[McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
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marie do
LOUBHI 49
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[McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Présentation éditeur (L'Archipel) :
Les lecteurs du célèbre roman de Jane Austen se demandent tous ce que sont devenues Elizabeth et Jane Bennett. Colleen McCullough raconte le destin de chaque so eur, tout en centrant son récit sur Mary, la troisième et la plus discrète des cinq soeurs Bennett.Vingt ans ont passé. A 38 ans, Mary, restée célibataire, découvre l'indépendance à la mort de sa mère, dont elle s'est occupée durant toute sa maladie. Alors que sa famille la pousse à se marier, elle choisit de voyager à travers l'Angleterre, et d'écrire un livre ... Lire la suite pour attirer l'attention sur le sort de la classe ouvrière. Le mariage est loin de ses préoccupations, et pourtant Angus Wilson, le magnat de la presse, fait tout pour la séduire. Mais les ennuis, eux, ne sont pas loin... Mais sa famille veille et, après l'épreuve, Mary trouvera enfin l'amour et une raison de vivre : la création d'un orphelinat.
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Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Difficile de poster quoique ce soit mais j'en ai lu les 50 premières pages avec acharnement et un mal fou mais il m'a tellement assommé que je l'ai abandonné définitivement. Trop de personnages et de longueurs...
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Lectures en cours :
Elise ou la vraie vie de Claire Etcherelli
Pourquoi le saut des baleines de Nicolas Cavaillés
Un loup quelque part d'Amélie Cordonnier.
La pensée du moment :
"Les Hommes sont malheureux parce qu'ils ne réalisent pas les rêves qu'ils ont" Jacques Brel.
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
J'ai beaucoup aimé ce roman.
D'abord j'avais un peu peur de me replonger dans du "Jane Austen" écrit par un autre auteur. Mais de ce côté là aucuns problèmes! C'est très bien écrit, fidèle au style d'Orgueil et préjugés! Les personnages ont vieillis mais ils sont égaux à eux mêmes. On retrouve bien les tracts de caractère que l'on a aimé (ou pas) dans le roman de Jane Austen.
Ensuite j'ai adoré la revanche que prend Mary sur la vie. Dans Orgueil et préjugés, c'est Lizzy et Jane qui nous font rêver. Les belles jeunes filles aux multiples talents qui rêvent du prince charmant, qui le trouvent, et "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants"...
Ça les enfants pas de soucis! Jane est alourdie par de multiples grossesses et le teint de Lizzy est bien moins frais qu'auparavant. Le ténébreux Darcy laisse resurgir ces pires défauts et en fait baver plus d'un, en commençant par sa femme et son fils qu'il n'arrive pas à accepter.
Quelle ironie ! Mary quand à elle se voit libérer par la mort de sa mère et part enfin à l'aventure. Guidée par les écrits du mystérieux "Argus".
Ce qui nous donne une histoire très agréable à lire, des péripéties surprenantes et des personnages attachants. (Surtout Angus l’Écossais pour qui j'ai eu un petit faible).
J'ai trouvé quand même l'écriture plus fluide, moins de longueur que dans les romans de Jane Austen. Les dialogues sont moins pesants et il y a plus d'action. (Et Mary est bien moins coincée que ces sœurs, ce qui donne un peu de piquant) !
Petit bémol sur l'histoire que vit Mary dans les grottes aux côtés d'un religieux illuminé. Un peu abusé et lourd à mon goût mais ça passe quand même bien dans les histoires que vivent les autres personnages au même moment.
Un roman à lire sans hésitations ! Dans la droite ligne des Jane Austen, un très bon moment de lecture, d'aventure et de romance.
D'abord j'avais un peu peur de me replonger dans du "Jane Austen" écrit par un autre auteur. Mais de ce côté là aucuns problèmes! C'est très bien écrit, fidèle au style d'Orgueil et préjugés! Les personnages ont vieillis mais ils sont égaux à eux mêmes. On retrouve bien les tracts de caractère que l'on a aimé (ou pas) dans le roman de Jane Austen.
Ensuite j'ai adoré la revanche que prend Mary sur la vie. Dans Orgueil et préjugés, c'est Lizzy et Jane qui nous font rêver. Les belles jeunes filles aux multiples talents qui rêvent du prince charmant, qui le trouvent, et "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants"...
Ça les enfants pas de soucis! Jane est alourdie par de multiples grossesses et le teint de Lizzy est bien moins frais qu'auparavant. Le ténébreux Darcy laisse resurgir ces pires défauts et en fait baver plus d'un, en commençant par sa femme et son fils qu'il n'arrive pas à accepter.
Quelle ironie ! Mary quand à elle se voit libérer par la mort de sa mère et part enfin à l'aventure. Guidée par les écrits du mystérieux "Argus".
Ce qui nous donne une histoire très agréable à lire, des péripéties surprenantes et des personnages attachants. (Surtout Angus l’Écossais pour qui j'ai eu un petit faible).
J'ai trouvé quand même l'écriture plus fluide, moins de longueur que dans les romans de Jane Austen. Les dialogues sont moins pesants et il y a plus d'action. (Et Mary est bien moins coincée que ces sœurs, ce qui donne un peu de piquant) !
Petit bémol sur l'histoire que vit Mary dans les grottes aux côtés d'un religieux illuminé. Un peu abusé et lourd à mon goût mais ça passe quand même bien dans les histoires que vivent les autres personnages au même moment.
Un roman à lire sans hésitations ! Dans la droite ligne des Jane Austen, un très bon moment de lecture, d'aventure et de romance.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Je n'avais pas réussi à finir "orgueil et préjugés", j'appréhendai donc ce roman.
En fin de compte j'y ai trouvé plus de rythme, moins de dialogue (difficile de faire plus) et en définitive une lecture agréable. Peut être un jour me replongerai-je dans la roman de Jane Austen pour découvrir une autre facette de ces héros ( Mais pas tout de suite quand même !)
Sans la lecture commune je n'aurai sans doute jamais lu ce roman, une rencontre sympathique que je ne regrette pas.
En fin de compte j'y ai trouvé plus de rythme, moins de dialogue (difficile de faire plus) et en définitive une lecture agréable. Peut être un jour me replongerai-je dans la roman de Jane Austen pour découvrir une autre facette de ces héros ( Mais pas tout de suite quand même !)
Sans la lecture commune je n'aurai sans doute jamais lu ce roman, une rencontre sympathique que je ne regrette pas.
marie do- Grand sage du forum
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Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Ce roman se base sur le destin de cinq sœurs dont Mary restée célibataire pour s’occuper de sa mère. C’est à partir du décès de celle-ci que Mary décide de vivre enfin son indépendance, au grand dam du reste de la famille, car n’oublions que nous sommes au début du XlXème siècle. Mais cette soudaine liberté va l’entraîner vers maintes aventures, elle veut voyager seule mais la famille craint pour sa réputation, car voyager sans chaperon est impensable, mais elle n’en fait qu’à sa tête, elle veut traverser l’Angleterre et écrire un livre sur la misère du monde. Mal lui en prend car les ennuis ne sont pas loin, sa disparition va mettre une entrave à ses rêves de liberté (de ce sujet, je n’en dis pas plus ). Ce que je dirai c’est que l’auteure a brossé un très beau portrait de femme à l’esprit féministe avant l’heure. Et voila Mary qui sera confrontée à l’amour, elle qui voulait rester libre, comme une chose ne vient pas sans l’autre, elle va pouvoir réaliser l’un de ses rêves. Un roman simple, pas besoin de se casser la tête pour comprendre, des personnages attachants, un peu de suspense, une histoire de fratrie et de l’amour. Que demander de plus pour un bon roman de vacances ?
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Après avoir lu « Orgueil et Préjugés » j'étais très heureuse de retrouver les personnages du livre de Jane Austen.
Je dois dire qu'il faut être courageux pour reprendre l'histoire après cette auteure. D'ailleurs, mon avis est très partagé, très contente donc de retrouver nos personnages, mais quand même quelque peu déçue :
Mr Darcy est devenu égoïste et cruel. Lizzie est une femme soumise et malheureuse qui finit par redevenir elle-même et arranger les malentendus, Jane trompée par son mari mais qui l'adore quand même, Mary, Lydia (qui aura eue la vie la plus triste et un sort assez cruel). Et que dire du Père Dominus, personnage complètement dérangé et cruel avec le groupe d'enfants qu'il a enlevé. J'ai vraiment trouvé ce passage insipide et remplissage de livres.
De plus à vouloir imiter, le style de Jane Austen, le passé simple et le passé antérieur à outrance en deviennent pénibles. Avec Jane Austen tout paraissait couler de source.
Finalement à vouloir reprendre l'histoire où elle en est restée, il faut savoir ce que l'on fait. Et là pour moi ce n'est pas une réussite. Je préfère rester avec la fin "d'Orgueil et Préjugés" dans la tête et me faire mon petit cinéma toute seule.
Je dois dire qu'il faut être courageux pour reprendre l'histoire après cette auteure. D'ailleurs, mon avis est très partagé, très contente donc de retrouver nos personnages, mais quand même quelque peu déçue :
Mr Darcy est devenu égoïste et cruel. Lizzie est une femme soumise et malheureuse qui finit par redevenir elle-même et arranger les malentendus, Jane trompée par son mari mais qui l'adore quand même, Mary, Lydia (qui aura eue la vie la plus triste et un sort assez cruel). Et que dire du Père Dominus, personnage complètement dérangé et cruel avec le groupe d'enfants qu'il a enlevé. J'ai vraiment trouvé ce passage insipide et remplissage de livres.
De plus à vouloir imiter, le style de Jane Austen, le passé simple et le passé antérieur à outrance en deviennent pénibles. Avec Jane Austen tout paraissait couler de source.
Finalement à vouloir reprendre l'histoire où elle en est restée, il faut savoir ce que l'on fait. Et là pour moi ce n'est pas une réussite. Je préfère rester avec la fin "d'Orgueil et Préjugés" dans la tête et me faire mon petit cinéma toute seule.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Je n'ai jamais osé lire "Orgueil et préjugés" de peur de m'ennuyer, mais vos avis sur les 2 livres me donnent très envie de découvrir ces 2 romans...
Par contre, Morag, tu n'es pas objective du tout quand tu dis avoir eu un faible pour Angus l'Ecossais !!! :<:
Par contre, Morag, tu n'es pas objective du tout quand tu dis avoir eu un faible pour Angus l'Ecossais !!! :<:
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
LOUBHI 49 a écrit:Difficile de poster quoique ce soit mais j'en ai lu les 50 premières pages avec acharnement et un mal fou mais il m'a tellement assommé que je l'ai abandonné définitivement. Trop de personnages et de longueurs...
Loubhi, mon avis rejoint le tient. J'ai été très déçue, et je n'ai pas réussi à le terminer réellement (j'ai "survolé" la fin). Je préfère rester avec les souvenirs d'Orgueil et Préjugés.
Sharon- Modérateur
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Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Je suis une des Déçus" de ce livre. Je me faisais une telle joie a lire la suite de la vie de MARY, la plus effacée des sœurs BENNET.
Après avoir tenue de dame de compagn ie, avec tout que cela comportait, a sa mère, éloignée par DARCY, mais on le comprend, elle a enfin droit a la 'liberté' et de choisir son destin a la mort de celle ci.
Le début du livre est prometteur, mais voila que cela se gâte terriblement.
Je dirais que MCCULLUGH est tombée dans un travers de certains écrivains, de vouloir absolument écrire une histoire palpitante et la voila qui se fourvoie dans une Histoire abracadabrante.
Enlèvement de MARY et séquestration par une 'Moine' fanatique dans une grotte,
Apparition d'un Demi-frère de DARCY, qui la recherche et en passant assassine un 'Voleur et sa femme',
Séquestration de la légère LYDIA sur l'ordre de DARCY qui a des ambitions politiques et qui trouve sa Belle-Famille gênante sur son chemin de la gloire.Mise pratiquement en Prison et gardée par une ancienne tenancière de Bordel, LYDIA alcoolisée a fond et finalement aussi tué par ce fameux Demi-Frère de Darcy. En suite l'histoire du père de DARCY, Homme tout a fait méprisable, en contradiction aux dires de la gouvernante de Pemberley dans le livre de AUSTEN "Orgueil et Préjugés", ou elle décrit un homme bon et équitable avec tous.
Et la Cerise sur le Gâteau, la découverte un énorme trésor en lingots d'or, pendant la recherche de MARY, que DARCY a menée avec son Fils Charly, dont il reconnait enfin le caractère bien trempée et d'un ami ANGUS L'ecossais, qui n'est d'autre que le fameux Opposant politique "ARGUS" pour lequel MARY a un grand faible.
Il y a quand-même quelques belles pages.
Le changement de DARCY et la reconnaissance de celui-ci des qualités de sa femme et de son fils. Le fait, que la très désagréable belle-sœur de JANE s'occupe avec succès des enfants de Celle-ci, car la pauvre JANE est totalement débordée.
Et les pages sur ANGUS l’Écossais, et sur le fils de DARCY,que je trouve intéressants.
Ce qui m'a le plus manquée: C'est une approche bien plus approfondie de la vie de MARY, moins d'aventures invraisemblables et plus de simplicité.
N'est pas JANE AUSTEN qui veut.
Après avoir tenue de dame de compagn ie, avec tout que cela comportait, a sa mère, éloignée par DARCY, mais on le comprend, elle a enfin droit a la 'liberté' et de choisir son destin a la mort de celle ci.
Le début du livre est prometteur, mais voila que cela se gâte terriblement.
Je dirais que MCCULLUGH est tombée dans un travers de certains écrivains, de vouloir absolument écrire une histoire palpitante et la voila qui se fourvoie dans une Histoire abracadabrante.
Enlèvement de MARY et séquestration par une 'Moine' fanatique dans une grotte,
Apparition d'un Demi-frère de DARCY, qui la recherche et en passant assassine un 'Voleur et sa femme',
Séquestration de la légère LYDIA sur l'ordre de DARCY qui a des ambitions politiques et qui trouve sa Belle-Famille gênante sur son chemin de la gloire.Mise pratiquement en Prison et gardée par une ancienne tenancière de Bordel, LYDIA alcoolisée a fond et finalement aussi tué par ce fameux Demi-Frère de Darcy. En suite l'histoire du père de DARCY, Homme tout a fait méprisable, en contradiction aux dires de la gouvernante de Pemberley dans le livre de AUSTEN "Orgueil et Préjugés", ou elle décrit un homme bon et équitable avec tous.
Et la Cerise sur le Gâteau, la découverte un énorme trésor en lingots d'or, pendant la recherche de MARY, que DARCY a menée avec son Fils Charly, dont il reconnait enfin le caractère bien trempée et d'un ami ANGUS L'ecossais, qui n'est d'autre que le fameux Opposant politique "ARGUS" pour lequel MARY a un grand faible.
Il y a quand-même quelques belles pages.
Le changement de DARCY et la reconnaissance de celui-ci des qualités de sa femme et de son fils. Le fait, que la très désagréable belle-sœur de JANE s'occupe avec succès des enfants de Celle-ci, car la pauvre JANE est totalement débordée.
Et les pages sur ANGUS l’Écossais, et sur le fils de DARCY,que je trouve intéressants.
Ce qui m'a le plus manquée: C'est une approche bien plus approfondie de la vie de MARY, moins d'aventures invraisemblables et plus de simplicité.
N'est pas JANE AUSTEN qui veut.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Je fais partie de ceux qui ont aimé ce livre...
Au début j'ai dû m'accrocher car j'avais un lointain souvenir "d'Orgueil et Préjugés", mais j'étais heureuse de retrouver les personnages de Jane Austen et triste de voir ce que le couple Lizzy Fitz était devenu.
C'est vrai que l'histoire est rocambolesque, et quelques longueurs dans les grottes où est séquestrée Mary demande un peu de persévérance.
De même la mort de Lydia laisse ses sœurs assez indifférentes et l'aveuglement de Darcy vis à vis de ce demi frère et des crimes dont il le soupçonne avec raison et celui qu'il avoue m'ont choquée.
Mais nous sommes au XIX ième siècle, les mentalités tellement différentes d'aujourd'hui et la position des femmes peu enviables.
La pauvreté qui règne dans le pays et l'utilisation des enfants fait frémir, je l'ai d'ailleurs retrouvé dans d'autres livres anglais se passant à la même époque.
En résumé, hormis quelques longueurs, c'est un bon livre, l'écriture est fluide, le style est délié. Je pense que c'est une bonne traduction.
Il se termine bien comme une histoire d'amour et Mary l'indomptable sera vraisemblablement une épouse peu soumise à Angus!!!!
Au début j'ai dû m'accrocher car j'avais un lointain souvenir "d'Orgueil et Préjugés", mais j'étais heureuse de retrouver les personnages de Jane Austen et triste de voir ce que le couple Lizzy Fitz était devenu.
C'est vrai que l'histoire est rocambolesque, et quelques longueurs dans les grottes où est séquestrée Mary demande un peu de persévérance.
De même la mort de Lydia laisse ses sœurs assez indifférentes et l'aveuglement de Darcy vis à vis de ce demi frère et des crimes dont il le soupçonne avec raison et celui qu'il avoue m'ont choquée.
Mais nous sommes au XIX ième siècle, les mentalités tellement différentes d'aujourd'hui et la position des femmes peu enviables.
La pauvreté qui règne dans le pays et l'utilisation des enfants fait frémir, je l'ai d'ailleurs retrouvé dans d'autres livres anglais se passant à la même époque.
En résumé, hormis quelques longueurs, c'est un bon livre, l'écriture est fluide, le style est délié. Je pense que c'est une bonne traduction.
Il se termine bien comme une histoire d'amour et Mary l'indomptable sera vraisemblablement une épouse peu soumise à Angus!!!!
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Step- Grand sage du forum
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Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
lou40 a écrit:Je n'ai jamais osé lire "Orgueil et préjugés" de peur de m'ennuyer, mais vos avis sur les 2 livres me donnent très envie de découvrir ces 2 romans...
Par contre, Morag, tu n'es pas objective du tout quand tu dis avoir eu un faible pour Angus l'Ecossais !!! :<:
J'avoue...
Je tombe amoureuse du premier venu du moment qu'il est écossais
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
morag a écrit:lou40 a écrit:Je n'ai jamais osé lire "Orgueil et préjugés" de peur de m'ennuyer, mais vos avis sur les 2 livres me donnent très envie de découvrir ces 2 romans...
Par contre, Morag, tu n'es pas objective du tout quand tu dis avoir eu un faible pour Angus l'Ecossais !!! :<:
J'avoue...
Je tombe amoureuse du premier venu du moment qu'il est écossais
Et bien, Morag, le festival interceltique de Lorient, te rendrait heureuse, des écossais, tu en vois en grand nombre et de toutes les couleurs, et oui costumes et kilt de rigueur. :<:
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
morag a écrit:lou40 a écrit:Je n'ai jamais osé lire "Orgueil et préjugés" de peur de m'ennuyer, mais vos avis sur les 2 livres me donnent très envie de découvrir ces 2 romans...
Par contre, Morag, tu n'es pas objective du tout quand tu dis avoir eu un faible pour Angus l'Ecossais !!! :<:
J'avoue...
Je tombe amoureuse du premier venu du moment qu'il est écossais
Je ne peux pas t'en vouloir !
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
mariejo a écrit:morag a écrit:lou40 a écrit:Je n'ai jamais osé lire "Orgueil et préjugés" de peur de m'ennuyer, mais vos avis sur les 2 livres me donnent très envie de découvrir ces 2 romans...
Par contre, Morag, tu n'es pas objective du tout quand tu dis avoir eu un faible pour Angus l'Ecossais !!! :<:
J'avoue...
Je tombe amoureuse du premier venu du moment qu'il est écossais
Et bien, Morag, le festival interceltique de Lorient, te rendrait heureuse, des écossais, tu en vois en grand nombre et de toutes les couleurs, et oui costumes et kilt de rigueur. :<:
Ohhh oui j'imagine Mais c'est loin de chez moi :'(
lou40 a écrit:morag a écrit:lou40 a écrit:Je n'ai jamais osé lire "Orgueil et préjugés" de peur de m'ennuyer, mais vos avis sur les 2 livres me donnent très envie de découvrir ces 2 romans...
Par contre, Morag, tu n'es pas objective du tout quand tu dis avoir eu un faible pour Angus l'Ecossais !!! :<:
J'avoue...
Je tombe amoureuse du premier venu du moment qu'il est écossais
Je ne peux pas t'en vouloir !
Allez lou40... Je suis pas jalouse, avec toi je veux bien partager
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Mon avis :
P.S.: Rahhh, le kilt... Un grand (et inattendu) exhausteur de la séduction masculine, indéniablement
Une lecture tout à fait intéressante, pleine de qualités mais pas totalement exempte de défauts.
Pour ce qui est des qualités, le style est très agréable, s’appuyant sur une structure simple, des dialogues fluides et des descriptions habiles.
Sur le fond, j’ai été séduite par le réalisme tendre de l’auteur concernant la vie post-heureux-dénouement des soeurs Bennet. Les caprices de Miss Mary, c’est Cendrillon après la fête, inclus la gueule de bois et les invités ivres morts à dégager des coins. Le délicieux prétendant n’a plus à se soucier de tendresse ou de séduction, il peut se complaire dans son rôle de maître et se laisser aller à la tyrannie, sa femme lui appartenant au même titre que son cheval ou son chien. Pour les sœurs qui n’ont pas trouvé à se marier, faute de dot, d’un joli minois ou d’un rare culot, si leur père n’est plus là pour les garder du péril que constitue l’indépendance, elles doivent se soumettre aux hommes de la famille : frères, oncles, à défaut beau-frères.
L’inégalité est dans tous les aspects de la vie : épouses ignorantes des affaires de leurs époux, vieilles filles inconscientes des réalités du monde. Mais il est une inégalité que ce roman met particulièrement en valeur, c’est celle relative au sexe.
A ma droite, une jeune fille parfaitement naïve, qui ne connaît rien à son corps, moins encore à celui de son futur époux, qui n’a jamais parlé de sexe avec ses aînées (cela ne se fait pas), ni avec ses servantes (cela se fait encore moins), ni avec ses amies (qui n’en savent pas plus qu’elle), n’a même pas lu un ouvrage sur la question (les jeunes filles lisent la bible, quelques récits chastement romantiques, rien qui pourrait leur «exciter le sang», comme disent les sages de l’époque) et à qui on suggère régulièrement qu’une femme ne peut éprouver de plaisir à l’étreinte de son mari.
A ma gauche un jeune homme (viril) que son père (son oncle, son frère, son tuteur, peu importe) a déjà emmené au moins une fois au bordel, qui assimile l’amour à une étreinte à sens unique, dans lequel la femme se pâme sans qu’il ait d’autre effort à faire que satisfaire son propre plaisir, et à qui ses camarades assurent que son épouse lui doit une absolue soumission.
Sur un même ring, inutile de dire que les incompréhensions ne tarderont pas à apparaître, la femme horrifiée par les étreintes brutales de son époux qu’elle assimilera à du mépris, l’homme blessé par la froideur de son épouse qu’il jugera insultante. Allez ensuite construire un couple harmonieux au milieu de tout ça... Même si le livre ne se résume pas à cela, les conflits conjugaux et familiaux qui animent le couple Lizzie-Fitz tournent autour de cette inégalité fondamentale.
Quant à l’autre inégalité, celle qui consiste à dénier à toute femme le droit de diriger sa propre vie sous prétexte de la protéger - des hommes autant que d’elle-même - et de sauvegarder ainsi la réputation de sa famille, c’est évidemment Mary qui en est l’incarnation parfaite.
Deux thèmes intéressants, et d’autres qui le sont à peine moins - le poids des convenances, le hiatus entre la misère absolue des petites gens et la richesse éhontée des classes aisées, les relations difficiles avec des enfants élevés par des nourrices et des précepteurs - donnent à ce livre un fond tout à fait honorable.
Je dirais que le seul bémol est l’incohérence du personnage de Fitzwilliam Darcy. Indéniablement sympathique dans l’oeuvre originale de Jane Austen, franchement odieux dans les 350 premières pages de ce roman, il redevient soudain, sans raison véritablement satisfaisante, l’époux attentif et amoureux des débuts. La fin heureuse prend du coup un arrière-goût de plaqué un peu désagréable.
Contrairement à certains, je n’ai pas été gênée par le côté rocambolesque de l’enlèvement de Mary. En fait, ça ne m’a pas plus choqué que les coïncidences multiples (et un peu grosses) du roman original de Jane Austen.
Dans l'ensemble, j'ai donc trouvé cette lecture tout à fait agréable, même si Colleen McCullough sait faire bien mieux que cela (si vous ne me croyez pas, lisez Les oiseaux se cachent pour mourir )
Ma note : 6/10Pour ce qui est des qualités, le style est très agréable, s’appuyant sur une structure simple, des dialogues fluides et des descriptions habiles.
Sur le fond, j’ai été séduite par le réalisme tendre de l’auteur concernant la vie post-heureux-dénouement des soeurs Bennet. Les caprices de Miss Mary, c’est Cendrillon après la fête, inclus la gueule de bois et les invités ivres morts à dégager des coins. Le délicieux prétendant n’a plus à se soucier de tendresse ou de séduction, il peut se complaire dans son rôle de maître et se laisser aller à la tyrannie, sa femme lui appartenant au même titre que son cheval ou son chien. Pour les sœurs qui n’ont pas trouvé à se marier, faute de dot, d’un joli minois ou d’un rare culot, si leur père n’est plus là pour les garder du péril que constitue l’indépendance, elles doivent se soumettre aux hommes de la famille : frères, oncles, à défaut beau-frères.
L’inégalité est dans tous les aspects de la vie : épouses ignorantes des affaires de leurs époux, vieilles filles inconscientes des réalités du monde. Mais il est une inégalité que ce roman met particulièrement en valeur, c’est celle relative au sexe.
A ma droite, une jeune fille parfaitement naïve, qui ne connaît rien à son corps, moins encore à celui de son futur époux, qui n’a jamais parlé de sexe avec ses aînées (cela ne se fait pas), ni avec ses servantes (cela se fait encore moins), ni avec ses amies (qui n’en savent pas plus qu’elle), n’a même pas lu un ouvrage sur la question (les jeunes filles lisent la bible, quelques récits chastement romantiques, rien qui pourrait leur «exciter le sang», comme disent les sages de l’époque) et à qui on suggère régulièrement qu’une femme ne peut éprouver de plaisir à l’étreinte de son mari.
A ma gauche un jeune homme (viril) que son père (son oncle, son frère, son tuteur, peu importe) a déjà emmené au moins une fois au bordel, qui assimile l’amour à une étreinte à sens unique, dans lequel la femme se pâme sans qu’il ait d’autre effort à faire que satisfaire son propre plaisir, et à qui ses camarades assurent que son épouse lui doit une absolue soumission.
Sur un même ring, inutile de dire que les incompréhensions ne tarderont pas à apparaître, la femme horrifiée par les étreintes brutales de son époux qu’elle assimilera à du mépris, l’homme blessé par la froideur de son épouse qu’il jugera insultante. Allez ensuite construire un couple harmonieux au milieu de tout ça... Même si le livre ne se résume pas à cela, les conflits conjugaux et familiaux qui animent le couple Lizzie-Fitz tournent autour de cette inégalité fondamentale.
Quant à l’autre inégalité, celle qui consiste à dénier à toute femme le droit de diriger sa propre vie sous prétexte de la protéger - des hommes autant que d’elle-même - et de sauvegarder ainsi la réputation de sa famille, c’est évidemment Mary qui en est l’incarnation parfaite.
Deux thèmes intéressants, et d’autres qui le sont à peine moins - le poids des convenances, le hiatus entre la misère absolue des petites gens et la richesse éhontée des classes aisées, les relations difficiles avec des enfants élevés par des nourrices et des précepteurs - donnent à ce livre un fond tout à fait honorable.
Je dirais que le seul bémol est l’incohérence du personnage de Fitzwilliam Darcy. Indéniablement sympathique dans l’oeuvre originale de Jane Austen, franchement odieux dans les 350 premières pages de ce roman, il redevient soudain, sans raison véritablement satisfaisante, l’époux attentif et amoureux des débuts. La fin heureuse prend du coup un arrière-goût de plaqué un peu désagréable.
Contrairement à certains, je n’ai pas été gênée par le côté rocambolesque de l’enlèvement de Mary. En fait, ça ne m’a pas plus choqué que les coïncidences multiples (et un peu grosses) du roman original de Jane Austen.
Dans l'ensemble, j'ai donc trouvé cette lecture tout à fait agréable, même si Colleen McCullough sait faire bien mieux que cela (si vous ne me croyez pas, lisez Les oiseaux se cachent pour mourir )
P.S.: Rahhh, le kilt... Un grand (et inattendu) exhausteur de la séduction masculine, indéniablement
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
morag a écrit:Je ne peux pas t'en vouloir !
Allez lou40... Je suis pas jalouse, avec toi je veux bien partager
[/quote]
Merci Morag, c'est généreux de ta part !
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Premièrement, alexielle63, voir "Si Tu Me Voyais Maintenant".
Deuxièmement, alexielle63, je tiens à te remercier car sans toi je n'aurais jamais lu ce roman. J'ai bien aimé cette histoire racontant les moments d'une femme qui a du chien et qui cherche à vivre sa vie comme elle l'entend dans une époque qui réprouve cette mentalité.
C'est une suite du roman Orgueil et préjugés de Jane Austen, mais j'ai plus apprécié la plume de Mme Colleen McCullough que celle de Mme Austen.
Dans ce roman, la rencontre de Owen et Georgie est une affriolent vent de fraîcheur et apporte une note très colorée et très agréable.
Ma cote: 7/10.
Citations:
"... la bienséance. Comme je hais ce mot, ce code de conduite rigide comme l'acier, inventé pour intimider et asservir les femmes!"
"L'épouse d'un grand homme ne subit pas les évènements; elle les fait advenir."
"Que représentent les anciens quand l'avenir vous emplit le coeur?"
"Le Mariage, cependant, exigeait qu'on épousât la famille en son entier."
(Colleen McCullough, "Les caprices de Miss Mary").
Deuxièmement, alexielle63, je tiens à te remercier car sans toi je n'aurais jamais lu ce roman. J'ai bien aimé cette histoire racontant les moments d'une femme qui a du chien et qui cherche à vivre sa vie comme elle l'entend dans une époque qui réprouve cette mentalité.
C'est une suite du roman Orgueil et préjugés de Jane Austen, mais j'ai plus apprécié la plume de Mme Colleen McCullough que celle de Mme Austen.
Dans ce roman, la rencontre de Owen et Georgie est une affriolent vent de fraîcheur et apporte une note très colorée et très agréable.
Ma cote: 7/10.
Citations:
"... la bienséance. Comme je hais ce mot, ce code de conduite rigide comme l'acier, inventé pour intimider et asservir les femmes!"
"L'épouse d'un grand homme ne subit pas les évènements; elle les fait advenir."
"Que représentent les anciens quand l'avenir vous emplit le coeur?"
"Le Mariage, cependant, exigeait qu'on épousât la famille en son entier."
(Colleen McCullough, "Les caprices de Miss Mary").
Moulin-à-Vent- Grand sage du forum
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Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Avant de commencer ce livre, j'ai lu "Orgueil et préjugés", qui a été pour moi un coup de coeur : une écriture fluide agréable et une histoire très prenante.
En commençant "Les caprices de Mary" j'ai au premier abord été déçu par le style, beaucoup moins fluide, plus lourd que celui de Jane Austen. J'ai donc eu du mal à rentrer dans l'histoire, car j'étais restée sur mon coup de coeur. De plus, je n'aimais pas la présentation que l'auteur nous faisait des héros qui devenaient antipathiques. Finalement, j'ai oublié le style et j'ai commencer à apprécier l'histoire et j'ai vraiment fini par la dévorer.
En bref, je suis ravie d'avoir découvert "Orgueil et préjugés" et cette suite via cette lecture commune.
En commençant "Les caprices de Mary" j'ai au premier abord été déçu par le style, beaucoup moins fluide, plus lourd que celui de Jane Austen. J'ai donc eu du mal à rentrer dans l'histoire, car j'étais restée sur mon coup de coeur. De plus, je n'aimais pas la présentation que l'auteur nous faisait des héros qui devenaient antipathiques. Finalement, j'ai oublié le style et j'ai commencer à apprécier l'histoire et j'ai vraiment fini par la dévorer.
En bref, je suis ravie d'avoir découvert "Orgueil et préjugés" et cette suite via cette lecture commune.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
J’avais beaucoup aimé Orgueil et Préjugés et je craignais que cette suite ne soit pas à la hauteur de mes espérances. Pourtant j’ai été agréablement surprise. D’une part parce que l’auteur a créé une suite cohérente à l’histoire première mais également parce qu’elle a réussit à insérer des nouveautés. L’histoire est riche en rebondissements, et bien que la trame principale soit encore l’amour, les aventures de Mary prennent une place à part dans le récit. De plus, comme l’histoire se passe longtemps après Orgueil et Préjugés, et il est intéressant de suivre l’évolution des personnages principaux de cette première histoire.
Mary est un personnage intéressant car profond et complexe. Sa situation de vieille fille la pousse à tenter des expériences extrêmes que les autres condamnent. Néanmoins elle ne renonce jamais à ses convictions et les dernières lignes du roman sont là pour le prouver. Mary est certainement le personnage le plus riche de ce roman même si ses sœurs gagnent en profondeur, confrontées aux réalités de la vie.
On pourrait cependant ajouter qu’il peut être décevant pour le lecteur que Mary ne puisse pas mener à bien son voyage : il ne faut pas s’attendre à une longue description de la vie des anglais les plus modestes au XIX siècle.
Pour conclure, je dirai que ce roman mêle parfaitement les récits à l’eau de rose, les relations familiales et les aventures rocambolesques.
Mary est un personnage intéressant car profond et complexe. Sa situation de vieille fille la pousse à tenter des expériences extrêmes que les autres condamnent. Néanmoins elle ne renonce jamais à ses convictions et les dernières lignes du roman sont là pour le prouver. Mary est certainement le personnage le plus riche de ce roman même si ses sœurs gagnent en profondeur, confrontées aux réalités de la vie.
On pourrait cependant ajouter qu’il peut être décevant pour le lecteur que Mary ne puisse pas mener à bien son voyage : il ne faut pas s’attendre à une longue description de la vie des anglais les plus modestes au XIX siècle.
Pour conclure, je dirai que ce roman mêle parfaitement les récits à l’eau de rose, les relations familiales et les aventures rocambolesques.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les Caprices de Miss Mary
Mon avis :
J'ai bien aimé cette suite d'Orgueils et Préjugés de Jane Austen, j'aime bien savoir ce qu'est devenue cette famille assez hors du commun pour l'époque. L'écriture contemporaine de Colleen McCullough m'a fait plus apprécier l'histoire que l'écriture un peu plus ancienne de Jane Austen.
Il y a bien quelques longueurs, mais le livre si lit bien quand même. C'est un mélange d'humour, de romantisme, de suspense,... Le livre est très bien déccoupé en chapitres. L'happy end laisse quand même une suite à l'histoire.
J'ai bien apprécié et je ne regrette pas d'avoir découvert ce roman.
J'ai bien aimé cette suite d'Orgueils et Préjugés de Jane Austen, j'aime bien savoir ce qu'est devenue cette famille assez hors du commun pour l'époque. L'écriture contemporaine de Colleen McCullough m'a fait plus apprécier l'histoire que l'écriture un peu plus ancienne de Jane Austen.
Il y a bien quelques longueurs, mais le livre si lit bien quand même. C'est un mélange d'humour, de romantisme, de suspense,... Le livre est très bien déccoupé en chapitres. L'happy end laisse quand même une suite à l'histoire.
J'ai bien apprécié et je ne regrette pas d'avoir découvert ce roman.
Invité- Invité
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