[Gilmour, David] Une nuit rêvée pour aller en Chine
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Votre avis sur le livre de David Gilmour
[Gilmour, David] Une nuit rêvée pour aller en Chine
Titre : Une nuit rêvée pour aller en Chine
Auteur : David Gilmour
Edition :Actes Sud
Date de parution : 02/11/2007
Nombre de pages : 146
Quatrième de couverture :
Au lendemain d'une nuit d'insomnie, Roman, seul à la maison avec son fils, se sent pris de vague à l'âme : il n'est pas d'humeur à s'occuper de Simon, pas d'humeur à lui lire une histoire. Après avoir mis l'enfant au lit, il sort fumer une cigarette et se laisse attirer par la musique qui sort d'un bar, non loin. Quand, peu de temps après, Roman revient chez lui, Simon a disparu. La quête paternelle pour retrouver le jeune garçon prend bientôt les allures d'une inquiétante dérive : qui pourrait concevoir que la vie de Roman se résume désormais à dormir et à revoir son fils en rêve sur une île des Caraïbes ?
Dans la prose simple et retenue de Gilmour plane l'ivresse de la perte et le détachement irréversible du reste du monde : parents, amis, travail.
Comme un bruit de fond léger mais obsédant, la culpabilité hante de sa présence diffuse chaque page de ce roman chaviré.
Mon avis :
Ce roman est une très belle histoire, triste, mais belle, et touchante. En règle générale je n'aime pas trop ce genre de roman. Mais là j'ai trouvé ça très intéressant. C'est une véritable descente aux enfers pour ce père qui va essayer de trouver une sorte d'échappatoire pour essayer (ou non) de vivre malgré la perte de son fils, pour laquelle il se sent coupable. Tout au long de ce roman (court, certes, mais intense) plane au dessus de nous une espèce de mal - être, comme si on était ce père. C'est poignant.
Auteur : David Gilmour
Edition :Actes Sud
Date de parution : 02/11/2007
Nombre de pages : 146
Quatrième de couverture :
Au lendemain d'une nuit d'insomnie, Roman, seul à la maison avec son fils, se sent pris de vague à l'âme : il n'est pas d'humeur à s'occuper de Simon, pas d'humeur à lui lire une histoire. Après avoir mis l'enfant au lit, il sort fumer une cigarette et se laisse attirer par la musique qui sort d'un bar, non loin. Quand, peu de temps après, Roman revient chez lui, Simon a disparu. La quête paternelle pour retrouver le jeune garçon prend bientôt les allures d'une inquiétante dérive : qui pourrait concevoir que la vie de Roman se résume désormais à dormir et à revoir son fils en rêve sur une île des Caraïbes ?
Dans la prose simple et retenue de Gilmour plane l'ivresse de la perte et le détachement irréversible du reste du monde : parents, amis, travail.
Comme un bruit de fond léger mais obsédant, la culpabilité hante de sa présence diffuse chaque page de ce roman chaviré.
Mon avis :
Ce roman est une très belle histoire, triste, mais belle, et touchante. En règle générale je n'aime pas trop ce genre de roman. Mais là j'ai trouvé ça très intéressant. C'est une véritable descente aux enfers pour ce père qui va essayer de trouver une sorte d'échappatoire pour essayer (ou non) de vivre malgré la perte de son fils, pour laquelle il se sent coupable. Tout au long de ce roman (court, certes, mais intense) plane au dessus de nous une espèce de mal - être, comme si on était ce père. C'est poignant.
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