[Ogawa, Ito] La papeterie Tsubaki
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[Ogawa, Ito] La papeterie Tsubaki
Edition Philippe Picquier
Collection(s) Littérature Japon
Traducteur(s) : DARTOIS-AKO Myriam
384 pages
20,00€
ISBN-13 : 978-2-8097-1356-5
Date de parution : août 2018
Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d’un singe, des lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c’est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre des réconciliations inattendues.
J'avais adoré le restaurant de l'amour retrouvé (allez voir sur ce site!)
je retrouve avec plaisir le charme des héroïnes de Ito OGAWA .
La délicatesse des calligraphies, le choix du support, de l'encre et de l'outil scripteur .. tout est fait avec grand soin, Hatoko est attentive à son interlocuteur, dans un infini respect es traditions et c'est un ravissement.
Collection(s) Littérature Japon
Traducteur(s) : DARTOIS-AKO Myriam
384 pages
20,00€
ISBN-13 : 978-2-8097-1356-5
Date de parution : août 2018
Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d’un singe, des lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c’est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre des réconciliations inattendues.
J'avais adoré le restaurant de l'amour retrouvé (allez voir sur ce site!)
je retrouve avec plaisir le charme des héroïnes de Ito OGAWA .
La délicatesse des calligraphies, le choix du support, de l'encre et de l'outil scripteur .. tout est fait avec grand soin, Hatoko est attentive à son interlocuteur, dans un infini respect es traditions et c'est un ravissement.
Dernière édition par Cassiopée le Jeu 20 Déc 2018 - 16:59, édité 3 fois (Raison : Mises aux normes du nom d’auteur)
Invité- Invité
Re: [Ogawa, Ito] La papeterie Tsubaki
C est mon prochain. Recommander par ma bibliothécaire
angele13127- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 7731
Age : 46
Localisation : Vitrolles
Emploi/loisirs : aide soignante,moto,sport,marche
Genre littéraire préféré : un peu de tout sauf fantasy
Date d'inscription : 11/06/2010
Re: [Ogawa, Ito] La papeterie Tsubaki
Je viens de le finir.c'est ma bibliothèque qui la presenté à la rentrée litteraire d'automne.J'ai beaucoup apprécié,meme si il y a pas de chapitre mais des saisons.Il se lit facilement,on s'attache au personnage et à son histoire personnel j'ai particulièrement aimé une saison qui était plus personnel et c'est poétique.
Note:8/10
Note:8/10
angele13127- Grand sage du forum
-
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Localisation : Vitrolles
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Genre littéraire préféré : un peu de tout sauf fantasy
Date d'inscription : 11/06/2010
Re: [Ogawa, Ito] La papeterie Tsubaki
Mon ressenti
C’est une histoire lente, toute en douceur que celle que nous raconte cette papeterie. L’art de la calligraphie a besoin de temps, de contemplation, de choix, de sagesse. C’est un art. Hatoko est un écrivain public, elle va transmettre et raconter ce que certains n’arrivent pas ou plus à faire. Au travers des remerciements, des excuses, des faires parts, Hatoko rencontre différentes personnes. C’est leur histoire qui nous est comptée. J’ai été touchée par ces histoires émouvantes, sereines….
A déguster petit à petit pour s’imprégner de la réflexion et de cet art remis au goût du jour.
A découvrir
C’est une histoire lente, toute en douceur que celle que nous raconte cette papeterie. L’art de la calligraphie a besoin de temps, de contemplation, de choix, de sagesse. C’est un art. Hatoko est un écrivain public, elle va transmettre et raconter ce que certains n’arrivent pas ou plus à faire. Au travers des remerciements, des excuses, des faires parts, Hatoko rencontre différentes personnes. C’est leur histoire qui nous est comptée. J’ai été touchée par ces histoires émouvantes, sereines….
A déguster petit à petit pour s’imprégner de la réflexion et de cet art remis au goût du jour.
A découvrir
Pinky- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 8672
Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [Ogawa, Ito] La papeterie Tsubaki
Celui-ci a été offert à ma fille, j'aurai l'occasion (sinon encore le temps) de le lire.
elea2020- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 5875
Age : 56
Localisation : 44
Emploi/loisirs : enseignante en reconversion
Genre littéraire préféré : dystopies et classiques, littérature russe
Date d'inscription : 02/01/2020
Re: [Ogawa, Ito] La papeterie Tsubaki
Mon avis :
C'est le deuxième roman que je lis de cette autrice. Je l'ai trouvé dans une boite à livres. Je ne l'ai pas remis dans une boite à livres, je l'ai donné à une ancienne élève, pour qu'il poursuive sa route, parce que je la savais passionnée par la culture japonaise.
Hatoko est écrivain public, et je n'aurai jamais pensé qu'exercer ce métier était si compliqué au Japon. Il faut en effet penser à tout, chaque situation est unique, donc chaque lettre se doit d'être totalement unique. Hatoko est souvent l'unique confidente de ses clients, elle respecte scrupuleusement les règles de la confidentialité. Au cours des quatre saisons que durera ce roman, elle rencontrera toutes les situations dans lesquelles l'on peut être amené à écrire, à vouloir mettre des mots sur ce que l'on ressent. Hatoko elle-même se penche sur son passé, sur ses liens avec sa grand-mère si sévère, sur sa mère qu'elle n'a pas connu et dont elle ne sait pas ce qu'elle est devenue.
Il y a beaucoup de douceur dans ce roman, beaucoup de délicatesse aussi, parce que les situations qui nous sont contées, qui nous permettent de rentrer dans l'intimité de ses personnages - intimité ne veut pas dire voyeurisme - sont souvent délicates.
J'ai depuis commencé la lecture de La république du bonheur.
C'est le deuxième roman que je lis de cette autrice. Je l'ai trouvé dans une boite à livres. Je ne l'ai pas remis dans une boite à livres, je l'ai donné à une ancienne élève, pour qu'il poursuive sa route, parce que je la savais passionnée par la culture japonaise.
Hatoko est écrivain public, et je n'aurai jamais pensé qu'exercer ce métier était si compliqué au Japon. Il faut en effet penser à tout, chaque situation est unique, donc chaque lettre se doit d'être totalement unique. Hatoko est souvent l'unique confidente de ses clients, elle respecte scrupuleusement les règles de la confidentialité. Au cours des quatre saisons que durera ce roman, elle rencontrera toutes les situations dans lesquelles l'on peut être amené à écrire, à vouloir mettre des mots sur ce que l'on ressent. Hatoko elle-même se penche sur son passé, sur ses liens avec sa grand-mère si sévère, sur sa mère qu'elle n'a pas connu et dont elle ne sait pas ce qu'elle est devenue.
Il y a beaucoup de douceur dans ce roman, beaucoup de délicatesse aussi, parce que les situations qui nous sont contées, qui nous permettent de rentrer dans l'intimité de ses personnages - intimité ne veut pas dire voyeurisme - sont souvent délicates.
J'ai depuis commencé la lecture de La république du bonheur.
Sharon- Modérateur
-
Nombre de messages : 13263
Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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