[Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
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Avez vous aimez la Peau de Chagrin de Balzac
[Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Titre : La Peau de chagrin
Auteur : Honoré de Balzac
Editeur : Gallimard
Pages : 375 (sans le dossier à la fin)
Auteur : Honoré de Balzac
Editeur : Gallimard
Pages : 375 (sans le dossier à la fin)
Quatrième de couverture :
- Retournez-vous, dit le marchand en saisissant tout à coup la lampe... et regardez cette Peau de Chagrin... Puisque vous êtes un orientaliste... peut-être lirez-vous cette sentence...
(texte en arabe qu'il m'est impossible de recopier)
Ce qui voulait dire en français :
Si tu me possèdes, tu posséderas tout.
Mais ta vie m'appartiendra. Dieu l'a
voulu ainsi. Désire, et tes désirs
seront accomplis. Mais règle
tes souhaits sur ta vie.
Elle est là. A chaque
vouloir je décroîtrai
comme tes jours. Me veux-tu ?
Mon avis :
Ruiné, desespéré, Raphaël de Valentin vient à vouloir se suicider. Nénamoins, avant d'accomplir ce dernier acte, il décide de passer par un antiquaire, histoire de tuer le temps pour attendre la nuit lors de laquelle sa mort fera sans nul doute moins de bruit que de jour. C'est en titubant dans ce magasin que notre aventurier fait alors une fabuleuse découverte :"La Peau de chagrin", un talisman si puissant qu'il peut exaucer tout les désirs. A chacun, la peau se retracte, son étendue représentant le reste de vie de son possesseur. A première vue une aubène, le mystérieux objet va vite devenir une malédiction...
Un roman que j'ai essayé de lire par trois fois, la troisième était la bonne. L'histoire est intéressante, enrichissante et d'une imagination sans borne. Néanmoins je reste mitigé. D'une part la forme est quasi parfaite, avec les magnifiques descriptions de Balzac on se croit vivre aux côtés de Raphaël mais d'autre part trop de descriptions tue la description... Vient un moment où l'on a 60 pages minimum de monologue sans un retour à la ligne, sans un dialogue, sans un tiret, rien : de la description... C'est ce passage qui par deux fois me fit abandonner la lecture du livre. Néanmoins je ne regrette pas d'avoir poursuivis cette fois ci, car le début étant interessant, le passage assez lourd une fois passé, les 150 dernières pages elles sont passionnantes. Comment résumé ce livre ? Je dirais que sur les 354 pages de lectures on peut les diviser en deux groupes : 250 pages de chef d'oeuvre 100 pages d'ennuis. La partie "ennuis" représente beaucoup je sais, mais le livre n'en vaut pas moins le coup d'être lu.
Ma note : 4/5 (pénalisé pour ce que j'ai dit, ainsi que quelques passages inutiles je pense)
- Retournez-vous, dit le marchand en saisissant tout à coup la lampe... et regardez cette Peau de Chagrin... Puisque vous êtes un orientaliste... peut-être lirez-vous cette sentence...
(texte en arabe qu'il m'est impossible de recopier)
Ce qui voulait dire en français :
Si tu me possèdes, tu posséderas tout.
Mais ta vie m'appartiendra. Dieu l'a
voulu ainsi. Désire, et tes désirs
seront accomplis. Mais règle
tes souhaits sur ta vie.
Elle est là. A chaque
vouloir je décroîtrai
comme tes jours. Me veux-tu ?
Mon avis :
Ruiné, desespéré, Raphaël de Valentin vient à vouloir se suicider. Nénamoins, avant d'accomplir ce dernier acte, il décide de passer par un antiquaire, histoire de tuer le temps pour attendre la nuit lors de laquelle sa mort fera sans nul doute moins de bruit que de jour. C'est en titubant dans ce magasin que notre aventurier fait alors une fabuleuse découverte :"La Peau de chagrin", un talisman si puissant qu'il peut exaucer tout les désirs. A chacun, la peau se retracte, son étendue représentant le reste de vie de son possesseur. A première vue une aubène, le mystérieux objet va vite devenir une malédiction...
Un roman que j'ai essayé de lire par trois fois, la troisième était la bonne. L'histoire est intéressante, enrichissante et d'une imagination sans borne. Néanmoins je reste mitigé. D'une part la forme est quasi parfaite, avec les magnifiques descriptions de Balzac on se croit vivre aux côtés de Raphaël mais d'autre part trop de descriptions tue la description... Vient un moment où l'on a 60 pages minimum de monologue sans un retour à la ligne, sans un dialogue, sans un tiret, rien : de la description... C'est ce passage qui par deux fois me fit abandonner la lecture du livre. Néanmoins je ne regrette pas d'avoir poursuivis cette fois ci, car le début étant interessant, le passage assez lourd une fois passé, les 150 dernières pages elles sont passionnantes. Comment résumé ce livre ? Je dirais que sur les 354 pages de lectures on peut les diviser en deux groupes : 250 pages de chef d'oeuvre 100 pages d'ennuis. La partie "ennuis" représente beaucoup je sais, mais le livre n'en vaut pas moins le coup d'être lu.
Ma note : 4/5 (pénalisé pour ce que j'ai dit, ainsi que quelques passages inutiles je pense)
Dernière édition par Lorenzo le Mar 22 Sep 2009 - 17:23, édité 1 fois
Lorenzo- Membre assidu
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Je me souviens avoir beaucoup apprécié cette lecture il y a plusieurs années en arrière.
Thot- Admin
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
J'ai de mauvais souvenir de Balzac et notamment du Pére Goriot. C'est la raison pour laquelle j'hésite toujours à lire ce livre qui, pourtant, m'intéresse fortement. Je pense qu'il faudrait que je laisse mes appréhensions de côté et que j'essaie tout de même de le lire !
Invité- Invité
Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
J'ai dû lire ce roman pour l'école, mais je me souviens avoir beaucoup apprécié.
C'est le seul Balzac que j'ai réussi à lire jusqu'au bout
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Ironman- Grand sage du forum
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
J'ai beaucoup apprécie ce livre mais, comme tu le dis si bien, il y a parfois trop de description!
Mounain- Grand expert du forum
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
En même temps la description, c'est la marque de fabrique de BALZAC, je l'ai lu il y a très longtemps, j'en garde un bon souvenir d'une histoire originale et bien menée.
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
J'ai dû le lire cette été pour la rentrée justement, et comme ça a déjà été dit : trop de description tue la description. Il y en a tellement qu'on s'y perd... Je n'ai pas su l'apprécier à cause de ça.
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
J’ai beaucoup aimé ce livre, malgré le style de Balzac que je n’aime pas particulièrement. Il s’agit d’un beau conte philosophique sur le désir et la valeur de la vie.
Invité- Invité
Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Le sujet m'attire beaucoup... mais je vous rejoins concernant les descriptions, Balzac, je n'ai jamais pu...
Un jour peut-être, quand je serai sage... ou grande... ou désoeuvrée... (ça, c'est pas demain la veille
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Pistou 117- Grand sage du forum
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Je n'ai lu que la Peau de Chagrin de Balzac, et c'était pour le lycée, il y a quelques années. Je ne me souviens pas m'être ennuyée -mais c'est vrai qu'il m'arrive de sauter un peu des pages quand je trouve un livre trop long et il est possible que je l'aie fait sans m'en souvenir ensuite !
Ça reste un très bon souvenir pour moi. Un Balzac pas dur à lire...
Ça reste un très bon souvenir pour moi. Un Balzac pas dur à lire...
Invité- Invité
Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
L'histoire est belle, symbolique bien sûr, on est toujours intéressé quand un auteur nous parle de la vie et de la mort. Mais Balzac ne connaît pas le cinéma, il n'a que les mots pour suggérer une atmosphère ou faire vivre un personnage, pas d'images, ni de musique, ni d'effets spéciaux, que des descriptions.. Alors, oui, aujourd'hui, on a du mal...
Invité- Invité
Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
C'est une de ses œuvres que je préfère, je n'ai pas eu de mal à le lire en 4ème.
Invité- Invité
Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Mon avis :
Je me suis ennuyée, même si j'ai trouvé le concept intéressant : la lutte contre la vanité. Il y avait beaucoup de longueurs, mais c'est un petit plus actif que Le Lys dans la vallée... Je pense arrêter de lire Balzac...
Je me suis ennuyée, même si j'ai trouvé le concept intéressant : la lutte contre la vanité. Il y avait beaucoup de longueurs, mais c'est un petit plus actif que Le Lys dans la vallée... Je pense arrêter de lire Balzac...
Invité- Invité
Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Il est dans ma PAL depuis euh... 15 ans? J'ai essayé une fois, mais j'ai interrompu ma lecture et je n'ai jamais repris... Tous vos commentaires me donnent envie de le lire pour de bon!
lilooo81- Grand expert du forum
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Je l'ai relu, et j'ai un avis plus mitigé.
J'ai bien aimé l’intrigue, plus psychologique que jamais, qui rend compte de manière précise des pensées de Raphaël. En outre, Balzac sait faire voyager le lecteur de lieux en lieux, avec un style d'écriture prenant et très développé.
Néanmoins, il y a parfois quelques longueurs (3 pages pour décrire un objet) qui rendent le livre parfois ennuyeux. De plus, les paroles sont très mal réparties: un personnage peut faire une réplique de 2 pages, et l'autre seulement 2 lignes...
Bref, bon roman, qui est une satire mordante de la noblesse comme en fait Balzac.
J'ai bien aimé l’intrigue, plus psychologique que jamais, qui rend compte de manière précise des pensées de Raphaël. En outre, Balzac sait faire voyager le lecteur de lieux en lieux, avec un style d'écriture prenant et très développé.
Néanmoins, il y a parfois quelques longueurs (3 pages pour décrire un objet) qui rendent le livre parfois ennuyeux. De plus, les paroles sont très mal réparties: un personnage peut faire une réplique de 2 pages, et l'autre seulement 2 lignes...
Bref, bon roman, qui est une satire mordante de la noblesse comme en fait Balzac.
Invité- Invité
Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Je l'avais lu au collège, j'avais bien apprécié à l'époque. Mais les longueurs descriptives devaient être nombreuses car je m'en souviens encore
lilalys- Grand expert du forum
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Mon avis :
Enfin, je me suis attaquée à La Peau de chagrin, qui a croisé maintes fois ma route en m'envoyant des signaux - et je ne regrette pas.
J'y ai retrouvé le Balzac romantique des premiers romans, pas romantique dans le sens sentimental, mais bien dans le sens littéraire, tant l'auteur sait manier le contraste, la force des passions, aussi bien qu'il évoque la tentation de l'absolu. Mais déjà point le grand auteur, maître de l'analyse psychologique, presque inégalé, sinon par les auteurs russes, comme Tolstoï ou Dostoïevski.
Le personnage dont le roman adopte le point de vue est un jeune marquis, Raphaël de Valentin, prématurément ruiné par la maladresse de son père. Le jeune homme connaît la misère, car il a dû commencer sa vie en remboursant les dettes parentales. De quoi vous dégoûter de la vie, d'autant plus que son père était un homme sec, austère et autoritaire. Raphaël fera contre mauvaise fortune bon coeur, et vivra quelques belles années dans un galetas sordide, embelli par ses études philosophiques, et par la présence de deux belles âmes, la jeune Pauline et sa mère, ses logeuses, aux petits soins pour lui.
Pourquoi faut-il alors qu'il rencontre, par l'entremise du tentateur Rastignac (intéressant personnage que j'ai hâte de retrouver), la troublante Foedora, surnommée "la femme sans coeur", dans la partie centrale du roman ? Foedora qui le mène à sa perte, car pour lui plaire il a besoin d'argent, et pour ce faire, il est prêt à perdre son âme...
Autrefois, j'avais cette vision de Balzac répandue : passons les 40 premières pages avant d'entrer dans l'action, après ça ira mieux... - eh bien non, pas du tout en fait, je me suis sentie vite prise par la main, emmenée dans cette promenade, à travers des tableaux de la société parisienne du début du XIXe siècle, mon siècle préféré. Je me suis passionnée pour cette rencontre ésotérique avec le vieil antiquaire, pour la peau de chagrin, ou d'onagre, âne sauvage quasi mythique en Orient, laquelle peau rétrécit en fonction des voeux émis par son possesseur, processus devenu si connu qu'il a donné une expression courante : "se réduire comme une peau de chagrin". C'est dire la puissance, l'ampleur de ce roman, dont la portée, le symbolisme, débordent sur notre vie, longtemps après sa publication.
Il a eu pour moi une telle importance que, malgré mon expérience dans la vie, j'ai eu l'impression d'en apprendre beaucoup sur l'homme, sur la société des hommes ensemble, sur les choix de vie qui s'offrent à nous, ascétisme ou intempérance, dissipation, concentration ou dispersion, solitude ou sociabilité, et ces sujets cruciaux que constituent la mort, sa place dans la vie, ou plutôt la valeur que sa présence donne à la vie. Balzac nous parle encore de l'amour, de ce que nous sommes prêts à lui sacrifier, sous l'emprise d'une personne aimée à sens unique, alors que lorsqu'il est partagé, il nous enrichit encore, il rayonne sur notre vie.
C'est encore un roman-monde, un roman-système : Balzac y a de nombreux porte-paroles, qui exposent des théories aussi diverses qu'érudites (mais jamais ennuyeuses) sur la médecine, les sciences, l'histoire, l'économie politique... Il se fait aussi, à l'occasion, mais sans lourdeur, avec une profonde originalité, moraliste, nous laissant un précieux bagage pour continuer notre route. Balzac est sensible, atypique, magistral, et j'ai pris toute la mesure de ce qu'est un grand classique : à tout âge on peut le lire, le relire, en faire son miel, y trouver des leçons, des plaisirs divers, à commencer par cette langue magnifique, d'autant plus adorable qu'elle a ses défauts, mais ses défauts bien à elle, qui nous la font aimer encore davantage.
Dois-je préciser que c'est un coup de coeur ? Je ne suis pas prête de faire disparaître les romans de Balzac de mes étagères.
Citations :
Toujours en opposition avec lui-même, trompant ses espérances par ses maux présents, et ses maux par un avenir qui ne lui appartient pas, l'homme imprime à tous ses actes le caractère de l'inconséquence et de la faiblesse. (page 64)
- Ah ! dit-elle en riant, je suis sans doute bien criminelle de ne pas vous aimer ? Est-ce ma faute ? Non, je ne vous aime pas ; vous êtes un homme, cela suffit. Je me trouve heureuse d'être seule, pourquoi changerais-je ma vie, égoïste si vous voulez, contre les caprices d'un maître ? Le mariage est un sacrement en vertu duquel nous ne nous communiquons que des chagrins. D'ailleurs, les enfants m'ennuient. Ne vous ai-je pas loyalement prévenu de mon caractère ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas contenté de mon amitié ? (page 242)
Le savant modeste sourit en disant à ses admirateurs : - Qu'ai-je donc créé ? Rien. L'homme n'invente pas une force, il la dirige, et la science consiste à imiter la nature. (Page 315)
En sondant ainsi les coeurs, il put en déchiffrer les pensées les plus secrètes ; il eut horreur de la société, de sa politesse, de son vernis. Riche et d'un esprit supérieur, il était envié, haï ; son silence trompait la curiosité, sa modestie semblait de la hauteur à ces gens mesquins et superficiels. Il devina le crime latent, irrémissible, dont il était coupable envers eux : il échappait à la juridiction de leur médiocrité. (Page 344)
Ainsi vécut Raphaël pendant plusieurs jours, sans soins, sans désirs, éprouvant un mieux sensible, un bien-être extraordinaire, qui calma ses inquiétudes, apaisa ses souffrances. Il gravissait les rochers, et allait s'assoir sur un pic d'où ses yeux embrassaient quelque paysage d'immense étendue. Là, il restait des journées entières comme une plante au soleil, comme un lièvre au gîte. Ou bien, se familiarisant avec des phénomènes de la végétation, avec les vicissitudes du ciel, il épiait le progrès de toutes les oeuvres, sur la terre, dans les eaux ou dans l'air. Il tenta de s'associer au mouvement intime de cette nature, et de s'identifier assez complètement à sa passive obéissance, pour tomber sous la loi despotique et conservatrice qui régit les existences instinctives. Il ne voulait plus être chargé de lui-même. (Page 366)
elea2020- Grand sage du forum
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Elea... très belle critique que tu viens de faire sur ce "grand" roman !
DameLecture- Membre connaisseur
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Re: [Balzac, Honoré (de)] La Peau de chagrin
Merci Dame Lecture, ton avis me touche.
elea2020- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : enseignante en reconversion
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