[Falk, Rita] Pression fatale
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[Falk, Rita] Pression fatale
Titre : Pression fatale
Auteur : Rita Falk
Edition :Mirobole
Nombre de pages : 250 pages
Présentation de l’éditeur :
Dans le paisible village de Niederkaltenkirchen, le dîner est servi. Là, dans le lit du juge Moratschek, en plein sur ses draps tout blanc, une tête de cochon sanglante, façon Parrain bavarois. Sinistre. Juste après qu’on a signalé l’évasion d’un dangereux prisonnier, à côté de qui les exploits d’Hannibal Lecter ne sont rien. Pour ce psychopathe en cavale, l’heure de la vengeance contre le magistrat qui l’a mis à l’ombre a sonné.
De quoi plonger le commissaire Franz Eberhofer dans une véritable détresse existentielle. Déjà que la belle Susie s’est enfuie en Italie, que le Papa casse les oreilles de tout le monde avec ses chers Beattles, et qu’en cuisine la Mémé leur inflige un Carême plus catholique que le pape… Maintenant, il a un tueur fou à attraper, et un juge fan des Stones à protéger.
Mon avis :
Je serai brève : rien ne va pas dans la vie du commissaire Franz Eberhofer, rien. Enfin, presque rien parce qu’il a tout de même une satisfaction personnelle intense : sa nièce Ushi, dite « Sushi » ou « Pif-de-nain » en référence au nom d’une célèbre poupée allemande, l’adore. Il a aussi les promenades avec son chien, mais sinon, j’insiste, rien ne va. Dans le tome précédent, la belle Susie (à qui, avec un manque de tact absolu, Franz avait parlé de la cellulite qu’il voyait sur ses cuisses) était partie en vacances en Italie. Vous savez quoi ? Eh bien, elle y est restée, pour travailler (hum, hum), en compagnie d’un bel italien (re hum hum) et l’ambiance au commissariat s’en ressent énormément. Ce n’est rien de le dire, il faut le subir. Comme si cela ne suffisait pas – travailler dans une ambiance morose, avec un café dégueulasse, est hautement pénible – voilà qu’un psychopathe s’évade et menace le juge qui l’a fait mettre en prison. Les menaces ne sont pas prises au sérieux par la police – sauf par Franz Eberhofer, nanmého, il connaît son métier ! Le tout est de réussir à mettre la main sur ce tueur qui prend un malin plaisir à les narguer. D’ailleurs, au vue du nombre de fois où il leur a filé entre les doigts, on peut se demander s’il avait vraiment l’intention de dégommer le juge, ou simplement de jouer avec leurs nerfs.
Le clou de l’intrigue ? Le voyage en Italie ! Rien à voir avec une quelconque volonté de déécouvrir ce beau pays. Non, un seul mot d’ordre : il faut ramener Susie à la maison, au commissariat, sinon… Sinon le commissaire Eberhofer est privé de rester dehors, parce que son bureau est en rénovation/en train d’être désinfecté/rénové et désinfecté. La durée des travaux à caractère désinfectant ? Jusqu’au retour de Susie ! Jamais une date n’a été donnée de manière aussi précise ! Le lecteur découvrira ainsi à quel point Susie manie le fer à repasser avec précision. Non, Eberhofer n’est pas parti tout seul en Italie, ils sont presque tous partis avec lui. La mission « il faut ramener Susie » est tout de même une mission très importante, non ? Le psychopathe ? A ce moment du récit, il a peu attendre un peu. Puis, il faut vraiment hiérarchiser ses priorités, et même si la vie du juge et celle de sa femme est en jeu, le prisonnier semble, pour une fois, être loin. Puis (bis), franchement, quand un prisonnier s’évade, il devrait logiquement penser à partir le plus loin possible. Certains psychopathes manquent franchement de logique !
Il en est d’autres qui manquent de logique, mais ceci est une autre histoire, que j’espère bientôt traduite en français : une demi-douzaine d’autres volumes des enquêtes du commissaire Eberhofer sis à Niederkaltenkircher nous attend !
Auteur : Rita Falk
Edition :Mirobole
Nombre de pages : 250 pages
Présentation de l’éditeur :
Dans le paisible village de Niederkaltenkirchen, le dîner est servi. Là, dans le lit du juge Moratschek, en plein sur ses draps tout blanc, une tête de cochon sanglante, façon Parrain bavarois. Sinistre. Juste après qu’on a signalé l’évasion d’un dangereux prisonnier, à côté de qui les exploits d’Hannibal Lecter ne sont rien. Pour ce psychopathe en cavale, l’heure de la vengeance contre le magistrat qui l’a mis à l’ombre a sonné.
De quoi plonger le commissaire Franz Eberhofer dans une véritable détresse existentielle. Déjà que la belle Susie s’est enfuie en Italie, que le Papa casse les oreilles de tout le monde avec ses chers Beattles, et qu’en cuisine la Mémé leur inflige un Carême plus catholique que le pape… Maintenant, il a un tueur fou à attraper, et un juge fan des Stones à protéger.
Mon avis :
Je serai brève : rien ne va pas dans la vie du commissaire Franz Eberhofer, rien. Enfin, presque rien parce qu’il a tout de même une satisfaction personnelle intense : sa nièce Ushi, dite « Sushi » ou « Pif-de-nain » en référence au nom d’une célèbre poupée allemande, l’adore. Il a aussi les promenades avec son chien, mais sinon, j’insiste, rien ne va. Dans le tome précédent, la belle Susie (à qui, avec un manque de tact absolu, Franz avait parlé de la cellulite qu’il voyait sur ses cuisses) était partie en vacances en Italie. Vous savez quoi ? Eh bien, elle y est restée, pour travailler (hum, hum), en compagnie d’un bel italien (re hum hum) et l’ambiance au commissariat s’en ressent énormément. Ce n’est rien de le dire, il faut le subir. Comme si cela ne suffisait pas – travailler dans une ambiance morose, avec un café dégueulasse, est hautement pénible – voilà qu’un psychopathe s’évade et menace le juge qui l’a fait mettre en prison. Les menaces ne sont pas prises au sérieux par la police – sauf par Franz Eberhofer, nanmého, il connaît son métier ! Le tout est de réussir à mettre la main sur ce tueur qui prend un malin plaisir à les narguer. D’ailleurs, au vue du nombre de fois où il leur a filé entre les doigts, on peut se demander s’il avait vraiment l’intention de dégommer le juge, ou simplement de jouer avec leurs nerfs.
Le clou de l’intrigue ? Le voyage en Italie ! Rien à voir avec une quelconque volonté de déécouvrir ce beau pays. Non, un seul mot d’ordre : il faut ramener Susie à la maison, au commissariat, sinon… Sinon le commissaire Eberhofer est privé de rester dehors, parce que son bureau est en rénovation/en train d’être désinfecté/rénové et désinfecté. La durée des travaux à caractère désinfectant ? Jusqu’au retour de Susie ! Jamais une date n’a été donnée de manière aussi précise ! Le lecteur découvrira ainsi à quel point Susie manie le fer à repasser avec précision. Non, Eberhofer n’est pas parti tout seul en Italie, ils sont presque tous partis avec lui. La mission « il faut ramener Susie » est tout de même une mission très importante, non ? Le psychopathe ? A ce moment du récit, il a peu attendre un peu. Puis, il faut vraiment hiérarchiser ses priorités, et même si la vie du juge et celle de sa femme est en jeu, le prisonnier semble, pour une fois, être loin. Puis (bis), franchement, quand un prisonnier s’évade, il devrait logiquement penser à partir le plus loin possible. Certains psychopathes manquent franchement de logique !
Il en est d’autres qui manquent de logique, mais ceci est une autre histoire, que j’espère bientôt traduite en français : une demi-douzaine d’autres volumes des enquêtes du commissaire Eberhofer sis à Niederkaltenkircher nous attend !
Sharon- Modérateur
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Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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