[Alessandro, Jacquie (d')] Nuits blanches à Langston Manor
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[Alessandro, Jacquie (d')] Nuits blanches à Langston Manor
Titre : Nuits blanches à Langston Manor
Auteur : Jacquie D'Alessandro
éditeur : J'ai lu
Nombre de pages : 336 pages
Présentation de l’éditeur :
» – Quelles sont, selon vous, les qualités de l’homme parfait ? demande Sarah Moorehouse à ses amies Julianne, Emily et Carolyn. – Il doit être gentil, patient, honorable. – Beau, grand, fort, romantique et passionné. – Il doit aimer faire les boutiques ! – Avoir les yeux bleus, ajoute Sarah avec le plus grand sérieux. Bleus, comme ceux du marquis de Langston, leur hôte, qui, justement, cherche une épouse. Mais aucune chance qu’il remarque Sarah ! Elle n’est pas assez jolie. D’ailleurs, elle ne veut pas d’un mari. Tous les hommes sont des imbéciles, y compris le marquis. Donc, il ne l’intéresse pas. Tout de même, que faisait-il en pleine nuit dans le cimetière, sous l’orage, une pelle à la main ? »
Mon avis :
Si vous aimez les romans historiques drôles, ce livre est fait pour vous. Sarah Moorehouse est le prototype même de la vieille fille à qui personne ne fait attention. Moins jolie que sa soeur, elle a fait le désespoir de sa mère, d’autant plus qu’elle a refusé de se couler dans le moule, de tenter d’améliorer ce qui pouvait être améliorable (toujours selon sa mère). Elle se satisfait de son sort, d’autant plus qu’elle est très proche de sa soeur aînée Carolyn. Celle-ci a toutes les qualités, notamment celle d’avoir été une grande soeur adorable, une grande soeur qui a eu la douleur de perdre son mari voici trois ans et qui commence seulement à revenir dans le monde, accompagnée par Sarah, qui lui sert de chaperon, parfaitement invisible aux yeux des hommes.
Le marquis de Langston ne fait pas exception. Matthew connaît le nom de toutes les belles jeunes femmes qui sont réunies dans son manoir, puisque son objectif est simple : épouser l’une d’entre elle le plus rapidement possible, à condition qu’elle soit riche (jolie aussi, cela peut aider). Pourquoi le jeune marquis a-t-il besoin d’une épouse riche ? Cela a lien avec son obsession de visiter son jardin, la nuit, avec une pelle, accompagné par son adorable et démonstratif chien. Oui, un chien est toujours utile, le marquis a beau être dans son jardin, il sait qu’une agression est toujours possible – son père a agonisé longuement après avoir été agressé non loin de sa demeure.
Ce que Matthew n’avait pas prévu, et son meilleur ami Daniel non plus (un vrai ami, ai-je envie de préciser) c’est qu’il tomberait amoureux de Sarah. Leurs rencontres n’auront rien de conventionnelles, certaines seront même fort drôles. Sarah adore jardiner (une activité que réprouve sa mère) et elle sait très bien manier une pelle, elle n’a rien contre les chiens, elle-même possède un exemplaire énorme et fort démonstratif. Il y aura aussi des moments émouvants, quand Matthew et elle se remémorent des êtres chers qui ne sont plus, ce qui ne veut pas dire que la douleur n’est pas présente : Peu importe le temps écoulé, on ne guérit jamais de la perte d’un être cher.
Alors, l’amour triomphera-t-il ? Matthew pourra-t-il résoudre tous ses problèmes, y compris ceux dont il ne soupçonne pas l’existence alors que débute le roman ? Sarah et ses amies du club de lecture parviendront-elles à définir ce qu’est l’homme idéal ? Et pourquoi pas ?
Auteur : Jacquie D'Alessandro
éditeur : J'ai lu
Nombre de pages : 336 pages
Présentation de l’éditeur :
» – Quelles sont, selon vous, les qualités de l’homme parfait ? demande Sarah Moorehouse à ses amies Julianne, Emily et Carolyn. – Il doit être gentil, patient, honorable. – Beau, grand, fort, romantique et passionné. – Il doit aimer faire les boutiques ! – Avoir les yeux bleus, ajoute Sarah avec le plus grand sérieux. Bleus, comme ceux du marquis de Langston, leur hôte, qui, justement, cherche une épouse. Mais aucune chance qu’il remarque Sarah ! Elle n’est pas assez jolie. D’ailleurs, elle ne veut pas d’un mari. Tous les hommes sont des imbéciles, y compris le marquis. Donc, il ne l’intéresse pas. Tout de même, que faisait-il en pleine nuit dans le cimetière, sous l’orage, une pelle à la main ? »
Mon avis :
Si vous aimez les romans historiques drôles, ce livre est fait pour vous. Sarah Moorehouse est le prototype même de la vieille fille à qui personne ne fait attention. Moins jolie que sa soeur, elle a fait le désespoir de sa mère, d’autant plus qu’elle a refusé de se couler dans le moule, de tenter d’améliorer ce qui pouvait être améliorable (toujours selon sa mère). Elle se satisfait de son sort, d’autant plus qu’elle est très proche de sa soeur aînée Carolyn. Celle-ci a toutes les qualités, notamment celle d’avoir été une grande soeur adorable, une grande soeur qui a eu la douleur de perdre son mari voici trois ans et qui commence seulement à revenir dans le monde, accompagnée par Sarah, qui lui sert de chaperon, parfaitement invisible aux yeux des hommes.
Le marquis de Langston ne fait pas exception. Matthew connaît le nom de toutes les belles jeunes femmes qui sont réunies dans son manoir, puisque son objectif est simple : épouser l’une d’entre elle le plus rapidement possible, à condition qu’elle soit riche (jolie aussi, cela peut aider). Pourquoi le jeune marquis a-t-il besoin d’une épouse riche ? Cela a lien avec son obsession de visiter son jardin, la nuit, avec une pelle, accompagné par son adorable et démonstratif chien. Oui, un chien est toujours utile, le marquis a beau être dans son jardin, il sait qu’une agression est toujours possible – son père a agonisé longuement après avoir été agressé non loin de sa demeure.
Ce que Matthew n’avait pas prévu, et son meilleur ami Daniel non plus (un vrai ami, ai-je envie de préciser) c’est qu’il tomberait amoureux de Sarah. Leurs rencontres n’auront rien de conventionnelles, certaines seront même fort drôles. Sarah adore jardiner (une activité que réprouve sa mère) et elle sait très bien manier une pelle, elle n’a rien contre les chiens, elle-même possède un exemplaire énorme et fort démonstratif. Il y aura aussi des moments émouvants, quand Matthew et elle se remémorent des êtres chers qui ne sont plus, ce qui ne veut pas dire que la douleur n’est pas présente : Peu importe le temps écoulé, on ne guérit jamais de la perte d’un être cher.
Alors, l’amour triomphera-t-il ? Matthew pourra-t-il résoudre tous ses problèmes, y compris ceux dont il ne soupçonne pas l’existence alors que débute le roman ? Sarah et ses amies du club de lecture parviendront-elles à définir ce qu’est l’homme idéal ? Et pourquoi pas ?
Sharon- Modérateur
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Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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