[Jacobsen, Roy] Juste une mère
Page 1 sur 1
[Jacobsen, Roy]
[Jacobsen, Roy] Juste une mère
[Jacobsen, Roy]
Juste une mère
Gallimard 14 mars 2024
299 pages
Quatrième de couverture
L’océan est insondable, le plus souvent, il brise un homme par sa force brute mais, en de rares occasions, il l’emporte avec lui par son silence. »
Après un long voyage, Ingrid est de retour sur l’île de Barrøy. La vie reprend, stable et banale en apparence, mais la guerre projette encore des ombres sur la Norvège. C’est ainsi qu’un jour débarque Mathias, un gamin de cinq ans aux origines obscures et tragiques. Ingrid et sa fille Kaja se sentent alors responsables de cet orphelin, qui devient rapidement un membre essentiel de la collectivité de l’île isolée.
Juste une mère est le quatrième volume du cycle consacré à Ingrid Barrøy, inauguré par Les invisibles. C’est un roman sur la perte et la responsabilité, l’abandon et la dignité, mais c’est d’abord l’histoire d’une femme forte, prête à tout pour sauver sa famille et son environnement.
On retrouve tout le talent de Roy Jacobsen, qui sait si bien décrire avec énergie et poésie l’essentiel de la condition humaine et la lutte de gens modestes contre l’Histoire et la nature.
Mon avis
Ce roman nous emmène sur une île en Norvège, juste à la sortie de la guerre 1940, Ingrid est aussile personnage principal. Elle vit avec sa tante, elle élève ses enfants dont la petite Kaja qui est née d’une liaison avec un soldat russe durant la guerre. Il y a aussi le vieux Johannes que sa femme Olavia a abandonné le laissant seul avec son jeune garçon Mattis, car il livre aussi le lait par bateau, un jour il périt lors du naufrage de son bateau et Ingrid prend l’enfant avec elle et l’élève comme son fils. Un jour elle reçoit une lettre mystérieuse d’une femme, Mariann Volllheim qui fut sa rivale lors d’une histoire d’amour, Ingrid est surprise et inquiète, doit-elle l’ouvrir, la lire ? Comme il se doit sur cette petite île, il y a aussi Samuel, le jeune pasteur qui joue un rôle important dans cette petite communauté ? Ayant présenté les personnages principaux, il faut aussi dire que l’existence sur la petite île est fondée sur le travail, la culture, la pêche et les différentes tâches de la vie quotidienne. L’auteur décrit très bien l’âpre existence des paysans-pêcheurs, leurs tourments, la simplicité de leur vie, il y a aussi le courage d’une femme qui fait face à ses responsabilités dans ce roman captivant de la première à la dernière page, je peux seulement avouer que la fin est arrivée trop vite car si j’ai bien compris il y aura une suite….Presqu’un coup de cœur.
Juste une mère
Gallimard 14 mars 2024
299 pages
Quatrième de couverture
L’océan est insondable, le plus souvent, il brise un homme par sa force brute mais, en de rares occasions, il l’emporte avec lui par son silence. »
Après un long voyage, Ingrid est de retour sur l’île de Barrøy. La vie reprend, stable et banale en apparence, mais la guerre projette encore des ombres sur la Norvège. C’est ainsi qu’un jour débarque Mathias, un gamin de cinq ans aux origines obscures et tragiques. Ingrid et sa fille Kaja se sentent alors responsables de cet orphelin, qui devient rapidement un membre essentiel de la collectivité de l’île isolée.
Juste une mère est le quatrième volume du cycle consacré à Ingrid Barrøy, inauguré par Les invisibles. C’est un roman sur la perte et la responsabilité, l’abandon et la dignité, mais c’est d’abord l’histoire d’une femme forte, prête à tout pour sauver sa famille et son environnement.
On retrouve tout le talent de Roy Jacobsen, qui sait si bien décrire avec énergie et poésie l’essentiel de la condition humaine et la lutte de gens modestes contre l’Histoire et la nature.
Mon avis
Ce roman nous emmène sur une île en Norvège, juste à la sortie de la guerre 1940, Ingrid est aussile personnage principal. Elle vit avec sa tante, elle élève ses enfants dont la petite Kaja qui est née d’une liaison avec un soldat russe durant la guerre. Il y a aussi le vieux Johannes que sa femme Olavia a abandonné le laissant seul avec son jeune garçon Mattis, car il livre aussi le lait par bateau, un jour il périt lors du naufrage de son bateau et Ingrid prend l’enfant avec elle et l’élève comme son fils. Un jour elle reçoit une lettre mystérieuse d’une femme, Mariann Volllheim qui fut sa rivale lors d’une histoire d’amour, Ingrid est surprise et inquiète, doit-elle l’ouvrir, la lire ? Comme il se doit sur cette petite île, il y a aussi Samuel, le jeune pasteur qui joue un rôle important dans cette petite communauté ? Ayant présenté les personnages principaux, il faut aussi dire que l’existence sur la petite île est fondée sur le travail, la culture, la pêche et les différentes tâches de la vie quotidienne. L’auteur décrit très bien l’âpre existence des paysans-pêcheurs, leurs tourments, la simplicité de leur vie, il y a aussi le courage d’une femme qui fait face à ses responsabilités dans ce roman captivant de la première à la dernière page, je peux seulement avouer que la fin est arrivée trop vite car si j’ai bien compris il y aura une suite….Presqu’un coup de cœur.
lalyre- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 9623
Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Sujets similaires
» [Les éditions J'ai lu] Une mère en danger de Judith Henry Wall
» [Jacobsen, Jorgen-Frantz] Barbara
» [Schneider, Vanessa] La mère de ma mère
» [Lagarce, Jean-Luc] Juste la fin du monde
» [Mandela, Nelson] Un long chemin vers la liberté
» [Jacobsen, Jorgen-Frantz] Barbara
» [Schneider, Vanessa] La mère de ma mère
» [Lagarce, Jean-Luc] Juste la fin du monde
» [Mandela, Nelson] Un long chemin vers la liberté
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum