[Molesini, Andrea] Tous les salauds ne viennent pas de Vienne
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[Molesini, Andrea] Tous les salauds ne viennent pas de Vienne
[Molesini, Andrea] Tous les salauds ne viennent pas de Vienne
[Molesini, Andrea]
Tous les salauds ne sont pas de Vienne
Calman-Levy 3 janvier 2013
ISBN 9782702143995
328 pages
Quatrième de couverture
Novembre 1917. L’armée italienne recule face à l’offensive autrichienne. Les Spada habitent un domaine près du Piave, dans le nord de l’Italie, qui se voit réquisitionner par des soldats ennemis. Le viol de jeunes villageoises déclenche chez eux un sentiment de révolte patriotique. Tous les membres de la maisonnée résisteront à leur manière : le narrateur, Paolo, orphelin de dix-sept ans élevé par ses grands-parents paternels ; le grand-père original et désabusé et son épouse, grande dame qui refuse de se laisser impressionner par la soldatesque ennemie ; Teresa la fidèle cuisinière femme du peuple, et sa fille de vingt ans Loretta la simplette ; le gardien du domaine Renato qui se révèle vite être un agent des services de renseignement de l’armée italienne ; la tante Maria, belle femme émancipée et décidée ; et enfin Giulia, vingt-cinq ans, libre, à la réputation sulfureuse, et dont la beauté provocante fascine le narrateur. Derrière la chronique de cette occupation, des vexations et abus de pouvoirs petits et grands, Andrea Molesini raconte aussi les intrigues amoureuses qui se nouent entre les personnages. Action et psychologie se mêlent dans ce formidable portrait de famille. Un récit de guerre et une quête initiatique qui concilient l’universel et le personnel dans un style d’écriture résolument littéraire.
Mon avis
Andrea Molesini par la voix du jeune Paolo dix-sept ans restitue dans leur dignité les personnages du roman et autres de toutes conditions, outragés par les conflits armés quel qu’ils soient. Paolo ne sait rien du sexe, ni des femmes mais il vit l’horreur de l’occupation allemande et des réquisitions. C’est ainsi que le viol de trois villageoises inspire mépris et haine de la famille Spada envers l’occupant. Ce jeune garçon parle de la guerre, des aspects absurdes qui parfois prêtent même à sourire, cependant à la fin de la guerre, il aura appris ce que sont l’amitié, l’amour, la compassion, le sens de la famille et de la terre. Un beau roman sur les contradictions de la guerre, les intrigues amoureuses et un peu comme une fable sur les héros et leurs illusions…4/5
Tous les salauds ne sont pas de Vienne
Calman-Levy 3 janvier 2013
ISBN 9782702143995
328 pages
Quatrième de couverture
Novembre 1917. L’armée italienne recule face à l’offensive autrichienne. Les Spada habitent un domaine près du Piave, dans le nord de l’Italie, qui se voit réquisitionner par des soldats ennemis. Le viol de jeunes villageoises déclenche chez eux un sentiment de révolte patriotique. Tous les membres de la maisonnée résisteront à leur manière : le narrateur, Paolo, orphelin de dix-sept ans élevé par ses grands-parents paternels ; le grand-père original et désabusé et son épouse, grande dame qui refuse de se laisser impressionner par la soldatesque ennemie ; Teresa la fidèle cuisinière femme du peuple, et sa fille de vingt ans Loretta la simplette ; le gardien du domaine Renato qui se révèle vite être un agent des services de renseignement de l’armée italienne ; la tante Maria, belle femme émancipée et décidée ; et enfin Giulia, vingt-cinq ans, libre, à la réputation sulfureuse, et dont la beauté provocante fascine le narrateur. Derrière la chronique de cette occupation, des vexations et abus de pouvoirs petits et grands, Andrea Molesini raconte aussi les intrigues amoureuses qui se nouent entre les personnages. Action et psychologie se mêlent dans ce formidable portrait de famille. Un récit de guerre et une quête initiatique qui concilient l’universel et le personnel dans un style d’écriture résolument littéraire.
Mon avis
Andrea Molesini par la voix du jeune Paolo dix-sept ans restitue dans leur dignité les personnages du roman et autres de toutes conditions, outragés par les conflits armés quel qu’ils soient. Paolo ne sait rien du sexe, ni des femmes mais il vit l’horreur de l’occupation allemande et des réquisitions. C’est ainsi que le viol de trois villageoises inspire mépris et haine de la famille Spada envers l’occupant. Ce jeune garçon parle de la guerre, des aspects absurdes qui parfois prêtent même à sourire, cependant à la fin de la guerre, il aura appris ce que sont l’amitié, l’amour, la compassion, le sens de la famille et de la terre. Un beau roman sur les contradictions de la guerre, les intrigues amoureuses et un peu comme une fable sur les héros et leurs illusions…4/5
lalyre- Grand sage du forum
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