[Day, Thomas] Rêves de guerre
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Votre avis sur "Rêves de guerre"
[Day, Thomas] Rêves de guerre
Genre : Heroic Fantasy
Editions : Mnemos
ISBN : 2-911618-69-6
416 pages
Quatrième de couverture :
Né de la discipline magique du rêve de guerre, N’Khan Hadessa est le maître d’armes des seigneurs de Haäsgard depuis plus de dix-mille ans. Presque une éternité durant laquelle, de bataille en bataille, le démon a forgé l’équilibre du Monde Connu et appris à côtoyer les hommes. Au point d’engendrer un fils avec une mortelle.
C’est ce fils, Faë, appelé à devenir le dernier magicien du rêve de guerre, qu’il lui faut à présent retrouver et ramener à la capitale de Languerrilh, où les attend l’impitoyable princesse Lyrhène, pour que survive la civilisation mise en péril par l’invasion des Toxians, nomades au sang brun. Mais Faë, à peine sorti de l’adolescence, ne l’entend pas de cette oreille... Reste un monde à traverser pour un père et un fils que tout sépare, un monde de haines et de violence où le chaos menace.
Mon avis : C’est ce fils, Faë, appelé à devenir le dernier magicien du rêve de guerre, qu’il lui faut à présent retrouver et ramener à la capitale de Languerrilh, où les attend l’impitoyable princesse Lyrhène, pour que survive la civilisation mise en péril par l’invasion des Toxians, nomades au sang brun. Mais Faë, à peine sorti de l’adolescence, ne l’entend pas de cette oreille... Reste un monde à traverser pour un père et un fils que tout sépare, un monde de haines et de violence où le chaos menace.
Un excellent livre de fantasy aux allures de classique, aussi faussement conventionnel que réellement original.
Pour le conventionnel, une guerre ancestrale, des batailles, de la magie élémentaire.
Pour l’original, un couple improbable de héros, aussi semblables et différents qu’on peut l’être : père et fils, guerrier et fermier, ivre de sang et assoiffé de paix, aussi butés l’un que l’autre, tour à tour détestables ou admirables, odieux ou attendrissants.
Pour le conventionnel, un peuple sylvain et secret qui, originalité de la chose, n’en a rien à caler de l’art et de la beauté et a survécu grâce à une cruauté jamais mise en défaut.
Pour le très conventionnel, des femmes qui, malgré une force voire une férocité hors du commun, ne vivent finalement que pour leur homme. Certes, Lyrhène est couturée de cicatrices - original, si on veut - mais elle a l’âme d’une midinette.
Pour le très original, une bonne claque au mythe du guerrier immortel qui, même s’il abat sa demi-douzaine de soldats à la minute, n’est jamais «qu’un gros tas de cadavres qui oublie de puer».
Pas mal du tout. A découvrir.
Invité- Invité
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