[Majdalani, Sharif] Le dernier Seigneur de Marsad
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[Majdalani, Sharif] Le dernier Seigneur de Marsad
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[Majdalani, Charif]
Le dernier seigneur de Marsad
Seuil 22 août 2013
ISBN 978 2 02 112302 9
248 pages
Quatrième de couverture
Beyrouth, quartier de Marsad, 1964. Simone, la fille cadette de Chakib Khattar, un notable chrétien qui a fait fortune dans le négoce du marbre, est enlevée par Hamid Chahine, son bras droit à l’usine. Ce rapt amoureux tombe au plus mal pour Chakib, obsédé par la transmission de son patri-moine et qui, face à l’incapacité ou à l’indifférence de ses héritiers légitimes, a fait de Hamid plus que son homme de confiance : une sorte de fils spirituel. L’affaire fait grand bruit, mais l’enlèvement tourne court, après que les deux amants ont tenté de se marier clandestinement. Contraint de chasser Hamid, Khattar voit progressivement se transformer le monde autour de lui. Dans les années suivantes, le Liban s’enfonce dans la guerre, entre 1975 et la fin des années 1980. Isolé, abandonné par les siens, le dernier seigneur de Marsad est désormais au coeur des convulsions d’un pays livré aux milices et au chaos.
Mon avis
Grandeur et décadence d’un homme qui croyait détenir le pouvoir sur tout et tous. Lorsqu’il refuse la main de sa fille Simone à Hamid, son bras droit, celui-ci disparait, l’on saura ce qu’il est devenu à la fin du roman. De très longues pages de description de la famille des Khattar ( p.25 à P.86) j’ai trouvé cela un peu ennuyeux, Heureusement après avoir lu ces pages on reprend le fil de l’histoire, , le chef du clan a des enfants mais aucun n’est capable de diriger les entreprises qu’il possède. Pendant cette guerre du Liban, il semblerait que plus rien n’appartient à personne, la plupart des gens sont partis, les maisons sont occupées par la milice, Hamid Khattar est sommé de laisser ses hangars et maisons à la disposition de l’armée, mais il refuse ce qui bien entendu est très mal vu des autorités. Il s’entête, à tel point qu’il va se retrouver seul et va voir le monde se transformer autour de lui. Je n’en dis pas plus car je trouve la quatrième de couverture en dit trop. Je n’ai pas tellement aimé ce roman, peut-être parce que je l’ai trouvé difficile à lire, je m’y suis parfois perdue, retournant aux pages précédentes pour comprendre. Sans doute que d’autres lecteurs aimeront, qui sait ? Ceci n’étant que mon humble avis…..
Le dernier seigneur de Marsad
Seuil 22 août 2013
ISBN 978 2 02 112302 9
248 pages
Quatrième de couverture
Beyrouth, quartier de Marsad, 1964. Simone, la fille cadette de Chakib Khattar, un notable chrétien qui a fait fortune dans le négoce du marbre, est enlevée par Hamid Chahine, son bras droit à l’usine. Ce rapt amoureux tombe au plus mal pour Chakib, obsédé par la transmission de son patri-moine et qui, face à l’incapacité ou à l’indifférence de ses héritiers légitimes, a fait de Hamid plus que son homme de confiance : une sorte de fils spirituel. L’affaire fait grand bruit, mais l’enlèvement tourne court, après que les deux amants ont tenté de se marier clandestinement. Contraint de chasser Hamid, Khattar voit progressivement se transformer le monde autour de lui. Dans les années suivantes, le Liban s’enfonce dans la guerre, entre 1975 et la fin des années 1980. Isolé, abandonné par les siens, le dernier seigneur de Marsad est désormais au coeur des convulsions d’un pays livré aux milices et au chaos.
Mon avis
Grandeur et décadence d’un homme qui croyait détenir le pouvoir sur tout et tous. Lorsqu’il refuse la main de sa fille Simone à Hamid, son bras droit, celui-ci disparait, l’on saura ce qu’il est devenu à la fin du roman. De très longues pages de description de la famille des Khattar ( p.25 à P.86) j’ai trouvé cela un peu ennuyeux, Heureusement après avoir lu ces pages on reprend le fil de l’histoire, , le chef du clan a des enfants mais aucun n’est capable de diriger les entreprises qu’il possède. Pendant cette guerre du Liban, il semblerait que plus rien n’appartient à personne, la plupart des gens sont partis, les maisons sont occupées par la milice, Hamid Khattar est sommé de laisser ses hangars et maisons à la disposition de l’armée, mais il refuse ce qui bien entendu est très mal vu des autorités. Il s’entête, à tel point qu’il va se retrouver seul et va voir le monde se transformer autour de lui. Je n’en dis pas plus car je trouve la quatrième de couverture en dit trop. Je n’ai pas tellement aimé ce roman, peut-être parce que je l’ai trouvé difficile à lire, je m’y suis parfois perdue, retournant aux pages précédentes pour comprendre. Sans doute que d’autres lecteurs aimeront, qui sait ? Ceci n’étant que mon humble avis…..
lalyre- Grand sage du forum
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