[French, Nicci] Maudit mercredi: le jour où les jeunes filles rencontrent la mort

Desolee, je n'ai pas trouve de fil sur ce livre de Nicci French.


Presentation de l'editeur:
Ce mercredi-là, Ruth Lennox, épouse et mère aimée, est sauvagement assassinée. Aide-soignante charitable et voisine exemplaire, voilà une femme sans histoires, pensait l’inspecteur Karlsson. Jusqu’à ce que les langues se délient… Face aux mensonges d’une famille meurtrie, Karlsson a besoin de la psychothérapeute Frieda Klein, qui n’a pas son pareil pour déceler les noirs secrets de l’âme.

Mais sera-t-elle en mesure de l’aider ? Traumatisée par une récente agression, elle est mêlée de manière personnelle à l’affaire. Et ses méthodes de travail suscitent plus que jamais la critique, quand d’étranges intuitions la mènent sur la piste de jeunes filles disparues auxquelles personne ne s’intéresse… À corps perdu, Frieda se lance à la poursuite d’un tueur en série ignoré de tous. À moins qu’il ne soit que la projection de ses propres angoisses ?

Mon ressenti:
Je viens de lire la troisieme histoire sur Frieda Klein,  cette fascinente  psychotherapeute qui  agit souvent, malgre elle-meme, comme un enqueteur de la police. Il m’a semble que cette fois Frieda était beaucoup plus presente que policiers dans « l’aventure », comme si elle était la force motrice de l’action.
Les personnages du roman  avancent comme dans une realite hypnotique. Est-ce la brume de Londre qui laisse cette impression ? Et comme toujours la ville-meme est  aussi un personnage dans le roman.

Dans ce roman les passions sont bien dechainees. Il y a des viols, des adulteres, des trahisons, des abus, des assasinats – bref, beaucoup de noirceur.
J’aime beaucoup le personnage de Frieda, elle est irresistible – intuitive, intelligente, analytique, obsrvatrice, droite et courageuse, elle est genereuse et a un cœur d’or. Et en meme temps, elle est mysterieuse, silencieuse, enigmatique. On dirait un personnage des romans sur les chevaliers-protecteurs des faibles qui vit de nos jours.

C’est tellement prenant que j’ai hate de lire le roman sur le Terrible jeudi.