[Solomons, Natasha] La galerie des maris disparus
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[Solomons, Natasha] La galerie des maris disparus
[Solomons, Natasha] La galerie des maris disparus
La galerie des maris disparus
Natasha Solomons
Calmann-Lévy 2 mai 2014
ISBN 978 2 7021 5396 3
347 pages
Quatrième de couverture
Quand son mari se volatilise, Juliet Montague disparaît à son tour. Ni veuve ni divorcée, elle n’a pas le droit de refaire sa vie selon les règles de la communauté juive à laquelle elle appartient. Juliet s’efforce pourtant de son mieux d’assumer le quotidien et d’élever ses deux enfants. Mais le jour de ses trente ans, un matin de l’hiver 1958, elle prend une décision tout sauf raisonnable : au lieu de consacrer ses économies à l’achat d’un réfrigérateur, elle s’offre un portrait à son effigie. Ce tableau, premier d’une longue série, signe le début de son émancipation : passionnée de peinture, Juliet va peu à peu repérer les talents émergents, frayer avec le gotha artistique de Londres et ouvrir sa propre galerie. Ses nouvelles amitiés et, plus tard, son amour pour un brillant peintre reclus dans sa maison du Dorset l’aideront à affronter les commérages et la réprobation des siens. Mais Juliet reste enchaînée et, pour se sentir tout à fait libre, il lui reste un mystère à élucider…
Mon avis
Dans le Londres des années 1960, ce roman nous fait découvrir un beau portrait de femme dont le mari a disparu, la laissant seule avec deux enfants. J’ai aimé le titre de chaque chapitre, il me semble d’ailleurs que certains font penser à des noms de tableaux de quelques peintres célèbres dont le premier (Femme au compotier de pommes) se rapproche de Renoir, pas le temps de faire d’autres recherches sur ce thème..Cependant il est beaucoup question d’art, puisque l’héroïne s’occupe d’une galerie, elle a des amis artistes-peintres, j’ai imaginé que son jeune fils qui adore dessiner, pourrait un jour devenir peintre. Mais revenant au mari disparu, de ce cas dont Juliet, l’héroïne, toujours liée au disparu, née d’une famille juive, ne peut être vue seule en compagnie d’un homme serait considérée comme une femme perdue. Elle ne veut pas continuer sa vie comme cela et décide de partir à sa recherche pour l’obliger à divorcer, pour cela elle entreprend un long voyage pour Las Vegas avec ses deux enfants, le retrouvera t-elle ? Personnellement la suite m’a franchement surprise, qu’elle soit agréable ou non . La très raisonnable Juliet, dont chaque étape de sa vie est associée à une œuvre d’art, va-t-elle trouver dans son amour pour la peinture la clé de sa liberté ? Merci à Natasha Solomons d’avoir réussi à camper avec un très beau style des personnages inoubliables qui m’ont souvent émue. 4,5/5.
Natasha Solomons
Calmann-Lévy 2 mai 2014
ISBN 978 2 7021 5396 3
347 pages
Quatrième de couverture
Quand son mari se volatilise, Juliet Montague disparaît à son tour. Ni veuve ni divorcée, elle n’a pas le droit de refaire sa vie selon les règles de la communauté juive à laquelle elle appartient. Juliet s’efforce pourtant de son mieux d’assumer le quotidien et d’élever ses deux enfants. Mais le jour de ses trente ans, un matin de l’hiver 1958, elle prend une décision tout sauf raisonnable : au lieu de consacrer ses économies à l’achat d’un réfrigérateur, elle s’offre un portrait à son effigie. Ce tableau, premier d’une longue série, signe le début de son émancipation : passionnée de peinture, Juliet va peu à peu repérer les talents émergents, frayer avec le gotha artistique de Londres et ouvrir sa propre galerie. Ses nouvelles amitiés et, plus tard, son amour pour un brillant peintre reclus dans sa maison du Dorset l’aideront à affronter les commérages et la réprobation des siens. Mais Juliet reste enchaînée et, pour se sentir tout à fait libre, il lui reste un mystère à élucider…
Mon avis
Dans le Londres des années 1960, ce roman nous fait découvrir un beau portrait de femme dont le mari a disparu, la laissant seule avec deux enfants. J’ai aimé le titre de chaque chapitre, il me semble d’ailleurs que certains font penser à des noms de tableaux de quelques peintres célèbres dont le premier (Femme au compotier de pommes) se rapproche de Renoir, pas le temps de faire d’autres recherches sur ce thème..Cependant il est beaucoup question d’art, puisque l’héroïne s’occupe d’une galerie, elle a des amis artistes-peintres, j’ai imaginé que son jeune fils qui adore dessiner, pourrait un jour devenir peintre. Mais revenant au mari disparu, de ce cas dont Juliet, l’héroïne, toujours liée au disparu, née d’une famille juive, ne peut être vue seule en compagnie d’un homme serait considérée comme une femme perdue. Elle ne veut pas continuer sa vie comme cela et décide de partir à sa recherche pour l’obliger à divorcer, pour cela elle entreprend un long voyage pour Las Vegas avec ses deux enfants, le retrouvera t-elle ? Personnellement la suite m’a franchement surprise, qu’elle soit agréable ou non . La très raisonnable Juliet, dont chaque étape de sa vie est associée à une œuvre d’art, va-t-elle trouver dans son amour pour la peinture la clé de sa liberté ? Merci à Natasha Solomons d’avoir réussi à camper avec un très beau style des personnages inoubliables qui m’ont souvent émue. 4,5/5.
lalyre- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Solomons, Natasha] La galerie des maris disparus
Une femme, abandonnée avec ses deux jeunes enfants, décide de se mettre à le recherche de son époux disparu sans laisser aucune explication.
Cette recherche lui fait découvrir une nouvelle vie. Très attirée par la peinture, elle découvre de jeunes talents et ouvre sa galerie de peinture.
En fait, on réalise que cette nouvelle vie est une "libération ".
Elle ne soucie plus du " qu'en dira-t-on " et mène sa vie comme elle l'entend. ( Il faut dire qu'elle est juive et en temps que femme abandonnée, elle ne peut refaire sa vie ).
J'ai apprécié ce roman même si l'écriture ne m'a pas vraiment séduite. L'histoire est originale et le dénouementest assez inattendu.
Cette recherche lui fait découvrir une nouvelle vie. Très attirée par la peinture, elle découvre de jeunes talents et ouvre sa galerie de peinture.
En fait, on réalise que cette nouvelle vie est une "libération ".
Elle ne soucie plus du " qu'en dira-t-on " et mène sa vie comme elle l'entend. ( Il faut dire qu'elle est juive et en temps que femme abandonnée, elle ne peut refaire sa vie ).
J'ai apprécié ce roman même si l'écriture ne m'a pas vraiment séduite. L'histoire est originale et le dénouementest assez inattendu.
Paprika- Grand sage du forum
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Localisation : Belgique
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Genre littéraire préféré : tout sauf romans à l'eau de rose, politique.
Date d'inscription : 12/06/2008
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