[Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
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[Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
[Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
[Chedid, Andrée]
Les quatre morts de Jean de Dieu
Flammarion septembre 2010
177 pages
4ème de couverture
Elle aurait aimé crier, se battre, soustraire Jean à cette fin. Elle aurait tant voulu prolonger leurs âges, vivre jusqu'au bout. Qu'ils s'accompagnent mutuellement, longuement, le plus longuement possible et entrer dans la nuit ensemble en se tenant la main.
Maintenant il fallait peu à peu envisager, admettre, accepter le poids de cette main froide, qui n'avait plus de vie, qui n'avait plus de sens. Admettre, accepter, se résigner. Non. Jamais. Ce serait comme trahir.»
De la guerre d'Espagne à la chute du mur de Berlin, Andrée Chedid fait le portrait d'un enfant du siècle dans ce roman profond et émouvant qui est comme la quintessence de toute son oeuvre.
Née en 1920 au Caire de parents libanais, Andrée Chedid est romancière et poétesse. Parmi ses livres qui ont connu un grand succès en France et à l'étranger, citons L'Enfant multiple, Le Sixième Jour et Le Message.
Résumé et avis
Je peux dire que la quatrième mort de Jean de Dieu fut la dernière, sans rien dévoiler de la fin du livre, je dois dire qu’il eut juste le temps de murmurer à Isabelita, sa femme ; n’aie pas peur, mon amour. Tout se passe bien, j’échappe à la salope, c’est le surnom qu’il donnait à sa maladie.
Jean disait toujours, qu’il avait subi sa première mort le jour ou il perdit sa foi catholique, il avait seize ans. L’enfance de Jean se perdait dans la nuit des temps, il appartenait à une famille de la solide bourgeoisie catholique, le petit Jean était en totale rébellion contre ses origines bourgeoises et monarchistes. Sa religion s’étant évaporée, sa deuxième mort fut une longue agonie qui s’étala sur quelques décennies, elle débuta le jour ou il quitta son Espagne chérie pour s’exiler en France, Jean avait senti son âme déchirée, Jean se souviendrait de la mort du père de son ami Miguel, José l’Artiste qui n’avait jamais caché ses sympathies de gauche....
Sa troisième mort fut celle de la découverte de sa maladie, la Salope comme il disait car jamais le mot cancer ne fut prononcé, pas même par l’homme de l’art, comme disait Jean en se moquant du médecin, passé la soixantaine Jean n’avait jamais été malade, dès ce moment, il avait dû progressivement se résigner à devenir banalement un homme dépendant de la Salope.
Jean avait décidé que lors de sa dernière mort, il voulait être incinéré et que ses cendres soient répandues dans la Méditterranée depuis la falaise qu’il fallait gravir durant une heure. Mais puisque ce sont ses dernières volontés, Isabelita, ses enfants, les gendres et les petits-enfants vont faire ce calvaire, Isabelita tenant l’urne sur son coeur. enfin les voila arrivé , effectivement comme le voulait Jean, on devine l’Espagne à l’horizon et voila je n’en dis pas plus car ce serait dévoiler la fin surprenante de ce beau petit livre qui parle de maladie et de mort et pourtant c’est un véritable hymne à la vie et à l’amour, qui m’interpelle beaucoup et ce sera pour moi un gros coup de coeur 5/5
Deux passages que j'ai particulièrement aimé
Elle venait d'avoir soixante-sept ans. Elle aurait tant voulu prolonger le temps, qu'ils vieillissent lentement ensemble. Elle aurait aimé égrener la vieillesse, la diluer dans l'air des saisons, s'emparer des années, les dissoudre, ou les fuir d'un seul bond. Vieillir. Prendre le temps de vieillir très lentement, détisser ce temps qui s'agglutine, rompre ce temps qui colle à nos basques et qui se réduit de plus en plus. Elle aurait tant souhaité une très longue vie qui n'aurait pas de fin.
Celle-ci m'a fortement interpellée.....
Alain avait fini par disparaître sans laisser de traces, et l'on s'était habitué à son absence, comme on s'habitue à la mort par le deuil, ou même à une gêne qui s'incruste et dont on ignore la cause.Les causes bâtardes, c'est à dire les causes sans causes, sont les plus impossibles à réparer. Je le plains. Un jour il va beaucoup souffrir...
Les quatre morts de Jean de Dieu
Flammarion septembre 2010
177 pages
4ème de couverture
Elle aurait aimé crier, se battre, soustraire Jean à cette fin. Elle aurait tant voulu prolonger leurs âges, vivre jusqu'au bout. Qu'ils s'accompagnent mutuellement, longuement, le plus longuement possible et entrer dans la nuit ensemble en se tenant la main.
Maintenant il fallait peu à peu envisager, admettre, accepter le poids de cette main froide, qui n'avait plus de vie, qui n'avait plus de sens. Admettre, accepter, se résigner. Non. Jamais. Ce serait comme trahir.»
De la guerre d'Espagne à la chute du mur de Berlin, Andrée Chedid fait le portrait d'un enfant du siècle dans ce roman profond et émouvant qui est comme la quintessence de toute son oeuvre.
Née en 1920 au Caire de parents libanais, Andrée Chedid est romancière et poétesse. Parmi ses livres qui ont connu un grand succès en France et à l'étranger, citons L'Enfant multiple, Le Sixième Jour et Le Message.
Résumé et avis
Je peux dire que la quatrième mort de Jean de Dieu fut la dernière, sans rien dévoiler de la fin du livre, je dois dire qu’il eut juste le temps de murmurer à Isabelita, sa femme ; n’aie pas peur, mon amour. Tout se passe bien, j’échappe à la salope, c’est le surnom qu’il donnait à sa maladie.
Jean disait toujours, qu’il avait subi sa première mort le jour ou il perdit sa foi catholique, il avait seize ans. L’enfance de Jean se perdait dans la nuit des temps, il appartenait à une famille de la solide bourgeoisie catholique, le petit Jean était en totale rébellion contre ses origines bourgeoises et monarchistes. Sa religion s’étant évaporée, sa deuxième mort fut une longue agonie qui s’étala sur quelques décennies, elle débuta le jour ou il quitta son Espagne chérie pour s’exiler en France, Jean avait senti son âme déchirée, Jean se souviendrait de la mort du père de son ami Miguel, José l’Artiste qui n’avait jamais caché ses sympathies de gauche....
Sa troisième mort fut celle de la découverte de sa maladie, la Salope comme il disait car jamais le mot cancer ne fut prononcé, pas même par l’homme de l’art, comme disait Jean en se moquant du médecin, passé la soixantaine Jean n’avait jamais été malade, dès ce moment, il avait dû progressivement se résigner à devenir banalement un homme dépendant de la Salope.
Jean avait décidé que lors de sa dernière mort, il voulait être incinéré et que ses cendres soient répandues dans la Méditterranée depuis la falaise qu’il fallait gravir durant une heure. Mais puisque ce sont ses dernières volontés, Isabelita, ses enfants, les gendres et les petits-enfants vont faire ce calvaire, Isabelita tenant l’urne sur son coeur. enfin les voila arrivé , effectivement comme le voulait Jean, on devine l’Espagne à l’horizon et voila je n’en dis pas plus car ce serait dévoiler la fin surprenante de ce beau petit livre qui parle de maladie et de mort et pourtant c’est un véritable hymne à la vie et à l’amour, qui m’interpelle beaucoup et ce sera pour moi un gros coup de coeur 5/5
Deux passages que j'ai particulièrement aimé
Elle venait d'avoir soixante-sept ans. Elle aurait tant voulu prolonger le temps, qu'ils vieillissent lentement ensemble. Elle aurait aimé égrener la vieillesse, la diluer dans l'air des saisons, s'emparer des années, les dissoudre, ou les fuir d'un seul bond. Vieillir. Prendre le temps de vieillir très lentement, détisser ce temps qui s'agglutine, rompre ce temps qui colle à nos basques et qui se réduit de plus en plus. Elle aurait tant souhaité une très longue vie qui n'aurait pas de fin.
Celle-ci m'a fortement interpellée.....
Alain avait fini par disparaître sans laisser de traces, et l'on s'était habitué à son absence, comme on s'habitue à la mort par le deuil, ou même à une gêne qui s'incruste et dont on ignore la cause.Les causes bâtardes, c'est à dire les causes sans causes, sont les plus impossibles à réparer. Je le plains. Un jour il va beaucoup souffrir...
lalyre- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 9623
Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
Je viens de le terminer
Les quatre morts de Jean de Dieu
Andrée Chedid
Editions Flammarion
177 pages
ISBN : 9782081233515
4ème de couverture :
"Elle aurait aimé crier, se battre, soustraire Jean à cette fin. Elle aurait tant voulu prolonger leurs âges, vivre jusqu'au bout. Qu'ils s'accompagnent mutuellement, longuement, le plus longuement possible et entrer dans la nuit ensemble en se tenant la main.
Maintenant il fallait peu à peu envisager, admettre, accepter le poids de cette main froide, qui n'avait plus de vie, qui n'avait plus de sens. Admettre, accepter, se résigner. Non. Jamais. Ce serait comme trahir."
De la guerre d'Espagne à la chute du mur de Berlin, Andrée Chedid fait le portrait d'un enfant du siècle dans ce roman profond et émouvant qui est comme la quintessence de toute son œuvre.
Biographie d’André Chedid :
Elle est née le 20 mars 1920 au Caire (Égypte) et morte de la maladie d’Alzheimer1 le 6 février 2011 à Paris. Femme de lettres et poète française d’origine libanaise. Elle est la mère du chanteur Louis Chedid, de la peintre Michèle Chedid-Koltz et la grand-mère du chanteur M.
----------------------
Jean de Dieu, c’est son prénom, vit dans une famille bourgeoise espagnole très catholique pratiquante au point qu’il envisage la prêtrise. Sa jeune cousine lui fit découvrir une autre facette de la vie et c’en est fini de la future carrière dans les ordres. Ce fut sa première mort. La seconde est son exil en France suite à la prise du pouvoir par Franco et à la mort du Front Populaire. Il ne reverra plus jamais l’Espagne. La chute du Mur de Berlin sonnera la fin de son idéal communiste. Voici qu’arrive « la Salope » c’est ainsi qu’il appelle sa maladie. Victime d’un Alzheimer, il luttera pour reculer l’échéance de sa troisième mort. La quatrière fut l’ultime et l’inéluctable.
J’oserais dire qu’il y en a une cinquième, même si elle n’est pas directe, mais induite : le désespoir d’Isabelita, sa femme.
Jean de Dieu a fait de belles rencontres qui ont changé sa vie, entre autre, le Père Amédée, ce curé, ancien légionnaire qui le confortera dans la perte de la foi.
« La nature ayant horreur du vide, Jean chercha à s’évader du conservatisme de sa Sainte Mère l’Eglise et des pesanteurs familiales en fréquentant secrètement des milieux athées et anarchistes. » Son camarade de foot, Miguelito, lui présente son père, un ébéniste prénommé José que l’on appelle « José le Bolcheviste ». Il deviendra son père spirituel. Il le suivra et deviendra à son tour ébéniste. Ils se réfugieront à Paris où il épousera Isabelita épousera et à qui il vouera un amour infini.
Avec un style fluide, direct, tour à tour poétique, humoristique nous raconte la vie de Jean de Dieu, nous parle de cette seconde moitié du XXème siècle. En toute simplicité, elle nous pose quelques questions sur la vieillesse, la mort, les convictions, l’amour.
Les quatre morts de Jean de Dieu, c’est le roman d’un homme simple et intègre ou d’un homme tout simplement. Un superbe livre qui, une fois fermé reste dans la mémoire car on peut se reconnaître ou reconnaître un proche. C’est un vrai roman d’amour, un roman d’amour de la vie et des autres.
Quelques extraits :
« Si l’on considère que le poème est porteur d’un certain questionnement sur le monde à travers la langue, cela implique que la poésie intervient dans cet espace au sein duquel se joue notre rapport au monde et au sens.
En poésie comme en science, c’est l’étonnement, l’émerveillement devant le réel qui se révèle source de sens. »
« Ces grammairiens paranoïaques ont construit une forêt d’obstacles à l’envol des mots. C’est pourquoi nous avons l’immense, le surprenant, le miraculeux bonheur d’avoir hérité une merveilleuse volière dans laquelle chantent et battent des ailes des millions de captifs heureux : les poétiques mots-oiseaux. »
« La vie, il faut la saisir au collet depuis son plus jeune âge. Avec sérénité, mais avec appétit féroce ».
« En avançant elle tendait l’oreille pour entendre la rumeur de la mer. Elle se remémorait la vision azurée, ample, luisante, étoilée de points lumineux de leur Méditerranée.
- Un bleu incomparable, affirmait Jean.
Sa voix semblait surgir des entrailles d’Isabelita, se perdre dans sa cage thoracique, se débattre pour franchir le larynx, pour éclore sur sa bouche et naître enfin au bord de ses lèvres.
- Ce bleu d’entre les bleus, disait-il, ce bleu moucheté de lumière, ce bleu enluminé, chatoyant, moiré colorié. Cette moisson de lueurs, cette magie de reflets… «
Les quatre morts de Jean de Dieu
Andrée Chedid
Editions Flammarion
177 pages
ISBN : 9782081233515
4ème de couverture :
"Elle aurait aimé crier, se battre, soustraire Jean à cette fin. Elle aurait tant voulu prolonger leurs âges, vivre jusqu'au bout. Qu'ils s'accompagnent mutuellement, longuement, le plus longuement possible et entrer dans la nuit ensemble en se tenant la main.
Maintenant il fallait peu à peu envisager, admettre, accepter le poids de cette main froide, qui n'avait plus de vie, qui n'avait plus de sens. Admettre, accepter, se résigner. Non. Jamais. Ce serait comme trahir."
De la guerre d'Espagne à la chute du mur de Berlin, Andrée Chedid fait le portrait d'un enfant du siècle dans ce roman profond et émouvant qui est comme la quintessence de toute son œuvre.
Biographie d’André Chedid :
Elle est née le 20 mars 1920 au Caire (Égypte) et morte de la maladie d’Alzheimer1 le 6 février 2011 à Paris. Femme de lettres et poète française d’origine libanaise. Elle est la mère du chanteur Louis Chedid, de la peintre Michèle Chedid-Koltz et la grand-mère du chanteur M.
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Jean de Dieu, c’est son prénom, vit dans une famille bourgeoise espagnole très catholique pratiquante au point qu’il envisage la prêtrise. Sa jeune cousine lui fit découvrir une autre facette de la vie et c’en est fini de la future carrière dans les ordres. Ce fut sa première mort. La seconde est son exil en France suite à la prise du pouvoir par Franco et à la mort du Front Populaire. Il ne reverra plus jamais l’Espagne. La chute du Mur de Berlin sonnera la fin de son idéal communiste. Voici qu’arrive « la Salope » c’est ainsi qu’il appelle sa maladie. Victime d’un Alzheimer, il luttera pour reculer l’échéance de sa troisième mort. La quatrière fut l’ultime et l’inéluctable.
J’oserais dire qu’il y en a une cinquième, même si elle n’est pas directe, mais induite : le désespoir d’Isabelita, sa femme.
Jean de Dieu a fait de belles rencontres qui ont changé sa vie, entre autre, le Père Amédée, ce curé, ancien légionnaire qui le confortera dans la perte de la foi.
« La nature ayant horreur du vide, Jean chercha à s’évader du conservatisme de sa Sainte Mère l’Eglise et des pesanteurs familiales en fréquentant secrètement des milieux athées et anarchistes. » Son camarade de foot, Miguelito, lui présente son père, un ébéniste prénommé José que l’on appelle « José le Bolcheviste ». Il deviendra son père spirituel. Il le suivra et deviendra à son tour ébéniste. Ils se réfugieront à Paris où il épousera Isabelita épousera et à qui il vouera un amour infini.
Avec un style fluide, direct, tour à tour poétique, humoristique nous raconte la vie de Jean de Dieu, nous parle de cette seconde moitié du XXème siècle. En toute simplicité, elle nous pose quelques questions sur la vieillesse, la mort, les convictions, l’amour.
Les quatre morts de Jean de Dieu, c’est le roman d’un homme simple et intègre ou d’un homme tout simplement. Un superbe livre qui, une fois fermé reste dans la mémoire car on peut se reconnaître ou reconnaître un proche. C’est un vrai roman d’amour, un roman d’amour de la vie et des autres.
Quelques extraits :
« Si l’on considère que le poème est porteur d’un certain questionnement sur le monde à travers la langue, cela implique que la poésie intervient dans cet espace au sein duquel se joue notre rapport au monde et au sens.
En poésie comme en science, c’est l’étonnement, l’émerveillement devant le réel qui se révèle source de sens. »
« Ces grammairiens paranoïaques ont construit une forêt d’obstacles à l’envol des mots. C’est pourquoi nous avons l’immense, le surprenant, le miraculeux bonheur d’avoir hérité une merveilleuse volière dans laquelle chantent et battent des ailes des millions de captifs heureux : les poétiques mots-oiseaux. »
« La vie, il faut la saisir au collet depuis son plus jeune âge. Avec sérénité, mais avec appétit féroce ».
« En avançant elle tendait l’oreille pour entendre la rumeur de la mer. Elle se remémorait la vision azurée, ample, luisante, étoilée de points lumineux de leur Méditerranée.
- Un bleu incomparable, affirmait Jean.
Sa voix semblait surgir des entrailles d’Isabelita, se perdre dans sa cage thoracique, se débattre pour franchir le larynx, pour éclore sur sa bouche et naître enfin au bord de ses lèvres.
- Ce bleu d’entre les bleus, disait-il, ce bleu moucheté de lumière, ce bleu enluminé, chatoyant, moiré colorié. Cette moisson de lueurs, cette magie de reflets… «
Re: [Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
Hum voila un livre qui me plaît et que je note
Merci Zazy
Merci Zazy
lalyre- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
Hihi je m'aperçois que je l'ai lulalyre a écrit:Hum voila un livre qui me plaît et que je note
Merci Zazy
lalyre- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 9623
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Emploi/loisirs : jardinage,lecture
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Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
Merci Lalyre et Zazy, je me le note!
Véronique M.- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 12/02/2010
Re: [Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
Lalyre, le froid gèle tes neurones
Je pourrais rajouter l'écriture fine, pleine de poésie de Andrée Chedid
Je pourrais rajouter l'écriture fine, pleine de poésie de Andrée Chedid
Re: [Chedid, Andrée] Les quatre morts de Jean de Dieu
Oui et j'ai très envie de relire Andrée Chedidzazy a écrit:Lalyre, le froid gèle tes neurones
Je pourrais rajouter l'écriture fine, pleine de poésie de Andrée Chedid
lalyre- Grand sage du forum
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