[Croizier, Jean-Pierre] La fille du passeur.
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[Croizier, Jean-Pierre] La fille du passeur.
[Croizier, Jean-Pierre] La fille du passeur.
Editions de l'Ecir
Nombres de pages : 296
Quatrième de couverture
FIRMIN habitant d'Esteil, dans le Val d'Allier, au milieu du dix-neuvième siècle, n'a que le choix entre la mine et la terre ingrate. La mine justement c'est fini, après le dur accident qui l'a rendu handicapé à vie. Son fils Rodolphe doit désormais subvenir aux besoins de la famille. Le travail du paysan, à trimer de l'aube à la nuit pour un salaire de misère, ne lui convient pas. Reste les sapines, ces radeaux de bois qui descendent l'Allier, dans le tumulte des courants, vers des villes lointaines : Orléans et Paris. Arrivées à destination, ces embarcations de fortune étaient " déchirées ", et l'équipage composé du " boutavant " et de l'homme de " quoue ", parfois d'un " renforceur ", rentrait au pays par la route. Avant de partir, il fallait construire l'embarcation et se dépêcher pour partir avec la crue de mars.
Jean-Pierre Croizier restitue tout ce monde de mariniers durs à l'ouvrage, habitués à jongler sur les flots évitant les hauts-fonds, les écueils émergeants, et aussi les bancs de sable qui cassent le courant. Mais le destin frappe une seconde fois le jeune héros de ce roman : il va tuer accidentellement le père de la fille qu'il aime.. il doit fuir à bord de " La belle Auvergnate ", avec l'énigmatique Millegueules… et va se trouver mêlé à un complot contre Napoléon III de passage à Vichy. Un roman épique guidé par une riche écriture, précise, pour revivre superbement le monde de la batellerie au fil de l'Allier.
Mon avis
J'ai bien aimé dans ce livre, l'engagement du héros, Rodolphe, à faire vivre sa famille et à aller au delà de toutes les difficultés pour arriver à ses fins. J'ai beaucoup aimé aussi l'intrigue historique de ce roman, dont la fin est surprenante. (J'ai dû relire les dernières pages deux fois)... Mon bémol : les termes de navigations étaient un peu ardus pour moi. J'aurais dû prendre un lexique. J'ai passé un bon moment mais ce livre ne m'a pas fait "vibrer".
Nombres de pages : 296
Quatrième de couverture
FIRMIN habitant d'Esteil, dans le Val d'Allier, au milieu du dix-neuvième siècle, n'a que le choix entre la mine et la terre ingrate. La mine justement c'est fini, après le dur accident qui l'a rendu handicapé à vie. Son fils Rodolphe doit désormais subvenir aux besoins de la famille. Le travail du paysan, à trimer de l'aube à la nuit pour un salaire de misère, ne lui convient pas. Reste les sapines, ces radeaux de bois qui descendent l'Allier, dans le tumulte des courants, vers des villes lointaines : Orléans et Paris. Arrivées à destination, ces embarcations de fortune étaient " déchirées ", et l'équipage composé du " boutavant " et de l'homme de " quoue ", parfois d'un " renforceur ", rentrait au pays par la route. Avant de partir, il fallait construire l'embarcation et se dépêcher pour partir avec la crue de mars.
Jean-Pierre Croizier restitue tout ce monde de mariniers durs à l'ouvrage, habitués à jongler sur les flots évitant les hauts-fonds, les écueils émergeants, et aussi les bancs de sable qui cassent le courant. Mais le destin frappe une seconde fois le jeune héros de ce roman : il va tuer accidentellement le père de la fille qu'il aime.. il doit fuir à bord de " La belle Auvergnate ", avec l'énigmatique Millegueules… et va se trouver mêlé à un complot contre Napoléon III de passage à Vichy. Un roman épique guidé par une riche écriture, précise, pour revivre superbement le monde de la batellerie au fil de l'Allier.
Mon avis
J'ai bien aimé dans ce livre, l'engagement du héros, Rodolphe, à faire vivre sa famille et à aller au delà de toutes les difficultés pour arriver à ses fins. J'ai beaucoup aimé aussi l'intrigue historique de ce roman, dont la fin est surprenante. (J'ai dû relire les dernières pages deux fois)... Mon bémol : les termes de navigations étaient un peu ardus pour moi. J'aurais dû prendre un lexique. J'ai passé un bon moment mais ce livre ne m'a pas fait "vibrer".
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