[Mari, Pierre] Les grands jours
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[Mari, Pierre] Les grands jours
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[Mari, Pierre]
Les grands jours
Fayard 2013
ISBN 978 2 213 67065 2
154 pages
Quatrième de couverture
En février 1916, plus d’un millier de soldats cantonnent dans le bois des Caures, au nord de Verdun, presque laissés à eux-mêmes par un état-major convaincu que l’offensive allemande aura lieu ailleurs. Pourtant, dans les tranchées mal entretenues, l’instinct des uns s’associe à l’expérience des autres pour deviner que «quelque chose se prépare». La rumeur évoque un déluge d’acier, un bombardement de cent heures, que certains prononcent «centaure». Comme en prévision de ce choc effroyable, les hommes se découvrent mille raisons de vivre, et s’aperçoivent qu’ils ont bien d’autres choses à faire que la guerre, au moment précis où celle-ci va prendre des proportions que nul n’aurait pu imaginer.
Récit d’un épisode héroïque de la Première Guerre mondiale entré dans l’histoire sous le nom d’offensive du bois des Caures», Les grands jours raconte surtout un autre combat, celui qu’on mène pour rester humain dans un environnement qui ne l’est plus
Mon avis
Les grands jours, ce sont les jours très longs sous la mitraille et les obus, les hommes sous les ordres du lieutenant-colonel Driant, avec chacun son passé, ses souvenirs de la vie civile d’avant, enterrés dans les tranchées ou le monde explose autour d’eux, sans arrêt ou quelques-uns arrivent pourtant à voler une heure de sommeil lors de ces heures interminables. Car c’est un vrai pilonnage des lignes françaises par les artilleurs allemands, les ennemis s’avançant dans les lignes françaises, pourtant réputées infranchissables par l’état-major, ce qui provoque un véritable hécatombe. L’assaut est décrit dans toute son horreur, les descriptions de la souffrance des hommes lorsqu’ils rampent sur les coudes, se faufilent, enjambent les trous d’obus en pressant des mains ce qui reste des parois qui se reforment ou s’écroulent, écartent la terre qui tombe, leur coupant la respiration. Tout cela fut Verdun très bien décrit, le récit époustouflant d’un épisode héroïque de la guerre 1914/1918. Un très bon livre qui m’a fait penser à « Cris de Laurent Gaudé « 4,5/5
Les grands jours
Fayard 2013
ISBN 978 2 213 67065 2
154 pages
Quatrième de couverture
En février 1916, plus d’un millier de soldats cantonnent dans le bois des Caures, au nord de Verdun, presque laissés à eux-mêmes par un état-major convaincu que l’offensive allemande aura lieu ailleurs. Pourtant, dans les tranchées mal entretenues, l’instinct des uns s’associe à l’expérience des autres pour deviner que «quelque chose se prépare». La rumeur évoque un déluge d’acier, un bombardement de cent heures, que certains prononcent «centaure». Comme en prévision de ce choc effroyable, les hommes se découvrent mille raisons de vivre, et s’aperçoivent qu’ils ont bien d’autres choses à faire que la guerre, au moment précis où celle-ci va prendre des proportions que nul n’aurait pu imaginer.
Récit d’un épisode héroïque de la Première Guerre mondiale entré dans l’histoire sous le nom d’offensive du bois des Caures», Les grands jours raconte surtout un autre combat, celui qu’on mène pour rester humain dans un environnement qui ne l’est plus
Mon avis
Les grands jours, ce sont les jours très longs sous la mitraille et les obus, les hommes sous les ordres du lieutenant-colonel Driant, avec chacun son passé, ses souvenirs de la vie civile d’avant, enterrés dans les tranchées ou le monde explose autour d’eux, sans arrêt ou quelques-uns arrivent pourtant à voler une heure de sommeil lors de ces heures interminables. Car c’est un vrai pilonnage des lignes françaises par les artilleurs allemands, les ennemis s’avançant dans les lignes françaises, pourtant réputées infranchissables par l’état-major, ce qui provoque un véritable hécatombe. L’assaut est décrit dans toute son horreur, les descriptions de la souffrance des hommes lorsqu’ils rampent sur les coudes, se faufilent, enjambent les trous d’obus en pressant des mains ce qui reste des parois qui se reforment ou s’écroulent, écartent la terre qui tombe, leur coupant la respiration. Tout cela fut Verdun très bien décrit, le récit époustouflant d’un épisode héroïque de la guerre 1914/1918. Un très bon livre qui m’a fait penser à « Cris de Laurent Gaudé « 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Mari, Pierre] Les grands jours
Merci Lalyre pour ta critique
louloute- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 24589
Age : 56
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
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