[Wesley, Marie] La pelouse de camomille
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Votre avis sur ce livre
[Wesley, Marie] La pelouse de camomille
Titre : la pelouse de camomille
Auteur : Marie Wesley
Née en 1912 près de Windsor, très cosmopolite et bohème, elle vit successivement en France, en Italie et en
Allemagne. A 70 ans, elle se retire dans le comté de Devon pour se consacrer à la littérature et devenir la coqueluche
des Anglais. Avec "Sans avoir l'air d'y toucher", également paru chez J'ai Lu, elle a fait la conquête du public français.
Editeur : J'ai Lu
Nombre de pages :376
Quatrième de couverture : Chaque été, les cinq neveux de Richard et d'Helena se retrouvent en Cornouailles. C'est le temps béni des baignades au pied de la falaise, des après midi paresseux sur la pelouse de camomille, sans autre souci que ces tourments de l'amour qui vous rongent une jeunesse. La petite Sophy donnerait sa vie pour Oliver qui, lui, est fou de Calypso, si belle, si lointaine... Mais ces vacances-là ne sont pas comme les autres. Nous sommes en août 1939... La guerre éclate. Et ce qui en temps de paix aurait paru inconcevable devient la seule façon de survivre à l'angoisse : des couples inattendus se forment, des personnalités se révèlent. La guerre ! En dépit des drames, quarante ans plus tard, ils s'en souviennent comme d'un jeu exaltant, à l'image du Parcours de l'Epouvante, leur passe-temps favori...
Mon appréciation : Livre agréable à lire et divertissant, pour un bon moment sans prise de tête. Les personnages sont attachants et il est intéressant de les retrouver quarante ans plus tard, à l'occasion d'un enterrement, pour savoir ce qu'ils sont devenus. La guerre, dans ce livre, est prétexte à l'émergence de comportements nouveaux et libérés devant la possibilité d'une mort précoce. Mary Wesley explore sans juger des états de vie différents et variés. La vie passe vite, elle est courte et il ne faut pas manquer les occasions quand elles se présentent.
Auteur : Marie Wesley
Née en 1912 près de Windsor, très cosmopolite et bohème, elle vit successivement en France, en Italie et en
Allemagne. A 70 ans, elle se retire dans le comté de Devon pour se consacrer à la littérature et devenir la coqueluche
des Anglais. Avec "Sans avoir l'air d'y toucher", également paru chez J'ai Lu, elle a fait la conquête du public français.
Editeur : J'ai Lu
Nombre de pages :376
Quatrième de couverture : Chaque été, les cinq neveux de Richard et d'Helena se retrouvent en Cornouailles. C'est le temps béni des baignades au pied de la falaise, des après midi paresseux sur la pelouse de camomille, sans autre souci que ces tourments de l'amour qui vous rongent une jeunesse. La petite Sophy donnerait sa vie pour Oliver qui, lui, est fou de Calypso, si belle, si lointaine... Mais ces vacances-là ne sont pas comme les autres. Nous sommes en août 1939... La guerre éclate. Et ce qui en temps de paix aurait paru inconcevable devient la seule façon de survivre à l'angoisse : des couples inattendus se forment, des personnalités se révèlent. La guerre ! En dépit des drames, quarante ans plus tard, ils s'en souviennent comme d'un jeu exaltant, à l'image du Parcours de l'Epouvante, leur passe-temps favori...
Mon appréciation : Livre agréable à lire et divertissant, pour un bon moment sans prise de tête. Les personnages sont attachants et il est intéressant de les retrouver quarante ans plus tard, à l'occasion d'un enterrement, pour savoir ce qu'ils sont devenus. La guerre, dans ce livre, est prétexte à l'émergence de comportements nouveaux et libérés devant la possibilité d'une mort précoce. Mary Wesley explore sans juger des états de vie différents et variés. La vie passe vite, elle est courte et il ne faut pas manquer les occasions quand elles se présentent.
majeanne- Apprenti
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Nombre de messages : 34
Localisation : le Sud
Emploi/loisirs : lecture - marche - broderie - histoire- être assise au soleil
Genre littéraire préféré : tout sauf économie/politique/romans eau de rose
Date d'inscription : 23/10/2008
Re: [Wesley, Marie] La pelouse de camomille
majeanne pour cette critique, je note ce livre pour une prochaine lecture detente, je pense qu il peut me plaire
Invité- Invité
Re: [Wesley, Marie] La pelouse de camomille
Bravo pour cette très belle critique bien structurée Majeanne :[IMG]http://sm
Thot- Admin
-
Nombre de messages : 6094
Age : 44
Localisation : Suisse
Genre littéraire préféré : Je lis de tout, mais j'aime moins la science-fiction.
Date d'inscription : 02/06/2008
Re: [Wesley, Marie] La pelouse de camomille
tu vois Majeanne que tu as réussi
C'est pas si difficile que ça quand on y repense après
C'est pas si difficile que ça quand on y repense après
audreyzaz- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 3345
Age : 38
Localisation : Région parisienne (92)
Genre littéraire préféré : Un peu de tout
Date d'inscription : 03/06/2008
Re: [Wesley, Marie] La pelouse de camomille
Merci pour votre aide et vos encouragements.
majeanne- Apprenti
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Nombre de messages : 34
Localisation : le Sud
Emploi/loisirs : lecture - marche - broderie - histoire- être assise au soleil
Genre littéraire préféré : tout sauf économie/politique/romans eau de rose
Date d'inscription : 23/10/2008
Re: [Wesley, Marie] La pelouse de camomille
Super cette critique et tu m'as donné envie de lire ce livre.. Je note
Invité- Invité
Re: [Wesley, Marie] La pelouse de camomille
je viens de le terminer, mes impressions concordent avec les tiennes. je trouve neanmoins que les personnages manquent un peu de profondeur.
Le language est parfois cru mais c'est ce qui fait l'originalité de ce livre.
Merci pour ta critique..
Le language est parfois cru mais c'est ce qui fait l'originalité de ce livre.
Merci pour ta critique..
Invité- Invité
Re: [Wesley, Marie] La pelouse de camomille
Ce roman est reposant et pourtant il se passe lors des années 1939/40, à Londres sous les bombardements Allemand ; avant que la guerre commence, comme tout les étés, les neveux et nièces de Richard se retrouvaient en Cornouaille, le temps de quelques pages, on vit encore un fois l’innocence de ces années.
Puis la guerre éclate ainsi que cette famille, Héléna, la tante ne veut plus vivre avec Richard et part à Londres où vivent tous ses neveux et nièces, sauf Sophie qui est placé en pension. La guerre est une menace qui plane au dessus de leurs têtes, alors il profite de la vie en couchant parfois les uns avec les autres, ou avec d’autres personnes qui se glissent dans cette famille. Mais c’est avant tout l’histoire de Richard et Héléna, Héléna et Max, Calypso et Hector, et Calypso et Oliver, Polly et les jumeaux : un chassé croisé de rencontres brèves.
A travers des dialogues, pendant presque tout le livre, on apprend les relations qui se sont noué entre les personnages, la mort de certain à la guerre ; ces dialogues donnent une fluidité à l’histoire, sans vulgarité malgré que le sexe soit souvent évoqué dans leurs relations. Cette famille est accueillante, sans tabou, ni non dit, même si certaines relations ne sont pas ouvertement énoncées, chaque membre les accepte sans préjugé, ni heurt, le temps n’est pas à ces futilités alors que les bombes pleuvent sur Londres, où que les hommes partent à la guerre sans savoir s’il reviendront.
Ce récit retrace les souvenirs d’Héléna et de Polly qui se rendent à l’enterrement de Max, quelques passages courts rappellent au lecteur ce présent car la plupart du récit se déroule en 1940.
Puis la guerre éclate ainsi que cette famille, Héléna, la tante ne veut plus vivre avec Richard et part à Londres où vivent tous ses neveux et nièces, sauf Sophie qui est placé en pension. La guerre est une menace qui plane au dessus de leurs têtes, alors il profite de la vie en couchant parfois les uns avec les autres, ou avec d’autres personnes qui se glissent dans cette famille. Mais c’est avant tout l’histoire de Richard et Héléna, Héléna et Max, Calypso et Hector, et Calypso et Oliver, Polly et les jumeaux : un chassé croisé de rencontres brèves.
A travers des dialogues, pendant presque tout le livre, on apprend les relations qui se sont noué entre les personnages, la mort de certain à la guerre ; ces dialogues donnent une fluidité à l’histoire, sans vulgarité malgré que le sexe soit souvent évoqué dans leurs relations. Cette famille est accueillante, sans tabou, ni non dit, même si certaines relations ne sont pas ouvertement énoncées, chaque membre les accepte sans préjugé, ni heurt, le temps n’est pas à ces futilités alors que les bombes pleuvent sur Londres, où que les hommes partent à la guerre sans savoir s’il reviendront.
Ce récit retrace les souvenirs d’Héléna et de Polly qui se rendent à l’enterrement de Max, quelques passages courts rappellent au lecteur ce présent car la plupart du récit se déroule en 1940.
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