[Ibargüengoitia, Jorge] Les mortes
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[Ibargüengoitia, Jorge] Les mortes
Jorge Ibargüengoitia - Les mortes
205 pages
Gallimard (13 février 1996)-Collection : Série noire
présentation de l'éditeur : Archangela et Seraphina se sont pas des anges mais plutôt des maquerelles. Et quand une loi interdit la prostitution, les deux dames sont bien obligées de cacher leur personnel dans une maison close désaffectée, en attendant des jours meilleurs. La justice et la prostitution n'ont jamais fait très bon ménage. Mais les dames recluses et inactives finissent par avoir des montées de fièvre, si bien que certaine viennent à mourir d'étrange façon...
Serafina et Arcángela Baladro, deux soeurs, maquerelles de plusieurs lupanars mexicains, se voient contraintes de cacher leur pensionnaire dans un ancien bordel, lors de l’application d’un décret interdisant l’ouverture des maisons de closes. Cette fermeture va générer des conflits parmi les filles y sont recluses et certaines disparaissent.
citations, "Comment le gouverneur Cabanas s'est-il avisé de faire une chose qui,
dans le Plan d'En Bas, n'était, en cent quarante ans d'indépendance, venue à l'esprit de personne : interdire la prostitution ?"
mon avis : Oeuvre de fiction à partir d'un fait divers... où la "naïveté" dûe à l'ignorance, côtoie l'horreur... nous entraîne sur les traces de la traite des femmes et particulièrement de très jeunes filles, parfois vendues par leurs mères, vers une administration aveugle sinon coupable de corruption.
A peine croyable ! et pourtant... étonnant et jubilatoire, l'histoire est racontée dans des termes simples et malgré l'horreur, j'ai dévoré ce livre.
205 pages
Gallimard (13 février 1996)-Collection : Série noire
présentation de l'éditeur : Archangela et Seraphina se sont pas des anges mais plutôt des maquerelles. Et quand une loi interdit la prostitution, les deux dames sont bien obligées de cacher leur personnel dans une maison close désaffectée, en attendant des jours meilleurs. La justice et la prostitution n'ont jamais fait très bon ménage. Mais les dames recluses et inactives finissent par avoir des montées de fièvre, si bien que certaine viennent à mourir d'étrange façon...
Serafina et Arcángela Baladro, deux soeurs, maquerelles de plusieurs lupanars mexicains, se voient contraintes de cacher leur pensionnaire dans un ancien bordel, lors de l’application d’un décret interdisant l’ouverture des maisons de closes. Cette fermeture va générer des conflits parmi les filles y sont recluses et certaines disparaissent.
citations, "Comment le gouverneur Cabanas s'est-il avisé de faire une chose qui,
dans le Plan d'En Bas, n'était, en cent quarante ans d'indépendance, venue à l'esprit de personne : interdire la prostitution ?"
mon avis : Oeuvre de fiction à partir d'un fait divers... où la "naïveté" dûe à l'ignorance, côtoie l'horreur... nous entraîne sur les traces de la traite des femmes et particulièrement de très jeunes filles, parfois vendues par leurs mères, vers une administration aveugle sinon coupable de corruption.
A peine croyable ! et pourtant... étonnant et jubilatoire, l'histoire est racontée dans des termes simples et malgré l'horreur, j'ai dévoré ce livre.
Dernière édition par PetitePrincesse le Mar 15 Mar 2011 - 17:47, édité 1 fois (Raison : sondage + titre)
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Re: [Ibargüengoitia, Jorge] Les mortes
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