qui mérite la mise à mort ?
Ce dernier jour est horrible, trop vite passé. Les acteurs de cette mise à mort sont autour de ce condamné, soudain respectueux, craintif, ils vont lui voler sa vie, lui ôter ce que nous avons de plus cher.
Victor Hugo nous emmène dans les geôles, sales et impersonnelles, ou les condamnés, les célèbres comme les anonymes, essayent de laisser une trace de leur passage sur cette terre.
C'est poignant, mais c'est loin d'être de la fiction. La France n'a aboli la peine capitale qu'en 1981. Combien d'hommes et de femmes auront eu la tête tranchée pour un crime qu'ils auront commis ou pas. Victor Hugo nous délivre non pas une nouvelle, mais un cri de rage, de désespoir, contre la bêtise humaine.
Quelle belle manière aura utilisé Victor Hugo pour combattre cette absurdité qu'est la peine capitale encore en application dans bien des pays. Ce texte est écrit à la première personne, nous nous retrouvons à la place de ce condamné dont on ne connaît, ni son âge, bien que l'on comprenne qu'il est trop jeune pour mourir, ni son nom, ni son travail. Il a une famille, une femme et une petite fille. Au delà de sa mort, il dénonce aussi la souffrance de sa famille.
De ce condamné, nous ne connaissons que sa condamnation, la peine capitale. La guillotine, inventée pour rendre à la mort sa dignité, dont l'inventeur se verra refuser le brevet par la France, encore une contradiction "à la française".
Nous ne saurons pas quelle faute aura t-il commis, mais mérite t-elle la peine capitale. Qui mérite la mise à mort ?
Ce dernier jour est horrible, trop vite passé. Les acteurs de cette mise à mort sont autour de ce condamné, soudain respectueux, craintif, ils vont lui voler sa vie, lui ôter ce que nous avons de plus cher.
Victor Hugo nous emmène dans les geôles, sales et impersonnelles, ou les condamnés, les célèbres comme les anonymes, essayent de laisser une trace de leur passage sur cette terre.
C'est poignant, mais c'est loin d'être de la fiction. La France n'a aboli la peine capitale qu'en 1981. Combien d'hommes et de femmes auront eu la tête tranchée pour un crime qu'ils auront commis ou pas. Victor Hugo nous délivre non pas une nouvelle, mais un cri de rage, de désespoir, contre la bêtise humaine.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Je l'ai lu en seconde, ou peut être en 3ème ... donc ça remonte, et je dois dire que je ne m'en souviens pas tellement. Mais je pense avoir apprécié ma lecture.
Par contre je vais être la première à ne pas être totalement d'accord avec vous sur la peine de mort. Je ne dis pas que je suis pour, ni contre. Je pense que tout dépend des cas.
Je ne suis pas d'accord avec ceux qui disent "peu importe le crime commis, a t'on le droit de lui ôter la vie ?" J'ai envie de vous répondre "oui" ! Mais encore une fois tout dépend du crime ... Une "personne" qui a tué pour le plaisir ou qui a commis un viol, je n'éprouverais aucune pitié à sa souffrance amplement mérité.
Je suis contre, toujours dans un cas de crime atroce, dans le sens, où je perçois un peu l'exécution comme trop facile, je serais plus de l'avis d'une condamnation à perpétuité.
Je suis contre, à 200 %, pour les délits qui ne méritent pas la mort, et bien entendu quant on voit de quelle façon la justice rend ses verdicts, "à la tête du client" j'ai envie de dire, on ne peux que contester cette pratique.
ps : désolé de cet égarement, mais j'avais envie de donner mon avis.
Par contre je vais être la première à ne pas être totalement d'accord avec vous sur la peine de mort. Je ne dis pas que je suis pour, ni contre. Je pense que tout dépend des cas.
Je ne suis pas d'accord avec ceux qui disent "peu importe le crime commis, a t'on le droit de lui ôter la vie ?" J'ai envie de vous répondre "oui" ! Mais encore une fois tout dépend du crime ... Une "personne" qui a tué pour le plaisir ou qui a commis un viol, je n'éprouverais aucune pitié à sa souffrance amplement mérité.
Je suis contre, toujours dans un cas de crime atroce, dans le sens, où je perçois un peu l'exécution comme trop facile, je serais plus de l'avis d'une condamnation à perpétuité.
Je suis contre, à 200 %, pour les délits qui ne méritent pas la mort, et bien entendu quant on voit de quelle façon la justice rend ses verdicts, "à la tête du client" j'ai envie de dire, on ne peux que contester cette pratique.
ps : désolé de cet égarement, mais j'avais envie de donner mon avis.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Sauf que personne n'est pas assez bon, assez juste pour avoir le droit de donner la mort à quelqu'un . Enfin, ça c'est un autre débat sur lequel on pourrait parler des heures.
Cependant, je comprends ton point de vue. C'est vrai que quelquefois, la question se pose.
Cependant, je comprends ton point de vue. C'est vrai que quelquefois, la question se pose.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Je suis d'accord avec toi, et c'est en ça que ce sujet est très complexe.Voyager-en-lecture a écrit:Sauf que personne n'est pas assez bon, assez juste pour avoir le droit de donner la mort à quelqu'un . Enfin, ça c'est un autre débat sur lequel on pourrait parler des heures.
Cependant, je comprends ton point de vue. C'est vrai que quelquefois, la question se pose.
Invité- Invité
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Le dernier jour d'un condamné : Victor Hugo nous fait vivre intensément les derniers moments d’un être que la justice des hommes a condamné à mort. Espoir et désespoir, joies et souffrances, le séisme moral que subit cet homme, l’électrochoc de sa fin prochaine révoltent le lecteur. Ce livre est si fort, si intense, si éclatant, qu’au fond de notre âme quelque chose se fêle...
Claude Gueux : Victor Hugo reprend dans cette nouvelle, qui raconte l'histoire d'un ouvrier accule au vol et condamné pour son forfait, l'un de ses thèmes de prédilection (cf. Le Dernier Jour d'un condamné) : la peine de mort.
L’affaire Tapner : Analyse d’une condamnation sur l’île anglo-normande de Guernesey. Hugo prend fait et cause pour John Charles Tapner, condamné à la pendaison pour avoir cambriolé et incendié une maison après avoir tué sa propriétaire.
Mon avis :
Ces 3 textes sont tous des plaidoyers contre la peine de mort ajouté à une réflexion sur le droit de la donner. Hugo prend clairement partis et milite pour cette abolition. Le regroupement de ces textes engagés est intéressant et cohérent. Un bon moment de lecture. Personnellement j'ai une petite préférence pour Claude Gueux. Le dernier jour d'un condamné est bien mais j'ai été dérangé bizarrement (sans mauvais esprit) par le fait que je connaissais déjà la fin de l'histoire.
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Sarfre- Grand expert du forum
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Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Je l'ai lu récemment, après avoir vu le téléfilm sur l'abolition réalisé par france 5 .
Intéressant dans la manière d'aborder la chose. Ne pas se consacrer sur ce qu'a fait le condamné, uniquement sur le court séjour en prison et les pensées de cet homme, assez glaçantes.
Je ne suis pas ressorti le même à la fin du livre.
Intéressant dans la manière d'aborder la chose. Ne pas se consacrer sur ce qu'a fait le condamné, uniquement sur le court séjour en prison et les pensées de cet homme, assez glaçantes.
Je ne suis pas ressorti le même à la fin du livre.
Invité- Invité
nouka2000- Grand expert du forum
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Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Victor Hugo nous fait réfléchir sur un sujet très intéressant : La peine de mort. J’ai adoré le style d’écriture de Victor Hugo. L’idée de ne pas révéler le crime du condamnée est, je trouve, une bonne idée. Cela permet de s’interroger :
« Peu importe le crime commis, a-t-on le droit d’opter la vie à quelqu’un ? Comment peut – on punir un crime en commettant un autre crime ? Cela a-t’ il un sens ? »
Le moment ou la fille du condamné vient le voir et ne reconnait pas son père m’a beaucoup ému.
Voilà deux citations :
« La mort rend méchant »
« Si c’eut été un mouton ou un bœuf qu’on eut mené à la boucherie, il aurait fallu leur jeter une bourse d’argent ; mais une tête humaine ne paie pas de droit.»
Même si je n’ai pas compris certains passages je pense avoir compris l’essentiel. C’est un coup de cœur !
« Peu importe le crime commis, a-t-on le droit d’opter la vie à quelqu’un ? Comment peut – on punir un crime en commettant un autre crime ? Cela a-t’ il un sens ? »
Le moment ou la fille du condamné vient le voir et ne reconnait pas son père m’a beaucoup ému.
Voilà deux citations :
« La mort rend méchant »
« Si c’eut été un mouton ou un bœuf qu’on eut mené à la boucherie, il aurait fallu leur jeter une bourse d’argent ; mais une tête humaine ne paie pas de droit.»
Même si je n’ai pas compris certains passages je pense avoir compris l’essentiel. C’est un coup de cœur !
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Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
J’ai découvert ce texte au lycée. il m’avait déjà beaucoup plu. Cette relecture, avec mes yeux d’adulte m’a touchée. Evidemment en France la peine de mort n’existe plus cependant à travers le monde ce texte reste très (trop) actuel.
Ce qui touche c’est la force des mots d’Hugo. Ce condamné, cet homme, n’a pas de nom, jamais il n’est indiqué précisément quel est son crime. C’est un fils, un mari, un père mais ça pourrait être n’importe qui. C’est lui qui raconte, comme pour renforcer le poids des mots. En effet un narrateur extérieur n’aurait pas apporté cette force.
Avec ce condamné, on suit le compte à rebours. Cette torture de savoir que les heures sont comptées, l’espoir d’une remise de peine et puis le verdict qui tombe presque pire que la guillotine car elle supprime le dernière espoir. On le dépossède de tout. Même sa fille ne le reconnaîtra pas lors d’une ultime visite.
Les chapitres très court accentuent encore ce côté course contre la montre que l’on sait perdu d’avance. On y sent toute la douleur physique mais aussi morale que ces conditions entraînent.
Il n’y a pas que la peine de mort qui est remis en cause ici. En effet Hugo souligne toute les charognes qui se repaissent du spectacle, s’amusant de l’horreur puisque cela ne « les concernent pas ». Là encore on ne peut que dire que c’est toujours actuel!
Je ne ferais pas une étude de texte. Ce n’est pas le but et j’ai arrêté mes études depuis trop longtemps pour ça ^^, mais je ne peux que vous conseiller ce texte fort.
Ce qui touche c’est la force des mots d’Hugo. Ce condamné, cet homme, n’a pas de nom, jamais il n’est indiqué précisément quel est son crime. C’est un fils, un mari, un père mais ça pourrait être n’importe qui. C’est lui qui raconte, comme pour renforcer le poids des mots. En effet un narrateur extérieur n’aurait pas apporté cette force.
Avec ce condamné, on suit le compte à rebours. Cette torture de savoir que les heures sont comptées, l’espoir d’une remise de peine et puis le verdict qui tombe presque pire que la guillotine car elle supprime le dernière espoir. On le dépossède de tout. Même sa fille ne le reconnaîtra pas lors d’une ultime visite.
Les chapitres très court accentuent encore ce côté course contre la montre que l’on sait perdu d’avance. On y sent toute la douleur physique mais aussi morale que ces conditions entraînent.
Il n’y a pas que la peine de mort qui est remis en cause ici. En effet Hugo souligne toute les charognes qui se repaissent du spectacle, s’amusant de l’horreur puisque cela ne « les concernent pas ». Là encore on ne peut que dire que c’est toujours actuel!
Je ne ferais pas une étude de texte. Ce n’est pas le but et j’ai arrêté mes études depuis trop longtemps pour ça ^^, mais je ne peux que vous conseiller ce texte fort.
Ils disent que ce n’est rien, qu’on ne souffre pas, que c’est une fin douce, que la mort de cette façon est bien simplifiée. Eh! qu’est-ce donc que cette agonie de six semaines et ce râle de tout un jour? Qu’est-ce que les angoisses de cette journée irréparable, qui s’écoule si lentement et si vite? Qu’est-ce que cette échelle de torture qui aboutit à l’échafaud?
Apparemment ce n’est pas là souffrir.
Re: [Hugo, Victor] Le dernier jour d'un condamné
Merci Bella pour ta critique, je vais peut-être me replonger dedans
Eiger- Grand sage du forum
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