[Majdalani, Charif] Villa des femmes
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[Majdalani, Charif] Villa des femmes
[Majdalani, Charif] Villa des femmes
[Majdalani, Charif]
Villa des femmes
Seuil 20 août 2015
ISBN 978 2 02 128017 3
278 pages
Quatrième de couverture
Tout sourit à Skandar Hayek. À la tête d'un négoce de tissu, il règne sur son usine, sur ses terres et sur son clan, malgré les nuages qui s’amoncellent sur le Liban en ce milieu des années 1960, malgré aussi les disputes incessantes entre Mado, son acariâtre de sœur, Marie, son épouse, et Karine, sa fille chérie. Quant au successeur, il sera bien temps, le moment venu, de le choisir, entre Noula, ce fils aîné qui ne doute de rien et surtout pas de lui-même, et Hareth, le cadet, épris de livres et d'aventures.
Depuis la terrasse ensoleillée de la villa familiale où il passe le plus clair de son temps, le narrateur, qui est aussi le chauffeur et le confident du vieux Skandar, observe et raconte un âge d'or que rien ne semble devoir vraiment ternir. Mais les aléas de la vie vont bouleverser cet ordre que tous croyaient immuable et pousser les femmes à prendre les rênes du domaine. Seul Hareth pourrait leur prêter main-forte. Mais Hareth est loin, il voyage de par le monde.
Mon avis
Charif Majdalani auteur libanais, avec un merveilleux sens du rythme, une écriture superbe et un talent de conteur très fort se sert de la voix du chauffeur et homme à tout faire de Skandar Hayek dirigeant une entreprise de tissage, pour nous narrer ces observations sur la vie des habitants du domaine. C’est surtout à la mort subite du vieil homme, que Noura, le fils cadet va prendre les rênes de l’entreprise, cependant une querelle de succession intervient alors que Noura par sa folie des grandeurs et son entêtement semble conduire à sa perte la fortune durement acquise par son père. Les femmes s’entredéchirent par haine et jalousie, tout cela sur fond d’une guerre civile, car tout semble s’effondrer dans cette petite bourgeoisie mais les femmes de la villa vont devoir effacer leur haine pour pouvoir déposséder Noula. Destins chamboulés, portraits tragiques des personnages. Femmes inflexibles décidées à vivre ou à mourir là ou elles vivent. Un très bon livre que j’ai vraiment apprécié.
Villa des femmes
Seuil 20 août 2015
ISBN 978 2 02 128017 3
278 pages
Quatrième de couverture
Tout sourit à Skandar Hayek. À la tête d'un négoce de tissu, il règne sur son usine, sur ses terres et sur son clan, malgré les nuages qui s’amoncellent sur le Liban en ce milieu des années 1960, malgré aussi les disputes incessantes entre Mado, son acariâtre de sœur, Marie, son épouse, et Karine, sa fille chérie. Quant au successeur, il sera bien temps, le moment venu, de le choisir, entre Noula, ce fils aîné qui ne doute de rien et surtout pas de lui-même, et Hareth, le cadet, épris de livres et d'aventures.
Depuis la terrasse ensoleillée de la villa familiale où il passe le plus clair de son temps, le narrateur, qui est aussi le chauffeur et le confident du vieux Skandar, observe et raconte un âge d'or que rien ne semble devoir vraiment ternir. Mais les aléas de la vie vont bouleverser cet ordre que tous croyaient immuable et pousser les femmes à prendre les rênes du domaine. Seul Hareth pourrait leur prêter main-forte. Mais Hareth est loin, il voyage de par le monde.
Mon avis
Charif Majdalani auteur libanais, avec un merveilleux sens du rythme, une écriture superbe et un talent de conteur très fort se sert de la voix du chauffeur et homme à tout faire de Skandar Hayek dirigeant une entreprise de tissage, pour nous narrer ces observations sur la vie des habitants du domaine. C’est surtout à la mort subite du vieil homme, que Noura, le fils cadet va prendre les rênes de l’entreprise, cependant une querelle de succession intervient alors que Noura par sa folie des grandeurs et son entêtement semble conduire à sa perte la fortune durement acquise par son père. Les femmes s’entredéchirent par haine et jalousie, tout cela sur fond d’une guerre civile, car tout semble s’effondrer dans cette petite bourgeoisie mais les femmes de la villa vont devoir effacer leur haine pour pouvoir déposséder Noula. Destins chamboulés, portraits tragiques des personnages. Femmes inflexibles décidées à vivre ou à mourir là ou elles vivent. Un très bon livre que j’ai vraiment apprécié.
lalyre- Grand sage du forum
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