[Senabre, Eric] Avalon Park
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[Senabre, Eric] Avalon Park
Titre : Avalon Park
Auteur : Eric Senabre
éditeur : Edition Didier jeunesse
Nombre de pages : 224 pages
Présentation de l’éditeur :
Au large de la Sicile, un soir de tempête. Dans un canot à la dérive, Nick et Roger tentent de sauver leur peau. Pourquoi leur père les a-t-il brusquement largués en pleine mer, sans explication ? S’ils s’entendaient jusque-là, la relation des deux frères va être mise à rude épreuve, surtout lorsqu’ils échouent à Avalon Park. Sans adultes et livrés à eux-mêmes dans un parc d’attraction géant, les enfants de l’île ne voient pas tous le danger de la même façon. A qui faire confiance ?
Mon avis :
Je suis fan des romans d’Eric Senabre, ce n’est pas une nouvelle. Comme lui, je suis fan de Star Trek, que je préfère très nettement à Star Wars. Pour la rédaction de cet avis, je commencera par la fin : oui, l’idée de ce roman est né avant la pandémie que nous vivons actuellement, et oui, je ne vois pas pourquoi l’auteur aurait dû censurer, modifier une partie de sa narration.
J’ai pensé à plusieurs oeuvres en lisant ce roman. A l’Odyssée, avec cette dérive en méditerranée par les deux frères. A Sa majesté des mouches. A deux ans de vacances. J’ai pensé aussi aux parcs d’attraction abandonnés, voire recyclés. Qui se souvient de Mirapolis ?
Nick et Roger sont frères, et c’est leur propre père qui les a mis dans un canot de sauvetage – pour les sauver, a-t-il dit ? Est-ce vrai ? Les deux frères oscilleront entre les deux avis. Et nous oscillerons nous-même, lecteurs, pendant le récit. Qui a raison ? Qui a tort ?
Ce n’est pas sur une île merveilleuse que les deux frères ont accosté, c’est dans un parc abandonné où vivent, où se terrent des enfants, dirigés par un certain Nunzio, prénom que je n’ai pas manqué de retenir, forcément. Eux voient le monde extérieur comme un danger, les adultes, une menace. Nick n’aspire qu’à un retour à sa vie d’avant, qu’à être secouru, ou à s’enfuir. Qui a raison ? Qui a tort ?
Si certains chapitres ne sont pas faciles à lire, montrant que la dureté de la vie quotidienne de ces enfants, qui en ont vu beaucoup, qui en disent peu. Plus que tout je crois, j’ai aimé le tout dernier chapitre de cette dystopie. A vous de voir si vous voulez vous laisser embarquer.
Auteur : Eric Senabre
éditeur : Edition Didier jeunesse
Nombre de pages : 224 pages
Présentation de l’éditeur :
Au large de la Sicile, un soir de tempête. Dans un canot à la dérive, Nick et Roger tentent de sauver leur peau. Pourquoi leur père les a-t-il brusquement largués en pleine mer, sans explication ? S’ils s’entendaient jusque-là, la relation des deux frères va être mise à rude épreuve, surtout lorsqu’ils échouent à Avalon Park. Sans adultes et livrés à eux-mêmes dans un parc d’attraction géant, les enfants de l’île ne voient pas tous le danger de la même façon. A qui faire confiance ?
Mon avis :
Je suis fan des romans d’Eric Senabre, ce n’est pas une nouvelle. Comme lui, je suis fan de Star Trek, que je préfère très nettement à Star Wars. Pour la rédaction de cet avis, je commencera par la fin : oui, l’idée de ce roman est né avant la pandémie que nous vivons actuellement, et oui, je ne vois pas pourquoi l’auteur aurait dû censurer, modifier une partie de sa narration.
J’ai pensé à plusieurs oeuvres en lisant ce roman. A l’Odyssée, avec cette dérive en méditerranée par les deux frères. A Sa majesté des mouches. A deux ans de vacances. J’ai pensé aussi aux parcs d’attraction abandonnés, voire recyclés. Qui se souvient de Mirapolis ?
Nick et Roger sont frères, et c’est leur propre père qui les a mis dans un canot de sauvetage – pour les sauver, a-t-il dit ? Est-ce vrai ? Les deux frères oscilleront entre les deux avis. Et nous oscillerons nous-même, lecteurs, pendant le récit. Qui a raison ? Qui a tort ?
Ce n’est pas sur une île merveilleuse que les deux frères ont accosté, c’est dans un parc abandonné où vivent, où se terrent des enfants, dirigés par un certain Nunzio, prénom que je n’ai pas manqué de retenir, forcément. Eux voient le monde extérieur comme un danger, les adultes, une menace. Nick n’aspire qu’à un retour à sa vie d’avant, qu’à être secouru, ou à s’enfuir. Qui a raison ? Qui a tort ?
Si certains chapitres ne sont pas faciles à lire, montrant que la dureté de la vie quotidienne de ces enfants, qui en ont vu beaucoup, qui en disent peu. Plus que tout je crois, j’ai aimé le tout dernier chapitre de cette dystopie. A vous de voir si vous voulez vous laisser embarquer.
Sharon- Modérateur
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Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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