[Goldman, William] Princess Bride
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[Goldman, William] Princess Bride
PRINCESS BRIDE :
Il était une fois la plus belle des aventures, auréolée par le grand amour, le seul, le vrai. Le conte intemporel de S. Morgenstern -redécouvert et merveilleusement abrégé par Wiam Goldman - est peuplé de personnages aussi inoubliable que Westley, le beau valet de ferme qui risque sa vie pour la femme qu'il aime ; Inigo Montoya, le fabuleux bretteur qui ne vit que pour venger la mort de son père ; Fezzik, le plus doux et le plus fort des colosses... et bien sûr, Bouton d'or : la princesse, la fiancée, la femme idéale, la plus belle de toute l'histoire du monde. Princess Bride : un bijou d'humour et d'émotion, un merveilleux classique devenu un film culte et le roman favori de millions de lecteurs.
Poche: 476 pages
Editeur : Milady (5 novembre 2009)
Langue : Français
ISBN-10: 2811202099
(amazon.fr)
**L'histoire est sympa, un peu rapide dans le déroulement final et j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop d'appartés de l'auteur. Je me demande si le livre original n'aurait pas été mieux.
Il était une fois la plus belle des aventures, auréolée par le grand amour, le seul, le vrai. Le conte intemporel de S. Morgenstern -redécouvert et merveilleusement abrégé par Wiam Goldman - est peuplé de personnages aussi inoubliable que Westley, le beau valet de ferme qui risque sa vie pour la femme qu'il aime ; Inigo Montoya, le fabuleux bretteur qui ne vit que pour venger la mort de son père ; Fezzik, le plus doux et le plus fort des colosses... et bien sûr, Bouton d'or : la princesse, la fiancée, la femme idéale, la plus belle de toute l'histoire du monde. Princess Bride : un bijou d'humour et d'émotion, un merveilleux classique devenu un film culte et le roman favori de millions de lecteurs.
Poche: 476 pages
Editeur : Milady (5 novembre 2009)
Langue : Français
ISBN-10: 2811202099
(amazon.fr)
**L'histoire est sympa, un peu rapide dans le déroulement final et j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop d'appartés de l'auteur. Je me demande si le livre original n'aurait pas été mieux.
Re: [Goldman, William] Princess Bride
pour cette critique, Tite pomme! j'avais failli l'acheter mais du coup, je regarderai à la médiathèque s'ils l'ont, c'est plus sûr!
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
Lu en 2005, j'avais dû voir le film un million de fois et quand il a été réédité, je me suis précipité sur le bouquin pour redécouvrir cette histoire avec plaisir.
Par contre titpomme, il n'y a pas d'autre auteur que William Goldman. Après l'avoir lu j'avais fait plein de recherches sur ce bouquin et S. Morgenstern n'existe pas, il a utilisé ce nom comme pseudonyme et tout ce qu'il raconte sur sa vie dans le livre est aussi pure fiction.
Quoiqu'il en soit, je me souviens que malgré quelques longueurs, j'avais vraiment adoré ce bouquin.
Par contre titpomme, il n'y a pas d'autre auteur que William Goldman. Après l'avoir lu j'avais fait plein de recherches sur ce bouquin et S. Morgenstern n'existe pas, il a utilisé ce nom comme pseudonyme et tout ce qu'il raconte sur sa vie dans le livre est aussi pure fiction.
Quoiqu'il en soit, je me souviens que malgré quelques longueurs, j'avais vraiment adoré ce bouquin.
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
Merci pour l'info concernant le pseudo de William Goldman, je ne savais pas.
Mais je vais voir si je trouve le DVD à louer.
Mais je vais voir si je trouve le DVD à louer.
Re: [Goldman, William] Princess Bride
titepomme a écrit:Mais je vais voir si je trouve le DVD à louer.
Moi, j'aime beaucoup le film, très drôle, romanesque et plein d'aventures... et puis l'acteur qui joue Westley (Cary Elwes) hum
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
cricri a écrit:titepomme a écrit:Mais je vais voir si je trouve le DVD à louer.
Moi, j'aime beaucoup le film, très drôle, romanesque et plein d'aventures... et puis l'acteur qui joue Westley (Cary Elwes) hum
Pareil! J'ai vu et revu ce film que je trouve vraiment extraordinaire! Je n'ai pas encore lu le roman,même si je l'ai acheté depuis un bon moment...ma PAL est monstrueuse...
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
J'avais entendu de bonnes choses sur ce livre, par plusieurs personnes. Mais je ne savais pas de quoi retournait l'histoire, et je n'ai jamais vu le fameux film qui a été inspiré du livre. Donc, c'était une réelle découverte pour moi.
Je commence donc l'histoire, et là on n'a pas une, mais deux introductions de l'auteur ! Pfiou. Déjà moi généralement, je lis pas ces intro, les préfaces et tout l'tralala, je sais pas, j'aime pas trop. Bon là, je pars confiante. Je commence à lire la première. Et en fait, ça m'agace, alors je passe à la seconde. C'est pas non plus super, mais je la lis.
En gros, ces intro nous expliquent pourquoi William Goldman a voulu éditer une version abrégée de Princess Bride, le conte intertemporel de S. Morgenstern. La raison est simple, c'est son livre préféré depuis que son père le lui a lu lorsqu'il était petit, et malade d'une pneumonie. Voulant par la suite l'offrir à son fils, celui ci essaie tant bien que mal de le lire, mais il s'arrête au bout du second chapitre. Son père essaie d'en comprendre la raison. La raison est que son propre père lui lisait l'histoire en passant les passages un peu rébarbatifs. Goldman a donc décidé d'abréger son histoire préférée parmi toutes pour que son fils puisse lire entièrement ce livre.
Nous arrivons enfin à l'histoire même, et nous découvrons une jeune et très belle fille, Bouton d'or. Alors, déjà, faut que je vous dise que pour moi, Bouton d'or, je pensais que c'était un personnage des Frères Grimm ou d'un autre auteur quelconques de contes pour enfant. Bon, en fait, je me suis plantée, puisqu'apparement, ce serait le personnage de Morgenstern, auteur dont je n'avais jamais entendu parlé. Bref, fin de la parenthèse.
Donc, on va découvrir l'histoire de Bouton d'Or, de Westley, du Prince Humperdinck, et de nos valeureux Fezzik et Inigo. Je ne raconterai rien de l'histoire, parce que je préfère que vous la découvriez, car elle est vraiment excellente. Il y a plein de petites pointes d'humour, j'ai plus d'une fois ri, et encore plus souvent souri. En bref, c'est une très belle histoire d'amour, pleine de suspens, de méchants, de gentils, d'épée et tout ce qu'il faut pour faire un beau conte.
L'histoire est entre-coupée de notes de l'auteur. Ce n'est pas dérangeant. Il nous y explique pourquoi il a choisi de faire telle coupe par rapport à l'histoire originale. Parfois même, il nous spoil, le goujat ! J'avoue, j'étais pas contente ! Mais j'avais tout de même hâte à chaque fois de voir comment l'histoire se déroulait exactement, et en fait, à chaque fois c'était pas un vrai spoil, alors ouf !
Et puis au fur et à mesure de ma lecture, en fait, quasiment dès le début. Je me disais. Mais bordel, c'est qui ce Morgenstern. Je le connais pas cet auteur. Et pis c'est où Florin en Europe ... ? Bref, plein de petits indices qui me donnait des doutes par rapport à l'auteur. Et puis dans le roman, on avait plein de petites indications bizarres bizarres ... il y avait des anachronismes et tout l'tralala (dans ces annotations, d'ailleurs, Goldman nous l'indiquait).
Et lorsque j'ai fermé le livre pour la dernière fois, j'ai voulu en avoir le coeur net, même si je pensais déjà détenir la vérité. Et j'ai un peu googliser par rapport à Princess bride. Et vous savez quoi ?
Enfin voilà. Une belle histoire d'amour, un joli conte. J'ai aimé ma lecture, mais j'ai trouvé parfois que les passages où intervenait Goldman étaient un peu longs. Souvent, ils étaient même rigolos, mais j'ai eu des passages qui m'ont paru inintéressants.
Les introductions surtout, étaient beaucoup trop longues pour moi. Les deux premières, mais également celle qui est présente juste avant le premier chapitre de la suite de Princess Bride ! Je crois d'ailleurs que c'est cette introduction qui m'a un peu refroidie concernant mon avis général sur ce bouquin.
J'ai apprécié ma lecture, et s'il n'y avait eu que l'histoire de Bouton d'Or (avec les interventions de Goldman qui ne m'ont pas dérangées), ça aurait parfaitement été. Mais la dernière introduction, avant la suite de l'histoire de Bouton d'Or m'a un peu ... je ne sais pas trop comment l'expliquée. Si, elle m'a refroidie, ça a jeté un froid sur ma lecture, et du coup mon avis général sur ce livre en pâtit un peu. Mais c'est quand même un très bon livre hein
Je commence donc l'histoire, et là on n'a pas une, mais deux introductions de l'auteur ! Pfiou. Déjà moi généralement, je lis pas ces intro, les préfaces et tout l'tralala, je sais pas, j'aime pas trop. Bon là, je pars confiante. Je commence à lire la première. Et en fait, ça m'agace, alors je passe à la seconde. C'est pas non plus super, mais je la lis.
En gros, ces intro nous expliquent pourquoi William Goldman a voulu éditer une version abrégée de Princess Bride, le conte intertemporel de S. Morgenstern. La raison est simple, c'est son livre préféré depuis que son père le lui a lu lorsqu'il était petit, et malade d'une pneumonie. Voulant par la suite l'offrir à son fils, celui ci essaie tant bien que mal de le lire, mais il s'arrête au bout du second chapitre. Son père essaie d'en comprendre la raison. La raison est que son propre père lui lisait l'histoire en passant les passages un peu rébarbatifs. Goldman a donc décidé d'abréger son histoire préférée parmi toutes pour que son fils puisse lire entièrement ce livre.
Nous arrivons enfin à l'histoire même, et nous découvrons une jeune et très belle fille, Bouton d'or. Alors, déjà, faut que je vous dise que pour moi, Bouton d'or, je pensais que c'était un personnage des Frères Grimm ou d'un autre auteur quelconques de contes pour enfant. Bon, en fait, je me suis plantée, puisqu'apparement, ce serait le personnage de Morgenstern, auteur dont je n'avais jamais entendu parlé. Bref, fin de la parenthèse.
Donc, on va découvrir l'histoire de Bouton d'Or, de Westley, du Prince Humperdinck, et de nos valeureux Fezzik et Inigo. Je ne raconterai rien de l'histoire, parce que je préfère que vous la découvriez, car elle est vraiment excellente. Il y a plein de petites pointes d'humour, j'ai plus d'une fois ri, et encore plus souvent souri. En bref, c'est une très belle histoire d'amour, pleine de suspens, de méchants, de gentils, d'épée et tout ce qu'il faut pour faire un beau conte.
L'histoire est entre-coupée de notes de l'auteur. Ce n'est pas dérangeant. Il nous y explique pourquoi il a choisi de faire telle coupe par rapport à l'histoire originale. Parfois même, il nous spoil, le goujat ! J'avoue, j'étais pas contente ! Mais j'avais tout de même hâte à chaque fois de voir comment l'histoire se déroulait exactement, et en fait, à chaque fois c'était pas un vrai spoil, alors ouf !
Et puis au fur et à mesure de ma lecture, en fait, quasiment dès le début. Je me disais. Mais bordel, c'est qui ce Morgenstern. Je le connais pas cet auteur. Et pis c'est où Florin en Europe ... ? Bref, plein de petits indices qui me donnait des doutes par rapport à l'auteur. Et puis dans le roman, on avait plein de petites indications bizarres bizarres ... il y avait des anachronismes et tout l'tralala (dans ces annotations, d'ailleurs, Goldman nous l'indiquait).
Et lorsque j'ai fermé le livre pour la dernière fois, j'ai voulu en avoir le coeur net, même si je pensais déjà détenir la vérité. Et j'ai un peu googliser par rapport à Princess bride. Et vous savez quoi ?
- Spoiler:
- En fait, le réel auteur de ce livre, c'est William Goldman ! Il n'y a pas de Princess bride écrit par un S. Morgenstern. Goldman n'a même pas de fils apparement ! Ahah ! On a voulu me piéger. Mais j'avais compris (presque) tout avant de faire mes premières recherches pour voir où est ce qu'on voulait m'entourlouper !
Enfin voilà. Une belle histoire d'amour, un joli conte. J'ai aimé ma lecture, mais j'ai trouvé parfois que les passages où intervenait Goldman étaient un peu longs. Souvent, ils étaient même rigolos, mais j'ai eu des passages qui m'ont paru inintéressants.
Les introductions surtout, étaient beaucoup trop longues pour moi. Les deux premières, mais également celle qui est présente juste avant le premier chapitre de la suite de Princess Bride ! Je crois d'ailleurs que c'est cette introduction qui m'a un peu refroidie concernant mon avis général sur ce bouquin.
J'ai apprécié ma lecture, et s'il n'y avait eu que l'histoire de Bouton d'Or (avec les interventions de Goldman qui ne m'ont pas dérangées), ça aurait parfaitement été. Mais la dernière introduction, avant la suite de l'histoire de Bouton d'Or m'a un peu ... je ne sais pas trop comment l'expliquée. Si, elle m'a refroidie, ça a jeté un froid sur ma lecture, et du coup mon avis général sur ce livre en pâtit un peu. Mais c'est quand même un très bon livre hein
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
le film je l'ai vu....des centaines de milliers de fois!
je le connais par coeur!!
"as you wish"
"my name is inigo montoya. you killed my father. prepare to die" avec les "r" qui roulent
Le petit-fils : Un bouquin ?
Grand-père : Exactement. Quand j'avais ton âge, la télévision s'appelait : livres. Et celui-ci n'est pas comme les autres : c'est le livre que mon père avait l'habitude de me lire quand j'étais malade, et que j'ai lu ensuite à ton père. Et aujourd'hui, je vais te le lire à toi.
Le petit-fils : Est-ce qu'il y a du sport dedans ?
Grand-père : Quelle question ! Y a que ça. Bagarre, duels, torture, vengeance, géants, monstres, poursuites, évasions, grand amour, miracles…
Le petit-fils : Ça n'a pas l'air trop mal. Je vais essayer de rester éveillé.
Grand-père : Oh, bon, je te remercie infiniment, c'est très gentil de ta part. Une telle marque de confiance me comble de joie.
Inigo Montoya : Tu me sembles un type bien. Ça m'ennuie de te tuer.
Westley : Tu me sembles un type bien. Ça m'ennuie de mourir.
Bouton d'or : Nous ne survivrons jamais !
Westley : Ne dis pas de bêtises. C'est pas parce que personne n'a survécu avant nous qu'on n'y arrivera pas.
je le connais par coeur!!
"as you wish"
"my name is inigo montoya. you killed my father. prepare to die" avec les "r" qui roulent
Le petit-fils : Un bouquin ?
Grand-père : Exactement. Quand j'avais ton âge, la télévision s'appelait : livres. Et celui-ci n'est pas comme les autres : c'est le livre que mon père avait l'habitude de me lire quand j'étais malade, et que j'ai lu ensuite à ton père. Et aujourd'hui, je vais te le lire à toi.
Le petit-fils : Est-ce qu'il y a du sport dedans ?
Grand-père : Quelle question ! Y a que ça. Bagarre, duels, torture, vengeance, géants, monstres, poursuites, évasions, grand amour, miracles…
Le petit-fils : Ça n'a pas l'air trop mal. Je vais essayer de rester éveillé.
Grand-père : Oh, bon, je te remercie infiniment, c'est très gentil de ta part. Une telle marque de confiance me comble de joie.
Inigo Montoya : Tu me sembles un type bien. Ça m'ennuie de te tuer.
Westley : Tu me sembles un type bien. Ça m'ennuie de mourir.
Bouton d'or : Nous ne survivrons jamais !
Westley : Ne dis pas de bêtises. C'est pas parce que personne n'a survécu avant nous qu'on n'y arrivera pas.
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
Mon avis :
Oh, la, la, fichtre de fichtre, la belle histoire !
Si-si, je ne ris pas, je me suis bien amusé avec cette lecture.
Et puis, je remercie, sincèrement, Monsieur Goldman, de ses justes conseils : sautez les parenthèses, ce que je fis, à ne pas lire par les adultes (là, je me suis posé la question : à quel âge devient-on adulte ? Le suis-je déjà ? En si peu de temps, je le saurais, quand même, nom d'un petit bonhomme en bois ! L'expectative. Dois-je ou ne dois-je pas lire, la réflexion m'a fait perdre beaucoup de temps et, lumière, me revinrent en mémoire, les excellents vers de Ronsard ou de Brel, au choix : il nous fallut bien du talent pour être vieux sans être adulte. Cette phrase a empoché la mise) et je l'ai lu quand même, na !
Bouton d'Or, la Jeannie Longo du conte est passée de la vingtième à la première place des belles de l'époque, entrainement difficile, rondeurs à gommer, affinement (je sais ça fait fromage, mais quel terme employer ?), prendre un peu de poids dans la tête et, surtout, surtout ouvrir les yeux. C'est vrai, quoi, le bonheur où se trouve-t-il, hein ? Tout près de soi, toujours près de soi. C'est une constatation évidente, point besoin de courir le monde, ponant, couchant, midi, septentrion (histoire de montrer que j'ai des lettres...), point, dans le cagibi qu'il était le bonheur, garçon de ferme/Westley, superman, tablettes de chocolat, yeux de la profondeur du lac Titicaca ou de Vincennes, selon que l'on voyage ou pas, bref THE prince charmant.
Et, à partir du passage de la comtesse et du comte (l'homme à six doigts, le méchant de chez méchant, vilain fanatique et monstrueux, mais nécessaire pour l'intrigue, sans méchant point de conte, donc respect au méchant, alors, quoi, bon, j'aime mieux ça !) tout va partir frénétiquement dans une course à l'amour, la mort, la trahison, la résurrection, les marais, les pirates, les fiançailles, le mariage, l'homme miracle, la sorcière, le roi, le prince, des spadassins, un géant, un malin et des seconds et troisièmes rôles à foison. Que du beau linge, du beau monde et des aventures, je ne vous dis que ça.
Comme je n'ai point l'esprit chafouin, l'âme rébarbative, j'ai apprécié les morceaux de bravoure, lisant au premier degré (quel repos de lire au premier degré, point besoin de se contorsionner pour lire entre les lignes, de s'allonger sur le livre pour lire sous les mots, ni disséquer les phrases, un bonheur simple). Ah, ce duel, ces bottes secrètes, main gauche, main droite, tromperie, ruse et dénouement attendu bien qu'étant inattendu, me fais-je bien comprendre ? J'avoue qu'ancien champion du monde d'escrime de la rue où je vis, hummm, hummm, j'exagère un peu, du 22 de la rue ou du 21 1/2, bon, pour dire que même le nom des bottes m'étaient inconnu, donc Morgenstern devait être un sacré bretteur. Le zoo, extraordinaire le zoo, la descente d'Inigo et Fezzik (leur parcours respectif, magnifiquement explicité, mérite le détour, si et je l'ai suivi le détour, bien enveloppé, rien à dire, du compact, du qui prend aux tripes, vous tourneboule les synapses, mon neurone bouleversé il fut) que l'on suit étage après étage et vous étreint comme une amante religieuse, son mâle, sans retour et pourtant, la peur au ventre, l'effroi dans les yeux, ils vaincront, poussés qu'ils sont par la suite de l'histoire. Les héros sont toujours poussés par la suite de l'histoire, l'avez-vous remarqué ? Moi, cela me surprend toujours, parce que et si le héros disait : j'arrête là, qu'est ce qu'on fait, nous, hein ? Nada, rien, on pleure, se mouche, tape du pied, cassons la télé, pas la télé ? Bon, pas la télé. Le vase de la belle mère, on peut, oui, merci ! Heureusement une telle prise de position est rarissime pour ne pas dire inexistante.
Ah, que de péripéties, que d'aventures et quelle fin, le lecteur, chut, je dois pas le dire, ah bon, pourquoi, le suspense vous dites, bon, donc, dénouement à vous de lire et à votre convenance personnelle.
Franchement, cette lecture ne m'a pas pesée, simplement parce que je m'y attendais et que j'ai ouvert les yeux intérieurs de mon esprit et laissé venir le récit comme je voulais le recevoir, c'est-à-dire, comme une histoire pour enfants, un conte qui allume une petite étoile dans les yeux de nos chéris, les endort dans un sourire béat de satisfaction et de bien être. Morgenstern ne veut-il pas dire l'étoile du matin ? Elle sera celle du soir pour mes petits-enfants, qui, cette matière aidant, Princess Bride, je l'espère, auront des regards illuminés de bonheur dans leur pré-sommeil.
Lecture de grand-père mais lecture quand même.
4/5
B
Oh, la, la, fichtre de fichtre, la belle histoire !
Si-si, je ne ris pas, je me suis bien amusé avec cette lecture.
Et puis, je remercie, sincèrement, Monsieur Goldman, de ses justes conseils : sautez les parenthèses, ce que je fis, à ne pas lire par les adultes (là, je me suis posé la question : à quel âge devient-on adulte ? Le suis-je déjà ? En si peu de temps, je le saurais, quand même, nom d'un petit bonhomme en bois ! L'expectative. Dois-je ou ne dois-je pas lire, la réflexion m'a fait perdre beaucoup de temps et, lumière, me revinrent en mémoire, les excellents vers de Ronsard ou de Brel, au choix : il nous fallut bien du talent pour être vieux sans être adulte. Cette phrase a empoché la mise) et je l'ai lu quand même, na !
Bouton d'Or, la Jeannie Longo du conte est passée de la vingtième à la première place des belles de l'époque, entrainement difficile, rondeurs à gommer, affinement (je sais ça fait fromage, mais quel terme employer ?), prendre un peu de poids dans la tête et, surtout, surtout ouvrir les yeux. C'est vrai, quoi, le bonheur où se trouve-t-il, hein ? Tout près de soi, toujours près de soi. C'est une constatation évidente, point besoin de courir le monde, ponant, couchant, midi, septentrion (histoire de montrer que j'ai des lettres...), point, dans le cagibi qu'il était le bonheur, garçon de ferme/Westley, superman, tablettes de chocolat, yeux de la profondeur du lac Titicaca ou de Vincennes, selon que l'on voyage ou pas, bref THE prince charmant.
Et, à partir du passage de la comtesse et du comte (l'homme à six doigts, le méchant de chez méchant, vilain fanatique et monstrueux, mais nécessaire pour l'intrigue, sans méchant point de conte, donc respect au méchant, alors, quoi, bon, j'aime mieux ça !) tout va partir frénétiquement dans une course à l'amour, la mort, la trahison, la résurrection, les marais, les pirates, les fiançailles, le mariage, l'homme miracle, la sorcière, le roi, le prince, des spadassins, un géant, un malin et des seconds et troisièmes rôles à foison. Que du beau linge, du beau monde et des aventures, je ne vous dis que ça.
Comme je n'ai point l'esprit chafouin, l'âme rébarbative, j'ai apprécié les morceaux de bravoure, lisant au premier degré (quel repos de lire au premier degré, point besoin de se contorsionner pour lire entre les lignes, de s'allonger sur le livre pour lire sous les mots, ni disséquer les phrases, un bonheur simple). Ah, ce duel, ces bottes secrètes, main gauche, main droite, tromperie, ruse et dénouement attendu bien qu'étant inattendu, me fais-je bien comprendre ? J'avoue qu'ancien champion du monde d'escrime de la rue où je vis, hummm, hummm, j'exagère un peu, du 22 de la rue ou du 21 1/2, bon, pour dire que même le nom des bottes m'étaient inconnu, donc Morgenstern devait être un sacré bretteur. Le zoo, extraordinaire le zoo, la descente d'Inigo et Fezzik (leur parcours respectif, magnifiquement explicité, mérite le détour, si et je l'ai suivi le détour, bien enveloppé, rien à dire, du compact, du qui prend aux tripes, vous tourneboule les synapses, mon neurone bouleversé il fut) que l'on suit étage après étage et vous étreint comme une amante religieuse, son mâle, sans retour et pourtant, la peur au ventre, l'effroi dans les yeux, ils vaincront, poussés qu'ils sont par la suite de l'histoire. Les héros sont toujours poussés par la suite de l'histoire, l'avez-vous remarqué ? Moi, cela me surprend toujours, parce que et si le héros disait : j'arrête là, qu'est ce qu'on fait, nous, hein ? Nada, rien, on pleure, se mouche, tape du pied, cassons la télé, pas la télé ? Bon, pas la télé. Le vase de la belle mère, on peut, oui, merci ! Heureusement une telle prise de position est rarissime pour ne pas dire inexistante.
Ah, que de péripéties, que d'aventures et quelle fin, le lecteur, chut, je dois pas le dire, ah bon, pourquoi, le suspense vous dites, bon, donc, dénouement à vous de lire et à votre convenance personnelle.
Franchement, cette lecture ne m'a pas pesée, simplement parce que je m'y attendais et que j'ai ouvert les yeux intérieurs de mon esprit et laissé venir le récit comme je voulais le recevoir, c'est-à-dire, comme une histoire pour enfants, un conte qui allume une petite étoile dans les yeux de nos chéris, les endort dans un sourire béat de satisfaction et de bien être. Morgenstern ne veut-il pas dire l'étoile du matin ? Elle sera celle du soir pour mes petits-enfants, qui, cette matière aidant, Princess Bride, je l'espère, auront des regards illuminés de bonheur dans leur pré-sommeil.
Lecture de grand-père mais lecture quand même.
4/5
B
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
Merci de ta visite titepomme.
je suis allé voir sur ton blog comment dégraisser sa PAL, c'est une bonne idée, j'y réfléchis et je verrai après décompte, car elle est maousse costaud ma Pal, si c'est réalisable, ne plus acheter ni emprunter me fend le coeur par avance.
B
je suis allé voir sur ton blog comment dégraisser sa PAL, c'est une bonne idée, j'y réfléchis et je verrai après décompte, car elle est maousse costaud ma Pal, si c'est réalisable, ne plus acheter ni emprunter me fend le coeur par avance.
B
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
Un livre entre conte et aventures de cape et d'épée qui m'a beaucoup plu !
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
Et bien j'ai découvert le film étant très jeune, je l'ai vu des tas de fois, j'avais vu au générique du film qu'il s'agissait d'un livre (ben oui, comme souvent), mais je n'ai jamais trouvé le livre à l'époque...
Quel plaisir d'entendre reparler de cette histoire, ça me fait un petit coup de nostalgie pour le beau valet de ferme... Du coup, je suis tentée de me remettre à la recherche du bouquin dans une bibliothèque. Merci à vous
Quel plaisir d'entendre reparler de cette histoire, ça me fait un petit coup de nostalgie pour le beau valet de ferme... Du coup, je suis tentée de me remettre à la recherche du bouquin dans une bibliothèque. Merci à vous
Invité- Invité
Re: [Goldman, William] Princess Bride
Je suis partagée sur ce livre. Mon chéri m'a prêté l'édition du 40ème anniversaire et j'ai déjà eu de la peine avec la couverture cartonnée, mais bref...
J'ai vraiment eu de la peine à avancer dans ce livre. J'ai trouvé qu'il partait un peu dans tous les sens. J'ai bien aimé l'histoire de Boucle d'or mais comme certains l'ont également noté, j'ai peu croché aux innombrables parenthèse de l'auteur et j'avoue avoir sauté certains passages de l'introduction initiale et "finale" (celle avant les derniers chapitres).
Comme les personnages sont attachants, je vote bien aimé.
Je vais essayer de mettre la main sur le film tiré du livre!
J'ai vraiment eu de la peine à avancer dans ce livre. J'ai trouvé qu'il partait un peu dans tous les sens. J'ai bien aimé l'histoire de Boucle d'or mais comme certains l'ont également noté, j'ai peu croché aux innombrables parenthèse de l'auteur et j'avoue avoir sauté certains passages de l'introduction initiale et "finale" (celle avant les derniers chapitres).
Comme les personnages sont attachants, je vote bien aimé.
Je vais essayer de mettre la main sur le film tiré du livre!
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