[Smith, Alison] Tout ne porte pas un nom
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[Smith, Alison] Tout ne porte pas un nom
Tout ne porte pas un nom
399 pages édité le 21 mars 2006 chez Plon
Résumé
Début des années 1980, Rochester, New York, les Smith, famille catholique soudée, vivent un bonheur parfait. Jusqu'au jour où le monde s'effondre : Roy, 18 ans, meurt dans un accident de voiture. Ses parents se réfugient dans leur foi. Alison, sa sœur cadette, hésite entre la vie et la mort. Comment vivre après la perte d'un être cher ? " Disons que Tout ne porte pas un nom est un roman d'apprentissage. Que son héroïne est adolescente. Disons que l'expérience de vivre passe par la traversée du deuil et de l'amour. Que le monde
alentour est heureusement peuplé de parents, de voisins et d'amis. Et que Dieu plane sur tout cela
comme un grand oiseau carnassier. Disons encore que la frontière est étroite qui sépare le rire des larmes, ce qui est à la fois une disposition adolescente, une posture américaine et un savoir-vivre universel. Le charme de Tout ne porte pas un nom, tient sans doute à ce que le livre traite une histoire ordinaire. Un jour, nous perdons ceux qui nous sont chers. Un jour, nous découvrons que nous pouvons aimer et être aimés. Sa particularité est de se tenir à la lisière de l'ordinaire, conférant aux situations une surprenante force d'exemplarité [...]. Car Alison Smith a cette grâce de rendre le monde visible. Visible, bruyant, tactile, sensuel. " Marie DESPLECHIN
Biographie de l'auteur
Tout ne porte pas un nom est le premier livre d'Alison Smith. Elle a 36 ans et vit à Brooklyn (New York).
Mon avis
Un sujet pas facile : le deuil et comment continuer à vivre après cela, comment trouver la force de ... J'ai eu du mal à me passionner pour cette histoire, peut être parce que c'est un récit. L'auteur parle de ce qu'elle se souvient, de cette période trouble du fait du deuil mais aussi de sa période d'adolescence...
Les personnages (qui n'en sont pas, puisque ce sont ses parents, ses amis...) semblent manquer de profondeur, l'anecdote, le quotidien, sont très présents. Si je peux comprendre l'importance de cela dans le deuil, cela alourdit à mon sens, la lecture...
Au bout du compte, un roman pas facile (mais certainement nécessaire pour l'auteur), dont je ne garderai certainement pas grand chose.
A vous de voir
399 pages édité le 21 mars 2006 chez Plon
Résumé
Début des années 1980, Rochester, New York, les Smith, famille catholique soudée, vivent un bonheur parfait. Jusqu'au jour où le monde s'effondre : Roy, 18 ans, meurt dans un accident de voiture. Ses parents se réfugient dans leur foi. Alison, sa sœur cadette, hésite entre la vie et la mort. Comment vivre après la perte d'un être cher ? " Disons que Tout ne porte pas un nom est un roman d'apprentissage. Que son héroïne est adolescente. Disons que l'expérience de vivre passe par la traversée du deuil et de l'amour. Que le monde
alentour est heureusement peuplé de parents, de voisins et d'amis. Et que Dieu plane sur tout cela
comme un grand oiseau carnassier. Disons encore que la frontière est étroite qui sépare le rire des larmes, ce qui est à la fois une disposition adolescente, une posture américaine et un savoir-vivre universel. Le charme de Tout ne porte pas un nom, tient sans doute à ce que le livre traite une histoire ordinaire. Un jour, nous perdons ceux qui nous sont chers. Un jour, nous découvrons que nous pouvons aimer et être aimés. Sa particularité est de se tenir à la lisière de l'ordinaire, conférant aux situations une surprenante force d'exemplarité [...]. Car Alison Smith a cette grâce de rendre le monde visible. Visible, bruyant, tactile, sensuel. " Marie DESPLECHIN
Biographie de l'auteur
Tout ne porte pas un nom est le premier livre d'Alison Smith. Elle a 36 ans et vit à Brooklyn (New York).
Mon avis
Un sujet pas facile : le deuil et comment continuer à vivre après cela, comment trouver la force de ... J'ai eu du mal à me passionner pour cette histoire, peut être parce que c'est un récit. L'auteur parle de ce qu'elle se souvient, de cette période trouble du fait du deuil mais aussi de sa période d'adolescence...
Les personnages (qui n'en sont pas, puisque ce sont ses parents, ses amis...) semblent manquer de profondeur, l'anecdote, le quotidien, sont très présents. Si je peux comprendre l'importance de cela dans le deuil, cela alourdit à mon sens, la lecture...
Au bout du compte, un roman pas facile (mais certainement nécessaire pour l'auteur), dont je ne garderai certainement pas grand chose.
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Pinky- Grand sage du forum
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Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
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