[McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
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Avis sur le livre:
[McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Les oiseaux se cachent pour mourir
. Auteur: Colleen Mccullough
. Editeur: Pocket
. Nombre de pages: 896
.Quatrième de couverture:
Écrasé par le soleil brûlant d'Australie, le domaine de Drogheda déploie ses milliers d'hectares à perte de vue. Sur ces terres, les Cleary vont pouvoir entamer une nouvelle vie, loin de la misère qu'ils ont connue dans leur Nouvelle-Zélande natale. Pour Meggie, neuf ans, la seule fille de cette famille de huit enfants, ce nouveau départ se présente sous les traits du père Ralph de Bricassart. Séduisant, doux, généreux, le jeune homme la marque à jamais, lui inspirant des sentiments qui ne cessent de grandir au fil des ans...
Pour se délivrer de cette attirance réciproque, la belle Meggie n'a plus le choix à présent : elle se résout à accepter les avances d'un saisonnier, Luke O'Neill. Quant à Ralph, fidèle à sa vocation, il décide de poursuivre sa carrière ecclésiastique loin de cet amour qu'il croit impossible...
L'histoire d'amour impossible - désormais culte - entre un ambitieux prêtre catholique et une jeune femme indomptable.
. Mon avis:
Un roman d'amour passionnant, Ce n'est pas par hasard qu'il est l'un des best sellers internationaux!
Un livre , qui nous rappelle que les prêtres sont des hommes , comme nous tous!
Des passages sont si captivants qu'on les lie et relie, des passages où émotions, sentiments et réflexions se mêlent..
Et il y'en a des pages qu'on survole à la hâte pour parvenir à d'autres plus intéressants ...Mais bon, ça m'a plu!
Il ne s'agit pas d'Amour seulement, mais de peine, misère, frustration , rancune et de mort
. Auteur: Colleen Mccullough
. Editeur: Pocket
. Nombre de pages: 896
.Quatrième de couverture:
Écrasé par le soleil brûlant d'Australie, le domaine de Drogheda déploie ses milliers d'hectares à perte de vue. Sur ces terres, les Cleary vont pouvoir entamer une nouvelle vie, loin de la misère qu'ils ont connue dans leur Nouvelle-Zélande natale. Pour Meggie, neuf ans, la seule fille de cette famille de huit enfants, ce nouveau départ se présente sous les traits du père Ralph de Bricassart. Séduisant, doux, généreux, le jeune homme la marque à jamais, lui inspirant des sentiments qui ne cessent de grandir au fil des ans...
Pour se délivrer de cette attirance réciproque, la belle Meggie n'a plus le choix à présent : elle se résout à accepter les avances d'un saisonnier, Luke O'Neill. Quant à Ralph, fidèle à sa vocation, il décide de poursuivre sa carrière ecclésiastique loin de cet amour qu'il croit impossible...
L'histoire d'amour impossible - désormais culte - entre un ambitieux prêtre catholique et une jeune femme indomptable.
. Mon avis:
Un roman d'amour passionnant, Ce n'est pas par hasard qu'il est l'un des best sellers internationaux!
Un livre , qui nous rappelle que les prêtres sont des hommes , comme nous tous!
Des passages sont si captivants qu'on les lie et relie, des passages où émotions, sentiments et réflexions se mêlent..
Et il y'en a des pages qu'on survole à la hâte pour parvenir à d'autres plus intéressants ...Mais bon, ça m'a plu!
Il ne s'agit pas d'Amour seulement, mais de peine, misère, frustration , rancune et de mort
Héméra- Membre assidu
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Emploi/loisirs : Ingénieur agronome
Genre littéraire préféré : Policier/Thriller/Scientifique/philosophique..Bref un peu de tout
Date d'inscription : 22/05/2010
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Adolescente le téléfilm m'avait captivé cette histoire d' amour impossible...
Sara2a- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : Thrillers, fantastiques et un peu de tout ce qui peut me tomber sous les yeux .
Date d'inscription : 24/01/2010
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Sara2a a écrit:Adolescente le téléfilm m'avait captivé cette histoire d' amour impossible...
Moi aussi Hémera tu me remets à l'esprit que j'aimerais bien lire ce livre faudrait que je l'emprunte à la médiathèque !
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Je l'ai acheté récemment après avoir tant entendu parler de cette histoire d'amour.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Après avoir lu le livre, j'ai vu le film.
J'ai bien aimé les deux mais avec une préférence pour le livre quand même.
C'est devenu un " classique ".
Bonne lecture, Voyager-en-lecture.
J'ai bien aimé les deux mais avec une préférence pour le livre quand même.
C'est devenu un " classique ".
Bonne lecture, Voyager-en-lecture.
Paprika- Grand sage du forum
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Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Je l'ai adoré il y a qq années et l'adaptation à la télé était une réussite !!
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Paprika a écrit: Après avoir lu le livre, j'ai vu le film.
J'ai bien aimé les deux mais avec une préférence pour le livre quand même.
C'est devenu un " classique ".
Bonne lecture, Voyager-en-lecture.
Ca ne sera pas pour tout de suite mais merci quand même
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Le prêtre était particulièrement sexy !Géraldine a écrit:Je l'ai adoré il y a qq années et l'adaptation à la télé était une réussite !!
Sara2a- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : Thrillers, fantastiques et un peu de tout ce qui peut me tomber sous les yeux .
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Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Cerisia a écrit:Sara2a a écrit:Adolescente le téléfilm m'avait captivé cette histoire d' amour impossible...
Moi aussi Hémera tu me remets à l'esprit que j'aimerais bien lire ce livre faudrait que je l'emprunte à la médiathèque !
Pourvu qu'il te plaise! Bonne lecture
Héméra- Membre assidu
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Date d'inscription : 22/05/2010
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
En m'engageant dans ce livre pour la lecture commune, je m'attendais confusément à quelque chose à la limite du "Harlequin, champion de l'amour" (je ne me moque pas sans connaître, ma grand-mère en avait plein, des Harlequins, et même à 12 ans je trouvais ça niais).
Pour commencer, quand j’ai emprunté Les oiseaux se cachent pour mourir à ma médiathèque, j’ai d'abord dû trouver le rayon «Romans sentimentaux». Contre un mur, le long de la machine à café. Il ne devait pas y avoir assez de place à côté des toilettes. Ensuite, j’ai dû subir un regard de commisération absolue de la part d’une espèce de bonne femme qui m’a vue avec «ça» sous le bras. Et finalement, le petit pincement de lèvres lourd de sens de la bibliothécaire elle-même. De quoi me convaincre que je venais de déchoir irrémédiablement de la catégorie des «lectrices sérieuses» à celle des «midinettes qui ne méritent pas de fouler le sol de ce haut lieu de culture».
J’ai donc ouvert le livre sans conviction, pressentant une galère sans fin. Et là, j’ai une fois de plus eu la preuve qu’il ne faut jamais se laisser influencer, même par une bibliothécaire qui donne l’impression d’avoir bu le thé avec Zola en personne dans sa jeunesse. En effet, plus j’avançais dans ma lecture, plus je me demandais «mais pourquoi ils ont collé un roman de ce calibre à côté de la machine à café, dans un rayonnage estampillé Romans de la honte ? Euh pardon ! Romans à l’eau de rose. Euh... non, mille pardons ! Romans sentimentaux.». C’est un roman. Point. Et excellent qui plus est.
Certes, c’est un roman qui parle aussi d’amour.
A ce prix-là, rangeons Dune, Le seigneur des anneaux, Les misérables, Au bonheur des Dames dans le rayon «Romans sentimentaux», et tiens ! allez ! rangeons-y également toutes les œuvres de Pierre Bordage, histoire de faire bonne mesure !
Vous l’aurez compris, j’ai adoré ce roman, sentimental ou pas .
Au-delà de l’histoire, qui est plus une chronique familiale qu’une simple histoire d’amour, le style est à la fois fluide et élégant. Les descriptions, des paysages aussi bien que des protagonistes, sont courtes mais évocatrices. Les événements s’enchaînent, sans longueur, sans brusquerie, même s’il est parfois difficile de se situer dans le temps entre deux sauts de page («ben, mais elle avait douze ans à la page d’avant, maintenant elle en a seize... personne ne me dit jamais rien» )
Non seulement j’ai découvert un pays - l’Australie - que je ne connaissais qu’au travers de quelques beaux reportage télévisés, mais j’ai également traversé avec Ralph, Meggie, Paddy, Fee... des époques qui n’étaient guère plus pour moi que des dates sur un livre d’histoire de Terminale. Cela m’a d’autant plus intéressée que l’on ne se contente pas de découvrir ces époques mais d’assister aux mutations qui les accompagnent, essentiellement au travers des femmes qui jalonnent et cadrent le déroulement de ce récit.
En effet, contrairement à ce que je pensais et à ce que la structure du livre peut suggérer, Les oiseaux se cachent pour mourir est un livre de femmes. Malgré la profusion d’hommes Cleary, malgré la présence incontournable de Ralph de Bricassart, les héros du récit sont Marie Carson, Fee, Cleary, Justine. Ce sont elles qui guident réellement le destin de leur lignée, pendant que les hommes gaspillent leur temps et leur énergie dans la recherche d’un pouvoir illusoire et éphémère, papillons de nuit attirés par la flamme qui les détruira : l’Eglise pour Ralph, l’argent pour Luke O’Neill, Dieu pour Dane.
Et là, un doute affreux me vient. Serait-ce pour cela que ce roman est classé comme «sentimental» ? Parce qu’un roman «tout court», c’est une affaire d’hommes ? Parce qu’un roman qui parle de femmes c’est forcément un roman «à l’eau de rose».
J’espère que ce n’est pas cela, et que ce roman ne doit son classement qu’à son adaptation télévisuelle. Celle-ci était en effet, si mes souvenirs sont exacts, bien plus sentimentale que le bouquin en lui-même. A moins que ce ne soit dû aux autres livre de Colleen MacCullough, peut-être plus «sentimentaux» que celui-ci ?
Ou alors, c’est juste que je suis une fille (si, si) et que je ne me rends pas compte à quel point ce livre est niais et sucré...
Tiens ! Là, ça serait intéressant qu’un homme beau, grand, fort et viril, nous donne son avis sur la question...
Ma note : 9,5/10Pour commencer, quand j’ai emprunté Les oiseaux se cachent pour mourir à ma médiathèque, j’ai d'abord dû trouver le rayon «Romans sentimentaux». Contre un mur, le long de la machine à café. Il ne devait pas y avoir assez de place à côté des toilettes. Ensuite, j’ai dû subir un regard de commisération absolue de la part d’une espèce de bonne femme qui m’a vue avec «ça» sous le bras. Et finalement, le petit pincement de lèvres lourd de sens de la bibliothécaire elle-même. De quoi me convaincre que je venais de déchoir irrémédiablement de la catégorie des «lectrices sérieuses» à celle des «midinettes qui ne méritent pas de fouler le sol de ce haut lieu de culture».
J’ai donc ouvert le livre sans conviction, pressentant une galère sans fin. Et là, j’ai une fois de plus eu la preuve qu’il ne faut jamais se laisser influencer, même par une bibliothécaire qui donne l’impression d’avoir bu le thé avec Zola en personne dans sa jeunesse. En effet, plus j’avançais dans ma lecture, plus je me demandais «mais pourquoi ils ont collé un roman de ce calibre à côté de la machine à café, dans un rayonnage estampillé Romans de la honte ? Euh pardon ! Romans à l’eau de rose. Euh... non, mille pardons ! Romans sentimentaux.». C’est un roman. Point. Et excellent qui plus est.
Certes, c’est un roman qui parle aussi d’amour.
A ce prix-là, rangeons Dune, Le seigneur des anneaux, Les misérables, Au bonheur des Dames dans le rayon «Romans sentimentaux», et tiens ! allez ! rangeons-y également toutes les œuvres de Pierre Bordage, histoire de faire bonne mesure !
Vous l’aurez compris, j’ai adoré ce roman, sentimental ou pas .
Au-delà de l’histoire, qui est plus une chronique familiale qu’une simple histoire d’amour, le style est à la fois fluide et élégant. Les descriptions, des paysages aussi bien que des protagonistes, sont courtes mais évocatrices. Les événements s’enchaînent, sans longueur, sans brusquerie, même s’il est parfois difficile de se situer dans le temps entre deux sauts de page («ben, mais elle avait douze ans à la page d’avant, maintenant elle en a seize... personne ne me dit jamais rien» )
Non seulement j’ai découvert un pays - l’Australie - que je ne connaissais qu’au travers de quelques beaux reportage télévisés, mais j’ai également traversé avec Ralph, Meggie, Paddy, Fee... des époques qui n’étaient guère plus pour moi que des dates sur un livre d’histoire de Terminale. Cela m’a d’autant plus intéressée que l’on ne se contente pas de découvrir ces époques mais d’assister aux mutations qui les accompagnent, essentiellement au travers des femmes qui jalonnent et cadrent le déroulement de ce récit.
En effet, contrairement à ce que je pensais et à ce que la structure du livre peut suggérer, Les oiseaux se cachent pour mourir est un livre de femmes. Malgré la profusion d’hommes Cleary, malgré la présence incontournable de Ralph de Bricassart, les héros du récit sont Marie Carson, Fee, Cleary, Justine. Ce sont elles qui guident réellement le destin de leur lignée, pendant que les hommes gaspillent leur temps et leur énergie dans la recherche d’un pouvoir illusoire et éphémère, papillons de nuit attirés par la flamme qui les détruira : l’Eglise pour Ralph, l’argent pour Luke O’Neill, Dieu pour Dane.
Et là, un doute affreux me vient. Serait-ce pour cela que ce roman est classé comme «sentimental» ? Parce qu’un roman «tout court», c’est une affaire d’hommes ? Parce qu’un roman qui parle de femmes c’est forcément un roman «à l’eau de rose».
J’espère que ce n’est pas cela, et que ce roman ne doit son classement qu’à son adaptation télévisuelle. Celle-ci était en effet, si mes souvenirs sont exacts, bien plus sentimentale que le bouquin en lui-même. A moins que ce ne soit dû aux autres livre de Colleen MacCullough, peut-être plus «sentimentaux» que celui-ci ?
Ou alors, c’est juste que je suis une fille (si, si) et que je ne me rends pas compte à quel point ce livre est niais et sucré...
Tiens ! Là, ça serait intéressant qu’un homme beau, grand, fort et viril, nous donne son avis sur la question...
Dernière édition par Saphyr le Ven 20 Aoû 2010 - 15:10, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Quelle critique!!
Je crois bien qu'après avoir lu mes livres en cours, je me lancerais dans celui-là. Déjà que j'hésitais tout à l'heure mais là il n'y plus beaucoup de doute.
Je crois bien qu'après avoir lu mes livres en cours, je me lancerais dans celui-là. Déjà que j'hésitais tout à l'heure mais là il n'y plus beaucoup de doute.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Saphyr superbe critique là impossible de passer à côté de ce livre !!!!
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Merci les filles, contente que ça vous donne envie de le lire .
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Quelle critique Saphyr!
Je t'approuve En attendant qu'un homme nous donne son avis
Bonne lecture Voyager-en-lecture et Cerisia ! Pourvu que ça vous plaise
Je t'approuve En attendant qu'un homme nous donne son avis
Bonne lecture Voyager-en-lecture et Cerisia ! Pourvu que ça vous plaise
Héméra- Membre assidu
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Emploi/loisirs : Ingénieur agronome
Genre littéraire préféré : Policier/Thriller/Scientifique/philosophique..Bref un peu de tout
Date d'inscription : 22/05/2010
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Merci Saphyr pour cette très bonne critique qui soulève notamment le problème de l'étiquette ou "comment classer un ouvrage qui de part son écriture et son histoire peut appartenir à de nombres genres". Au delà de cette remarquable histoire d'amour, c'est un pays, c'est un mode de vie, et tant d'autres choses encore que l'auteur nous fait découvrir.
Ce livre fait partie de ma liste de chevet (les lus, lus, lus et relus, et encore lus sans jamais s'en lasser). Je ne peux que vivement le conseiller.
A noter que Colleen Mc Cullough nous propose aujourd'hui une grande saga romaine (Antoine et Cléopâtre, etc.), très riche d'un point de vue historique et avec le style particulier de l'auteur qui permet au livre d'être prenant avec des personnages attachants en plus de relater des faits historiques.
Ce livre fait partie de ma liste de chevet (les lus, lus, lus et relus, et encore lus sans jamais s'en lasser). Je ne peux que vivement le conseiller.
A noter que Colleen Mc Cullough nous propose aujourd'hui une grande saga romaine (Antoine et Cléopâtre, etc.), très riche d'un point de vue historique et avec le style particulier de l'auteur qui permet au livre d'être prenant avec des personnages attachants en plus de relater des faits historiques.
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
J'ai lu ce livre il y a quelques années.
Je l'ai trouvé bien supérieur à la série TV que j'avais déjà trouvé excellente.
Un livre vraiment très très bien écrit : c'est un régal de le lire et comme l'histoire se prolonge sur des dizaines d'années, il allie saga familiale, histoire d'amour impossible, passion, trahison, description du monde ecclesiastique, des moeurs des différentes classes sociales...
En bref, je trouve que Les oiseaux se cachent pour mourirest un chef d'oeuvre ! Et je vote "coup de coeur"
Je l'ai trouvé bien supérieur à la série TV que j'avais déjà trouvé excellente.
Un livre vraiment très très bien écrit : c'est un régal de le lire et comme l'histoire se prolonge sur des dizaines d'années, il allie saga familiale, histoire d'amour impossible, passion, trahison, description du monde ecclesiastique, des moeurs des différentes classes sociales...
En bref, je trouve que Les oiseaux se cachent pour mourirest un chef d'oeuvre ! Et je vote "coup de coeur"
Invité- Invité
Re: [McCullough, Colleen] Les oiseaux se cachent pour mourir
Ahh ben ça, ça me fait plaisir .
Enfin un avis d'homme sur la question, positif qui plus est.
Merci François .
Enfin un avis d'homme sur la question, positif qui plus est.
Merci François .
Invité- Invité
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