[Camus, Albert] L'été
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[Camus, Albert] L'été
Auteur : Albert Camus
Editeur : Gallimard
Année : 1959
Nombre de pages : 130
Résumé de l'éditeur
Qu'il suive le fil d'Ariane sur les trace du Minotaure pour évoquer Oran et ses alentours, qu'il revisite le mythe de Prométhée à la lumière de la violence du monde moderne, ou qu'il r^ve de la beauté d'Hélène et de la Grèce, Albert Camus nous entraîne tout autour de la Méditérranée et de ses légendes. Un court recueil de textes lyriques et passionnés pour voyager de l'Algérie à la Grèce en passant par la Provence.
Mon avis
Albert Camus dépeint l'Algérie, Alger, Constantine mais plus particulièrement la ville d'Oran. Il rapproche sa description des mythes du minotaure et de Prométhée qu'il incarne. Cet essai lyrique a été publié pour la première fois en 1954 mais a été écrit à différents moments de sa vie, entre 1939 et 1953. C'est une invitation au voyage dans son Algérie natale.
D'Oran, il décrit la rue, vouée à la poussière, aux cailloux et à la chaleur, avec ses boutiques de mauvais goût, ses cireurs de chaussures, sa jeunesse inspirée des vedettes américaines empruntant les boulevard le soir, ses constructions, ses monuments, ses champs de cailloux et le désert qui entoure la ville, séduisante par la solitude qu'elle reflète. Il décrit aussi l'animation de la ville ; le ring et les combats attirent de nombreuses personnes, une foule hurlante et exaltée. Il évoque ses monuments ; la maison du colon et ses pierres multicolores, placée au milieu d'un carrefour, les deux lions de Caïen sur la place d'Armes et leur légende. Il décrit les grands travaux qui transforment la corniche oranaise, la montagne Santa Cruz et les plages d'Oran. Il décrit aussi les similitudes italiennes et espagnoles d'Oran mais la différencie des grandes villes européennes. C'est une ville sans passé, "sans attendrissement". Les gens y sont beaux. Puis il raconte son retour après 15 ans d'absence, sur le site des ruines romaines de Tipasa, près d'Alger. Il y redécouvre un merveilleux paysage, une ambiance totalement méditerranéenne. Enfin, dans son journal de bord de sa traversée de l'Océan, il évoque la haute mer, qui aide à tenir debout et à mourir sans haine.
Editeur : Gallimard
Année : 1959
Nombre de pages : 130
Résumé de l'éditeur
Qu'il suive le fil d'Ariane sur les trace du Minotaure pour évoquer Oran et ses alentours, qu'il revisite le mythe de Prométhée à la lumière de la violence du monde moderne, ou qu'il r^ve de la beauté d'Hélène et de la Grèce, Albert Camus nous entraîne tout autour de la Méditérranée et de ses légendes. Un court recueil de textes lyriques et passionnés pour voyager de l'Algérie à la Grèce en passant par la Provence.
Mon avis
Albert Camus dépeint l'Algérie, Alger, Constantine mais plus particulièrement la ville d'Oran. Il rapproche sa description des mythes du minotaure et de Prométhée qu'il incarne. Cet essai lyrique a été publié pour la première fois en 1954 mais a été écrit à différents moments de sa vie, entre 1939 et 1953. C'est une invitation au voyage dans son Algérie natale.
D'Oran, il décrit la rue, vouée à la poussière, aux cailloux et à la chaleur, avec ses boutiques de mauvais goût, ses cireurs de chaussures, sa jeunesse inspirée des vedettes américaines empruntant les boulevard le soir, ses constructions, ses monuments, ses champs de cailloux et le désert qui entoure la ville, séduisante par la solitude qu'elle reflète. Il décrit aussi l'animation de la ville ; le ring et les combats attirent de nombreuses personnes, une foule hurlante et exaltée. Il évoque ses monuments ; la maison du colon et ses pierres multicolores, placée au milieu d'un carrefour, les deux lions de Caïen sur la place d'Armes et leur légende. Il décrit les grands travaux qui transforment la corniche oranaise, la montagne Santa Cruz et les plages d'Oran. Il décrit aussi les similitudes italiennes et espagnoles d'Oran mais la différencie des grandes villes européennes. C'est une ville sans passé, "sans attendrissement". Les gens y sont beaux. Puis il raconte son retour après 15 ans d'absence, sur le site des ruines romaines de Tipasa, près d'Alger. Il y redécouvre un merveilleux paysage, une ambiance totalement méditerranéenne. Enfin, dans son journal de bord de sa traversée de l'Océan, il évoque la haute mer, qui aide à tenir debout et à mourir sans haine.
Invité- Invité
Re: [Camus, Albert] L'été
Tu as aimé ou pas ? tu sembles détachée par rapport à cette lecture.
Sara2a- Grand sage du forum
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Localisation : Porto-Vecchio
Genre littéraire préféré : Thrillers, fantastiques et un peu de tout ce qui peut me tomber sous les yeux .
Date d'inscription : 24/01/2010
Re: [Camus, Albert] L'été
Disons que ce n'est pas mon récit préféré de l'auteur. Je préfère ses romans. Mais ce texte est évidemment remarquablement écrit. Ce sont les digressions philosophiques qui m'ont un peu ennuyée
Invité- Invité
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