[Miller, J. Eric] Décomposition
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[Miller, J. Eric] Décomposition
Décomposition de J. Eric Miller
Editions 10/18
Domaine policier
Traduit de l'américain par Claro
205 pages
ISBN: 978-2-264-04958-2
Quatrième de couverture.
C'est un conte de fées qui commence mal, très mal. L'histoire d'une fille un peu paumée qui voulait croire au prince charmant. La voilà avec un cadavre dans le coffre de sa Ford Mustang, l'arrogant Jack, le prince changé en crapaud. La décomposition est en marche, à mesure que s'écoulent les heures. Et elle n'a plus qu'une seule idée en tête désormais : rejoindre Seattle au plus vite où l'attend George, son autre prince, celui qu'elle n'aurait jamais dû plaquer. Et comme dans tous les contes, il y aura des rencontres : un flic soupçonneux, d'autres paumés, et même une poule, une vraie, qui refuse de se transformer en bonne fée et préfère picorer les yeux de Jack. Mais jusqu'où notre serial lover compte-elle aller ? Car plus elle roule, moins elle est sûre de pouvoir remettre le compteur à zéro.
Mon avis.
Dans un premier temps, je remercie les éditions 10/18 pour ce partenariat ainsi que le forum, Thot et les modérateurs pour la confiance qu'ils m'ont faite.
La couverture principale nous plonge directement dans le vif du sujet. D'une portière de voiture ouverte, un corps se trouve allongé sur le sol, à côté d'une route, et juste derrière, dans le flou, se trouve une voiture de police. Face à la quatrième de couverture, nous retrouvons bien là, le voyage de la fille paumée, l'histoire avec le flic soupçonneux, et ce mort qu'elle a sur les bras.
Une couverture que j'ai trouvé très intéressante et qui attire l'œil, donnant l'envie d'ouvrir le livre et d'y découvrir l'histoire.
Les premières pages se laissent lire et je me suis tout de suite perdue dans la psychologie un peu bancale de l'héroïne qui se trouve perdue entre deux hommes, l'un qu'elle imagine comme le bien, l'autre étant le mal. Tout le long de l'histoire, nous nous trouvons dans cette contradiction, cette comparaison qui fait que même nous, nous voilà incapable de choisir entre Georges, le prince charmant et Jack, qui ressemblerait plutôt au méchant du récit. Je l'ai sentie tirailler entre des sentiments contradictoires pour l'un et pour l'autre et jusqu'à la fin du livre, il est difficile de savoir lequel elle désire véritablement, bien que plusieurs indices nous soient laissés.
J'ai été dérangée par le style très cru, à la limite du vulgaire qui ponctue le récit, lui donnant une profondeur que je n'ai pas trouvé indispensable, plutôt gênante, à dire vrai. Je n'ai donc pas accroché à ce style d'écriture, m'étant, au final, forcée à lire ce livre. A lire l'arrière de la couverture, je me doutais un peu qu'il serait assez naturel, sans trop de fioritures mais ne m'attendais d'aucune manière à ce style qui n'a guère ma préférence.
En ce qui concerne les aventures promises par cette quatrième de couverture, j'ai été déçue, m'attendant à plus de péripéties, à plus rigoler au cours de cette lecture qui ne m'a pas emballée plus que cela. L'histoire de la poule est bien courte et à aucun moment, il n'a été question qu'elle puisse se transformer en bonne fée et ce n'est qu'un exemple.
Je crois que j'attendais beaucoup de ce livre et espérais une histoire digne d'un conte de fées, tournant au comique à cause d'une princesse indigne de ce rôle! La quatrième de couverture m'a induite en erreur et c'est avec regret que j'ai eu autant de mal à finir ce livre.
J'ai donc un avis mitigé sur ce livre qui d'un point de vue psychologique est très intéressant, nous plongeant dans les méandres d'un cerveau légèrement dérangé mais à part cela, je n'ai pas été emballée.
Comme d'habitude, je ne le déconseille, ni ne le conseille car ce style qui m'a déplu pourrait plaire à d'autres
11/20
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"La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs."
Arunachala Ramaiya
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Date d'inscription : 05/03/2010
Re: [Miller, J. Eric] Décomposition
L’auteur nous plonge dans l’univers difficile d’une jeune femme en pleine remise en question.
Le lecteur découvre par brides ses souvenirs. Au fond, je pense que l’on voyage au fond de l’héroïne (dont à mes souvenirs, nous ignorons le prénom).
A travers son voyage, elle tente de renoncer à ses rêves de prince charmant (Jack) : beau, riche, séduisant, épicurien. Elle se rend compte qu’avant tout, elle a besoin d’un homme simple mais patient, à l’écoute et amoureux (Georges). Malgré le fait qu’elle est tuée Jack, elle ne parvient pas à se débarrasser de son corps, a besoin de la conserver au mieux.
Ce voyage va lui permettre de tenter de régler son histoire familiale. Tirer un trait sur ses souvenirs douloureux, accepter la mort de son fils. Elle se rend compte qu’elle doit se respecter, s’accepter telle qu’elle est.
Tout ce chemin est difficile et périlleux et au fond, est elle véritablement prête et motivée pour le faire ?
Le thème est traité de façon très originale et inhabituelle. Malgré l’utilisation du « je », on sent beaucoup de recul et de respect par rapport à l’héroïne. Je pense que certaines subtilités m’ont échappées : le rôle de la poule, les rencontres avec les personnes qu’elle juge perdues.
Le style de l’auteur est très déconcertant. Très cru, il n’utilise que peu d’images et reste toujours très véridique. Des scènes de sexe sont même parfois à classer en moins de 12 ans.
Je pense qu’à travers ces choix, l’auteur a voulu déranger le lecteur afin de le faire réfléchir. Il me semble que l’on aurait aimé une fin différente mais peut être est ce à nous de l’écrire ? Un choix osé et incertain qui titille ma curiosité.
Encore une découverte déconcertante que nous offre Thot et les éditions 10-18 et je les en remercie vivement. Une œuvre qui dérange mais qui pousse à réfléchir. On veut toujours le bonheur mais est on prêt à renoncer à nos utopies pour gouter aux joies plus simples ?
Le lecteur découvre par brides ses souvenirs. Au fond, je pense que l’on voyage au fond de l’héroïne (dont à mes souvenirs, nous ignorons le prénom).
A travers son voyage, elle tente de renoncer à ses rêves de prince charmant (Jack) : beau, riche, séduisant, épicurien. Elle se rend compte qu’avant tout, elle a besoin d’un homme simple mais patient, à l’écoute et amoureux (Georges). Malgré le fait qu’elle est tuée Jack, elle ne parvient pas à se débarrasser de son corps, a besoin de la conserver au mieux.
Ce voyage va lui permettre de tenter de régler son histoire familiale. Tirer un trait sur ses souvenirs douloureux, accepter la mort de son fils. Elle se rend compte qu’elle doit se respecter, s’accepter telle qu’elle est.
Tout ce chemin est difficile et périlleux et au fond, est elle véritablement prête et motivée pour le faire ?
Le thème est traité de façon très originale et inhabituelle. Malgré l’utilisation du « je », on sent beaucoup de recul et de respect par rapport à l’héroïne. Je pense que certaines subtilités m’ont échappées : le rôle de la poule, les rencontres avec les personnes qu’elle juge perdues.
Le style de l’auteur est très déconcertant. Très cru, il n’utilise que peu d’images et reste toujours très véridique. Des scènes de sexe sont même parfois à classer en moins de 12 ans.
Je pense qu’à travers ces choix, l’auteur a voulu déranger le lecteur afin de le faire réfléchir. Il me semble que l’on aurait aimé une fin différente mais peut être est ce à nous de l’écrire ? Un choix osé et incertain qui titille ma curiosité.
Encore une découverte déconcertante que nous offre Thot et les éditions 10-18 et je les en remercie vivement. Une œuvre qui dérange mais qui pousse à réfléchir. On veut toujours le bonheur mais est on prêt à renoncer à nos utopies pour gouter aux joies plus simples ?
Invité- Invité
Re: [Miller, J. Eric] Décomposition
Elyuna a écrit:
Mon avis.
Dans un premier temps, je remercie les éditions 10/18 pour ce partenariat ainsi que le forum, Thot et les modérateurs pour la confiance qu'ils m'ont faite.
Les premières pages se laissent lire et je me suis tout de suite perdue dans la psychologie un peu bancale de l'héroïne qui se trouve perdue entre deux hommes, l'un qu'elle imagine comme le bien, l'autre étant le mal. Tout le long de l'histoire, nous nous trouvons dans cette contradiction, cette comparaison qui fait que même nous, nous voilà incapable de choisir entre Georges, le prince charmant et Jack, qui ressemblerait plutôt au méchant du récit. Je l'ai sentie tirailler entre des sentiments contradictoires pour l'un et pour l'autre et jusqu'à la fin du livre, il est difficile de savoir lequel elle désire véritablement, bien que plusieurs indices nous soient laissés.
J'ai été dérangée par le style très cru, à la limite du vulgaire qui ponctue le récit, lui donnant une profondeur que je n'ai pas trouvé indispensable, plutôt gênante, à dire vrai. Je n'ai donc pas accroché à ce style d'écriture, m'étant, au final, forcée à lire ce livre. A lire l'arrière de la couverture, je me doutais un peu qu'il serait assez naturel, sans trop de fioritures mais ne m'attendais d'aucune manière à ce style qui n'a guère ma préférence.
C'est marrant de voir que tu vois le prince charmant en Georges. Pour moi, Jack est l'homme que l'on voit dans les médias séduisant, à la limite de l'arrogance, le "mâle" et qui fait fantasmer les jeunes filles. Georges serait plus l'homme prévenant, doux et attentionné. Celui qu'au départ, on regarde plus comme le bon copain.
Je pense que le style d'écriture très cru est nécessaire pour déranger le lecteur et le pousser à la réflexion.
Encore merci pour ces parteneriats qui nous permettent des échanges intéressants.
Invité- Invité
Re: [Miller, J. Eric] Décomposition
takac a écrit:C'est marrant de voir que tu vois le prince charmant en Georges. Pour moi, Jack est l'homme que l'on voit dans les médias séduisant, à la limite de l'arrogance, le "mâle" et qui fait fantasmer les jeunes filles. Georges serait plus l'homme prévenant, doux et attentionné. Celui qu'au départ, on regarde plus comme le bon copain.
Je pense que le style d'écriture très cru est nécessaire pour déranger le lecteur et le pousser à la réflexion.
Encore merci pour ces parteneriats qui nous permettent des échanges intéressants.
Ben je trouve justement, qu'au début à ses yeux, Georges est le Prince charmant et qu'elle voit en lui l'homme idéal et qu'au final, Jack n'a été là que pour le détourner de celui qu'elle désire et qu'elle a perdu momentanément par sa faute.
Bien entendu, elle va évoluer au cours de l'histoire et son avis va changer mais au début de l'histoire, c'est Georges le prince charmant. A mes yeux en tous les cas
Et en effet, le style cru est là pour nous déranger, nous faire réfléchir mais je n'aime pas cela, je trouve que ça gâche la lecture dans ce livre et que pour déranger, il est possible d'agir autrement!!
Après, chacun son ressenti et oui, c'est véritablement intéressant de voir les différentes opinions grâce à ces partenariats!!
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Re: [Miller, J. Eric] Décomposition
« Décomposition » est arrivé dans ma boîte aux lettres moins de 2 semaines après l'attribution du partenariat. Merci au forum Partage Lecture en général, et à Thot en particulier de nous offrir ces opportunités d'élargir nos horizons livresques. Merci également à 10/18 pour ce livre, et pour la rapidité avec laquelle je l'ai reçu.
Sitôt l'enveloppe ouverte, j'ai commencé à scruter l'objet de ma convoitise. Petit roman de poche de 200 pages environ, avec une couverture évocatrice. Un bas-côté désertique, un corps allongé à côté d'une portière ouverte, et en arrière-plan on distingue une voiture de police américaine, noyée dans le flou. Pas de problème, on est bien dans l'ambiance annoncée par la 4ème de couverture !
Celle-ci nous invite à suivre une fille un peu paumée, et c'est bien le mot qui convient. Après avoir tué Jack, « le prince changé en crapaud », elle l'emmène pour un long périple à travers les USA dans le coffre de sa voiture, au lieu de le laisser sur place à la Nouvelle-Orléans sur le point d'être ravagée par Katerina.
Elle ne sait pas où elle s'en débarrassera, ni comment... Elle n'est pas encore prête, alors elle le garde. Il l'accompagne sur la route qui l'emmène vers George, celui qu'elle avait plaqué. Ce voyage, elle l'envisage comme une quête initiatique, avec des épreuves à affronter pour pouvoir le (re)conquérir.
Elle va cumuler les bourdes, se racontant à elle-même des histoires auxquelles elle finit par croire, et suscitant des situations inextricables. Par petites touches, c'est son passé qui se dévoile, et avec lui le tableau d'une jeune femme à la dérive...
On suit le récit, la descente aux Enfers, vaguement horrifié, un peu compatissant du début jusqu'à la fin, avec cependant en ce qui me concerne une réticence sur le vocabulaire obscène utilisé à profusion, en particulier au milieu du livre. Oui, cela colle avec le personnage... mais ...cela m'a semblé inutile et un peu racoleur. Jusque-là cette jeune femme avait été brossée avec finesse; par petites touches bien plus pertinentes, que ce soit par ses actions, ses raisonnements, son passé...
Pourquoi choisir d'un coup de mettre les points sur les I, au lieu de faire confiance au lecteur pour s'imprégner de la situation.
Dommage, cela avait si bien commencé... La fin se rattrape un peu.
Pour conclure, c'est un livre intéressant, avec une certaine originalité par son sujet et le traitement de celui-ci, mais qui m'a laissé un petit goût de « pas tout à fait achevé » même si ce n'est pas la fin qui est en cause. Ce n'est pas un coup de cœur en ce qui me concerne, mais il vaut la peine d'y consacrer le temps d'une lecture...
Sitôt l'enveloppe ouverte, j'ai commencé à scruter l'objet de ma convoitise. Petit roman de poche de 200 pages environ, avec une couverture évocatrice. Un bas-côté désertique, un corps allongé à côté d'une portière ouverte, et en arrière-plan on distingue une voiture de police américaine, noyée dans le flou. Pas de problème, on est bien dans l'ambiance annoncée par la 4ème de couverture !
Celle-ci nous invite à suivre une fille un peu paumée, et c'est bien le mot qui convient. Après avoir tué Jack, « le prince changé en crapaud », elle l'emmène pour un long périple à travers les USA dans le coffre de sa voiture, au lieu de le laisser sur place à la Nouvelle-Orléans sur le point d'être ravagée par Katerina.
Elle ne sait pas où elle s'en débarrassera, ni comment... Elle n'est pas encore prête, alors elle le garde. Il l'accompagne sur la route qui l'emmène vers George, celui qu'elle avait plaqué. Ce voyage, elle l'envisage comme une quête initiatique, avec des épreuves à affronter pour pouvoir le (re)conquérir.
Elle va cumuler les bourdes, se racontant à elle-même des histoires auxquelles elle finit par croire, et suscitant des situations inextricables. Par petites touches, c'est son passé qui se dévoile, et avec lui le tableau d'une jeune femme à la dérive...
On suit le récit, la descente aux Enfers, vaguement horrifié, un peu compatissant du début jusqu'à la fin, avec cependant en ce qui me concerne une réticence sur le vocabulaire obscène utilisé à profusion, en particulier au milieu du livre. Oui, cela colle avec le personnage... mais ...cela m'a semblé inutile et un peu racoleur. Jusque-là cette jeune femme avait été brossée avec finesse; par petites touches bien plus pertinentes, que ce soit par ses actions, ses raisonnements, son passé...
Pourquoi choisir d'un coup de mettre les points sur les I, au lieu de faire confiance au lecteur pour s'imprégner de la situation.
Dommage, cela avait si bien commencé... La fin se rattrape un peu.
Pour conclure, c'est un livre intéressant, avec une certaine originalité par son sujet et le traitement de celui-ci, mais qui m'a laissé un petit goût de « pas tout à fait achevé » même si ce n'est pas la fin qui est en cause. Ce n'est pas un coup de cœur en ce qui me concerne, mais il vaut la peine d'y consacrer le temps d'une lecture...
Invité- Invité
Re: [Miller, J. Eric] Décomposition
Elyuna, sans avoir lu ta critique, c'est amusant de voir que j'ai commencé d'une façon très similaire à la tienne: par la couverture Je me retrouve assez dans ce que tu as écrit, notamment au sujet du vocabulaire. Ce n'est d'ailleurs pas le vocabulaire en lui-même qui m'a gênée, mais son utilisation. En le comparant à un autre livre lu récemment, et qui utilise aussi beaucoup de mots très crus: "le Montespan" de Jean Teulé, ça ne m'a pas fait du tout la même impression...
Au sujet du prince charmant, j'ai un avis qui diverge encore des vôtres, Elyuna et Takac. Pour moi, il n'y a de prince charmant que dans l'imagination de la jeune fille paumée que nous avons sous les yeux, et ils tiendront ce rôle tous les deux, chacun à leur tour. Ni George qui se révèle au fur et à mesure comme quelqu'un qui est tout sauf séduisant et intéressant, mais qui présente l'image d'une stabilité, ni Jack, séduisant mais manipulateur et egocentrique (et pas plus riche que ça, Takac, j'ai oublié un passage?)
Dernière chose, Elyuna, je comprends tout à fait ta déception à la suite de la marge existant entre la 4ème de couverture et le livre, mais c'est tellement fréquent... Du coup, la 4ème m'aide parfois à choisir le livre, puis je laisse passer un moment avant de lire le livre, histoire de n'avoir plus qu'un vague souvenir de ce qui y était noté. Dans le cas présent, un voyage initiatique à travers les USA avec un cadavre dans le coffre... On fait comme on peut Mais c'est vrai que je me joins à toi quand tu veux pour une pétition : "Messieurs les éditeurs, soignez vos 4èmes de couverture !"
Au sujet du prince charmant, j'ai un avis qui diverge encore des vôtres, Elyuna et Takac. Pour moi, il n'y a de prince charmant que dans l'imagination de la jeune fille paumée que nous avons sous les yeux, et ils tiendront ce rôle tous les deux, chacun à leur tour. Ni George qui se révèle au fur et à mesure comme quelqu'un qui est tout sauf séduisant et intéressant, mais qui présente l'image d'une stabilité, ni Jack, séduisant mais manipulateur et egocentrique (et pas plus riche que ça, Takac, j'ai oublié un passage?)
Dernière chose, Elyuna, je comprends tout à fait ta déception à la suite de la marge existant entre la 4ème de couverture et le livre, mais c'est tellement fréquent... Du coup, la 4ème m'aide parfois à choisir le livre, puis je laisse passer un moment avant de lire le livre, histoire de n'avoir plus qu'un vague souvenir de ce qui y était noté. Dans le cas présent, un voyage initiatique à travers les USA avec un cadavre dans le coffre... On fait comme on peut Mais c'est vrai que je me joins à toi quand tu veux pour une pétition : "Messieurs les éditeurs, soignez vos 4èmes de couverture !"
Invité- Invité
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