[Pecassou-Camebrac, Bernadette] La belle chocolatière
Page 1 sur 1
Votre avis sur ce livre :
[Pecassou-Camebrac, Bernadette] La belle chocolatière
.LA BELLE CHOCOLATIERE
Auteur BERNADETTE PECASSOU-CAMEBRAC
Edition LE CLUB
Genre ROMAN
Nombre de Pages 439
QUATRIEME DE COUVERTURE
"En décembre 1856, dans sa maison cossue de la ville haute, à Lourdes, Sophie essaie une somptueuse crinoline. L’épouse de Louis Paihlé, pharmacien et chocolatier, veut être élégante pour le bal du Nouvel An, donné par le ministre Achille FOULD, grand organisateur des fastes de l’Empire.
La « belle chocolatière » ignore qu’elle va y rencontrer Habel, un hussard ténébreux. Avec lui, elle découvrira la passion. Sa vie en sera bouleversée et, d’enfant gâtée, elle se muera en femme responsable.
Dans les bas quartiers de Lourdes, la vie est plus dure. Le choléra a sévi l’année prédédente, s’ajoutant à une misère noire. Les hommes sont au chômage. Les femmes ont faim et froid. Les enfants se rendent souvent à Massabielle, au bord du Gave, pour ramasser du bois et gagner quelques sous.
Un jour, l’une d’entre eux, Bernadette Soubirous, annonce qu’elle a vu la « Dame Blanche ». Si les hommes se moquent d’elle, les femmes s’activent. A force de solidarité et d’amour, elle se préparent à mettre en place ce qui sera le principal lieu de pèlerinage au monde"
Bernadette Pécassou-Camebrac est journaliste. Elle a réalisé de nombreux reportages de documentaires, dont une soirée thématique pour ARTE sur Lourdes. Pour écrire LA BELLE CHOCOLATIERE son premier roman , elle s’est inspirée de personnages et de faits réels.
Mon ressenti
C’est un grand coup de cœur que je viens d’avoir durant toute la lecture de ce roman qui a pour base la ville de Lourdes. Ce roman débute durant l’hiver 1856 – 57 pour se terminer le 1er janvier de l’année 1859. Que d’évenements ce sont déroulés en si peu de temps. Au début on découvre, la ville haute de Lourdes où la vie y est douce, les gens égoîstes, froids, calculateurs. Dans la ville basse la vie est particulièrement dure, la misère est permanente, les hommes sont au chômage, les femmes avec les enfants luttent pour survivre.
L’histoire est particulièrement prenante et réaliste. J’ai également beaucoup apprécié les descriptions des lieux et des sentiments. Je ne connaissais par cette auteure, une belle découverte pour moi
Auteur BERNADETTE PECASSOU-CAMEBRAC
Edition LE CLUB
Genre ROMAN
Nombre de Pages 439
QUATRIEME DE COUVERTURE
"En décembre 1856, dans sa maison cossue de la ville haute, à Lourdes, Sophie essaie une somptueuse crinoline. L’épouse de Louis Paihlé, pharmacien et chocolatier, veut être élégante pour le bal du Nouvel An, donné par le ministre Achille FOULD, grand organisateur des fastes de l’Empire.
La « belle chocolatière » ignore qu’elle va y rencontrer Habel, un hussard ténébreux. Avec lui, elle découvrira la passion. Sa vie en sera bouleversée et, d’enfant gâtée, elle se muera en femme responsable.
Dans les bas quartiers de Lourdes, la vie est plus dure. Le choléra a sévi l’année prédédente, s’ajoutant à une misère noire. Les hommes sont au chômage. Les femmes ont faim et froid. Les enfants se rendent souvent à Massabielle, au bord du Gave, pour ramasser du bois et gagner quelques sous.
Un jour, l’une d’entre eux, Bernadette Soubirous, annonce qu’elle a vu la « Dame Blanche ». Si les hommes se moquent d’elle, les femmes s’activent. A force de solidarité et d’amour, elle se préparent à mettre en place ce qui sera le principal lieu de pèlerinage au monde"
Bernadette Pécassou-Camebrac est journaliste. Elle a réalisé de nombreux reportages de documentaires, dont une soirée thématique pour ARTE sur Lourdes. Pour écrire LA BELLE CHOCOLATIERE son premier roman , elle s’est inspirée de personnages et de faits réels.
Mon ressenti
C’est un grand coup de cœur que je viens d’avoir durant toute la lecture de ce roman qui a pour base la ville de Lourdes. Ce roman débute durant l’hiver 1856 – 57 pour se terminer le 1er janvier de l’année 1859. Que d’évenements ce sont déroulés en si peu de temps. Au début on découvre, la ville haute de Lourdes où la vie y est douce, les gens égoîstes, froids, calculateurs. Dans la ville basse la vie est particulièrement dure, la misère est permanente, les hommes sont au chômage, les femmes avec les enfants luttent pour survivre.
L’histoire est particulièrement prenante et réaliste. J’ai également beaucoup apprécié les descriptions des lieux et des sentiments. Je ne connaissais par cette auteure, une belle découverte pour moi
Dernière édition par PetitePrincesse le Mar 08 Nov 2011, 10:26 pm, édité 1 fois (Raison : titre + sondage)
Invité- Invité
Sujets similaires
» [Pécassou, Bernadette] La dernière bagnarde
» [Pecassou-Camebrac, Bernadette] La villa Belza
» [Sarraute, Claude] Belle belle belle
» [Braun, Bernadette] Elles
» [Dupuy, Marie-Bernadette] Le scandale des eaux folles — Tome 1
» [Pecassou-Camebrac, Bernadette] La villa Belza
» [Sarraute, Claude] Belle belle belle
» [Braun, Bernadette] Elles
» [Dupuy, Marie-Bernadette] Le scandale des eaux folles — Tome 1
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum