[Boyne, John] La maison Ipatiev
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[Boyne, John] La maison Ipatiev
[Boyne, John] La maison Ipatiev
[Boyne, John]
La maison Ipatiev
Editions Archipel mai 2012
ISBN 978-2-8098-0713-4
425 pages
Quatrième de couverture
Village de Kachine, 1915. Gueorgui, seize ans, sauve la vie d'un cousin du tsar au péril de la sienne. Pour le remercier, Nicolas II le fait venir à Saint-Pétersbourg, avec pour mission de veiller sur le tsarévitch Alexeï. Le sort du jeune moujik sera désormais lié à celui de la famille Romanov... Londres, 1981. Gueorgui revoit son existence défiler au chevet de Zoïa, son épouse, lasse des épreuves supportées depuis leur départ de Russie : la fuite, l'exil, le deuil et ce sentiment de culpabilité qui ronge, dit-on, les rescapés des catastrophes.
Alternant passé et présent, ce roman, traversé par le souffle de la révolution d'Octobre, fait revivre le faste de la cour en s'attachant à la destinée d'un couple soudé par un amour hors du commun.
Ma chronique
Grigori Efimovitch, le narrateur veille Zoïa, sa femme mourante et il se souvient des grandes phases de sa vie. Je ne parlerai pas de son enfance mais surtout des années passées dans la famille de Nicolas ll, engagé chez eux pour veiller sur le tsarévitch Alexei , une grande amitié naît entre l’enfant et lui. Ce roman historique par la voix de Grigori, fait défiler des personnages bons ou mauvais, voici Raspoutine , un aventurier, mystique et guérisseur parfois surnommé le moine fou, il devint le confident d’Alexandra, épouse de Nicolas ll, sur laquelle il eut une grande influence jusqu’à son assassinat. Revenons à Grigori qui secrètement est follement amoureux de la grande duchesse Anastasia, un amour qui sera très vite partagé avec la jeune fille. Grigori quitte les Romanov lors de la grande révolution mais il les suit secrètement jusqu’à Ekaterinenbourg, leur dernier asile ou il est le témoin impuissant du massacre par les bolcheviques. Des décennies plus tard on retrouve Grigori à Londres, retraité bibliothécaire, je n’en dirai pas plus car ce serait dévoiler certains faits…Mais ce roman est un voyage dans le temps, alternant présent et passé on revit les fastes de la cour, la violence de la révolution d’octobre, la mort brutale de la fille de Grigori et Zoïa, ce couple uni par un amour indestructible et un secret partagé, l’exil, l’émigration et la culpabilité qui ronge……Ce qui fait de ce roman un gros coup de cœur que j’espère partager avec beaucoup de lecteurs. 5/5
La maison Ipatiev
Editions Archipel mai 2012
ISBN 978-2-8098-0713-4
425 pages
Quatrième de couverture
Village de Kachine, 1915. Gueorgui, seize ans, sauve la vie d'un cousin du tsar au péril de la sienne. Pour le remercier, Nicolas II le fait venir à Saint-Pétersbourg, avec pour mission de veiller sur le tsarévitch Alexeï. Le sort du jeune moujik sera désormais lié à celui de la famille Romanov... Londres, 1981. Gueorgui revoit son existence défiler au chevet de Zoïa, son épouse, lasse des épreuves supportées depuis leur départ de Russie : la fuite, l'exil, le deuil et ce sentiment de culpabilité qui ronge, dit-on, les rescapés des catastrophes.
Alternant passé et présent, ce roman, traversé par le souffle de la révolution d'Octobre, fait revivre le faste de la cour en s'attachant à la destinée d'un couple soudé par un amour hors du commun.
Ma chronique
Grigori Efimovitch, le narrateur veille Zoïa, sa femme mourante et il se souvient des grandes phases de sa vie. Je ne parlerai pas de son enfance mais surtout des années passées dans la famille de Nicolas ll, engagé chez eux pour veiller sur le tsarévitch Alexei , une grande amitié naît entre l’enfant et lui. Ce roman historique par la voix de Grigori, fait défiler des personnages bons ou mauvais, voici Raspoutine , un aventurier, mystique et guérisseur parfois surnommé le moine fou, il devint le confident d’Alexandra, épouse de Nicolas ll, sur laquelle il eut une grande influence jusqu’à son assassinat. Revenons à Grigori qui secrètement est follement amoureux de la grande duchesse Anastasia, un amour qui sera très vite partagé avec la jeune fille. Grigori quitte les Romanov lors de la grande révolution mais il les suit secrètement jusqu’à Ekaterinenbourg, leur dernier asile ou il est le témoin impuissant du massacre par les bolcheviques. Des décennies plus tard on retrouve Grigori à Londres, retraité bibliothécaire, je n’en dirai pas plus car ce serait dévoiler certains faits…Mais ce roman est un voyage dans le temps, alternant présent et passé on revit les fastes de la cour, la violence de la révolution d’octobre, la mort brutale de la fille de Grigori et Zoïa, ce couple uni par un amour indestructible et un secret partagé, l’exil, l’émigration et la culpabilité qui ronge……Ce qui fait de ce roman un gros coup de cœur que j’espère partager avec beaucoup de lecteurs. 5/5
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