[Orwell, George] 1984
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Votre avis sur "1984" de George Orwell
Re: [Orwell, George] 1984
Merci beaucoup Denis76.
Très intéressante analyse comparative.
Très intéressante analyse comparative.
Moulin-à-Vent- Grand sage du forum
-
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Re: [Orwell, George] 1984
J'avais inscrit ce livre à ma liste, mais ta critique Denis, me refroidit un peu je dois dire.
Invité- Invité
Re: [Orwell, George] 1984
Merci Moulin !
En fait, j'ai lu ces deux livres l'un après l'autre, car je supputais qu'on puisse comparer !
B Cheerubs, tu fais une tête ! LOL...Euh, excuses moi...Tu peux le lire si tu es bien calé dans tes starting blocks au départ, sachant que la lecture est ennuyeuse et refroidissante, mais que nonobstant c'est un sujet très intéressant !
Il faut remettre les choses dans leur contexte : si Orwell était en Angleterre pendant la période hitlérienne, il a dû subir les bombes et la privation. Mon hypothèse est qu'il essaye sans doute de dissuader l'occident de suivre le modèle soviétique.
Il a quand même 61% de coups de cœur, ce qui est rare !
Ce qui est intéressant, c'est que ce livre est une "œuvre", un truc historique, et on est obligés d'y réagir, il ne laisse pas indifférent, et c'est ce que l'auteur souhaite. En ce sens, il a atteint son but !
En fait, j'ai lu ces deux livres l'un après l'autre, car je supputais qu'on puisse comparer !
B Cheerubs, tu fais une tête ! LOL...Euh, excuses moi...Tu peux le lire si tu es bien calé dans tes starting blocks au départ, sachant que la lecture est ennuyeuse et refroidissante, mais que nonobstant c'est un sujet très intéressant !
Il faut remettre les choses dans leur contexte : si Orwell était en Angleterre pendant la période hitlérienne, il a dû subir les bombes et la privation. Mon hypothèse est qu'il essaye sans doute de dissuader l'occident de suivre le modèle soviétique.
Il a quand même 61% de coups de cœur, ce qui est rare !
Ce qui est intéressant, c'est que ce livre est une "œuvre", un truc historique, et on est obligés d'y réagir, il ne laisse pas indifférent, et c'est ce que l'auteur souhaite. En ce sens, il a atteint son but !
Invité- Invité
Re: [Orwell, George] 1984
Ce qui est je pense le plus fou dans ce livre, c'est à quel point ce livre est visionnaire!
Il a été écrit en 1948 et était à ce moment-là futuriste, presque irréel et en le lisant aujourd'hui, on se rend compte qu'on s'en approche, sans verser évidemment dans l'extrême.
Big brother is watching you : très actuel comme sujet, avec les écoutes de la NSA,... On est surveillé, épié,... Je pense que pour bien apprécier le livre, il faut comparer ce dont Wild ne "conseillait" de fuir avec notre réalité et cette comparaison est très intéressante!
Petit conseil : le lire après quelques livres plus léger et surtout acheter un exemplaire qui vous avez bien en main: le mien date de 1984 (non non c'est pas une blague) et la police d'écriture est vraiment pas agréable, ce qui a rajouté quelques difficultés à ma lecture!
Il a été écrit en 1948 et était à ce moment-là futuriste, presque irréel et en le lisant aujourd'hui, on se rend compte qu'on s'en approche, sans verser évidemment dans l'extrême.
Big brother is watching you : très actuel comme sujet, avec les écoutes de la NSA,... On est surveillé, épié,... Je pense que pour bien apprécier le livre, il faut comparer ce dont Wild ne "conseillait" de fuir avec notre réalité et cette comparaison est très intéressante!
Petit conseil : le lire après quelques livres plus léger et surtout acheter un exemplaire qui vous avez bien en main: le mien date de 1984 (non non c'est pas une blague) et la police d'écriture est vraiment pas agréable, ce qui a rajouté quelques difficultés à ma lecture!
Dernière édition par Lilo85 le Lun 28 Avr 2014 - 20:04, édité 1 fois
Re: [Orwell, George] 1984
Plus léger (enfin, je trouve) sur le thème anticipation utopiste, il y a aussi "Un bonheur insoutenable", d'Ira Levin, qui a également été critiqué sur le forum et que j'avais lu et apprécié étant jeune.
Invité- Invité
Re: [Orwell, George] 1984
C'est vrai, Lilou.
Dans "person of interest" il y a des cameras partout, contrôlées par "la machine".
Toutes les écoutes téléphoniques
Les paparazzis,
les contrôles sur les réseaux sociaux,
etc....
On est plus ou moins dans "1984", mais nous, nous sommes " les prolétaires", donc pas dangereux pour le sacro saint "Pouvoir"....
Dans "person of interest" il y a des cameras partout, contrôlées par "la machine".
Toutes les écoutes téléphoniques
Les paparazzis,
les contrôles sur les réseaux sociaux,
etc....
On est plus ou moins dans "1984", mais nous, nous sommes " les prolétaires", donc pas dangereux pour le sacro saint "Pouvoir"....
Invité- Invité
Re: [Orwell, George] 1984
Pour mon premier vrai post ici, petit retour sur une de mes plus grandes claques littéraires - rien que ça !! - avec 1984, le chef d'oeuvre dystopique d'Orwell.
Déjà, avant de commencer ...
J'ai lu La Ferme des Animaux quelques mois avant de m'attaquer à l'intimidant 1984, et à mon avis, ce n'est pas une bonne idée de vouloir les comparer :
Animal's Farm est une fable bouillonnante sur le stalinisme, grinçante et pleine d'ironie, confinant selon moi au cimes de l'humour, tandis que 1984 est un récit s’inspirant de toutes les dictatures de son époque, beaucoup plus froid, plus long, plus abscons et, surtout, infiniment plus pessimiste et plus sombre qu'Animal's Farm.
Cependant, on peut noter certaines similitudes, en particulier dans le traitement de la manipulation de la mémoire collective :
modifications des phrases notées sur la grange par les cochons = modifications des archives des médias par Winston par exemple
Bien, après cette mise au point, revenons à 1984 ...
le style ...
Le style est cursif et limpide, sans afféteries, d'ailleurs Orwell l'assumait totalement ; sa prose doit être :
le novlangue ...
L'une des choses qui m'a le plus plue dans 1984, c'est le travail sur le langage, avec le - et non la !! - fameux novlangue, tout simplement effrayant de réalisme.
Il pose la problématique que je trouve passionnant du lien entre l'appauvrissement du vocabulaire et l'abrutissement de masse [exemple en image] :
Dans une optique un brin différente, la langue du Parti et le novlangue sont des éléments très intéressants quant à la rhétorique des régimes dictatoriaux ( cf. le travail de Victor Klemperer sur les nazis ).
la forme ...
1984 se divise en 3 parties et un Appendice ( = explication du novlangue et de son rapport à l’Angsoc ).
Le mot de la fin ...
Bref, un bouquin génial, étrangement et tristement visionnaire, au style tellement bien adapté à un sujet malheureusement si actuel.
Note : 19/20
LesAilesBrisées
Déjà, avant de commencer ...
J'ai lu La Ferme des Animaux quelques mois avant de m'attaquer à l'intimidant 1984, et à mon avis, ce n'est pas une bonne idée de vouloir les comparer :
Animal's Farm est une fable bouillonnante sur le stalinisme, grinçante et pleine d'ironie, confinant selon moi au cimes de l'humour, tandis que 1984 est un récit s’inspirant de toutes les dictatures de son époque, beaucoup plus froid, plus long, plus abscons et, surtout, infiniment plus pessimiste et plus sombre qu'Animal's Farm.
Cependant, on peut noter certaines similitudes, en particulier dans le traitement de la manipulation de la mémoire collective :
modifications des phrases notées sur la grange par les cochons = modifications des archives des médias par Winston par exemple
Bien, après cette mise au point, revenons à 1984 ...
le style ...
Le style est cursif et limpide, sans afféteries, d'ailleurs Orwell l'assumait totalement ; sa prose doit être :
La clarté, presque rigide de l’écriture fait partie entière de sa démarche :Orwell a écrit:« like a window pane » (= «comme une vitre transparente»).
Pas énormément de description, un vocabulaire et une écriture très technique, je comprend parfaitement que cela puisse rebuter à première vue, néanmoins je trouve que cela participe grandement à l'ambiance du livre - et à sa réussite !!Orwell a écrit:« Je dirai simplement que ces dernières années, j’ai essayé d’écrire de manière moins imagée et plus exacte »
le novlangue ...
L'une des choses qui m'a le plus plue dans 1984, c'est le travail sur le langage, avec le - et non la !! - fameux novlangue, tout simplement effrayant de réalisme.
Il pose la problématique que je trouve passionnant du lien entre l'appauvrissement du vocabulaire et l'abrutissement de masse [exemple en image] :
1984, Partie I, Chapitre 5 a écrit:" Ne voyez-vous pas que le véritable but du novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? À la fin, nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée, car il n'y aura plus de mots pour l'exprimer. Tous les concepts nécessaires seront exprimés chacun exactement par un seul mot dont le sens sera rigoureusement délimité. Toutes les significations subsidiaires seront supprimées et oubliées. "
Dans une optique un brin différente, la langue du Parti et le novlangue sont des éléments très intéressants quant à la rhétorique des régimes dictatoriaux ( cf. le travail de Victor Klemperer sur les nazis ).
la forme ...
1984 se divise en 3 parties et un Appendice ( = explication du novlangue et de son rapport à l’Angsoc ).
- Mes commentaires très très succincts ... :
Le I plante le décor et permet de commencer à approcher le personnage de Winston, avec ses doutes et son envie de trouver sa place dans la société.
Le II, qui relate la rentrée en « résistance » de W. Smith, sa rencontre avce Julia, et sa lecture du livre est plutôt intéressant, mais pas totalement transcendant. Je pense que c’est la partie suivante qui m’a le plus marquée.
Le III fait parti des textes les plus durs que je n’ai jamais lu, car en plus de la violence physique, s’ajoute l’hallucinante violence psychologique et le douloureux pouvoir de la manipulation mentale.
L'Appendice est super sympa à lire, je vous conseille de le lire avant d'attaquer le récit en tant que tel, ça facilitera grandement la compréhension de certains passages où ça jargonne dur.
Le mot de la fin ...
Bref, un bouquin génial, étrangement et tristement visionnaire, au style tellement bien adapté à un sujet malheureusement si actuel.
Note : 19/20
LesAilesBrisées
Dernière édition par Les Ailes Brisées le Lun 29 Fév 2016 - 2:00, édité 1 fois (Raison : Ptite retouche mise-en-page)
Invité- Invité
Re: [Orwell, George] 1984
Bon faudra être indulgent, je n'ai fait qu'essayer de mettre en ordre les annotations qui courent sur marges de mon bouquin ...
Sinon, si vous souhaitez allez plus loin,, vous pouvez aller écouter sur YT des extraits (l'ouverture et le début du I par ex.) de l'opéra 1984 écrit par Lorin Maazel d'après Orwell et créé en 2005 [commentaire de mélomane prosélyte/off].
C'est plutôt sympa et simple d'approche.
Sinon, si vous souhaitez allez plus loin,, vous pouvez aller écouter sur YT des extraits (l'ouverture et le début du I par ex.) de l'opéra 1984 écrit par Lorin Maazel d'après Orwell et créé en 2005 [commentaire de mélomane prosélyte/off].
C'est plutôt sympa et simple d'approche.
Invité- Invité
Re: [Orwell, George] 1984
Bon, cette critique ne sera pas aussi bonne que les vôtres, mais je me lance :
L'histoire se déroule en 1984 dans la vie de Winston Smith, à Londres.
Ce livre nous plonge complètement, par des mots parfaitement choisis et une atmosphère lourde, pesante, désespérante, dans cet horrible monde totalitaire où il n'existe aucune issue. Même le fait d'être dévoué corps et âme au Parti ne suffit pas à épargner les hommes.
L'expression « Big Brother » est utilisée pour qualifier toutes les institutions ou pratiques portant atteinte aux libertés fondamentales et à la vie privée des populations ou des individus.
Dans « 1984 », « Big Brother », n'apparaît jamais en personne et est représenté par le visage d'un homme d'environ 45 ans, moustachu, fixant les gens dans les yeux à travers le télécran, dans une expression qui se veut à la fois rassurante et sévère. (Staline ?)
Dans ce livre, on parle du « Parti », où ont été enlevés les sentiments tels que l'amour et l'amitié.
Le fait de rapprocher « Big Brother » de Staline est également louable par sa ressemblance, certes, mais également dans le régime totalitaire anglais, l'Angsoc. Tout le monde levés à la même heure, culte du corps, tous des moutons, le rationnement, la propagande de la haine, etc.
Jour à jour ou plutôt minute par minute, le travail de Winston est de mettre à jour le passé dans toute la littérature ou documents décrivant le « passé ». « L'Histoire tout entière était un palimpseste gratté et réécrit aussi souvent que c'était nécessaire. »
Le problème de Winston c'est qu'il se rappelle des temps avant la Révolution. Il se rend compte des changements et de l'atteinte à liberté. Il cherche désespérément quelqu'un qui comme lui est contre le Parti. Mais n'est-il pas plutôt fou ?
Que se passe-t-il ensuite ? A vous de le découvrir
L'histoire se déroule en 1984 dans la vie de Winston Smith, à Londres.
Ce livre nous plonge complètement, par des mots parfaitement choisis et une atmosphère lourde, pesante, désespérante, dans cet horrible monde totalitaire où il n'existe aucune issue. Même le fait d'être dévoué corps et âme au Parti ne suffit pas à épargner les hommes.
L'expression « Big Brother » est utilisée pour qualifier toutes les institutions ou pratiques portant atteinte aux libertés fondamentales et à la vie privée des populations ou des individus.
Dans « 1984 », « Big Brother », n'apparaît jamais en personne et est représenté par le visage d'un homme d'environ 45 ans, moustachu, fixant les gens dans les yeux à travers le télécran, dans une expression qui se veut à la fois rassurante et sévère. (Staline ?)
Dans ce livre, on parle du « Parti », où ont été enlevés les sentiments tels que l'amour et l'amitié.
Le fait de rapprocher « Big Brother » de Staline est également louable par sa ressemblance, certes, mais également dans le régime totalitaire anglais, l'Angsoc. Tout le monde levés à la même heure, culte du corps, tous des moutons, le rationnement, la propagande de la haine, etc.
Jour à jour ou plutôt minute par minute, le travail de Winston est de mettre à jour le passé dans toute la littérature ou documents décrivant le « passé ». « L'Histoire tout entière était un palimpseste gratté et réécrit aussi souvent que c'était nécessaire. »
Le problème de Winston c'est qu'il se rappelle des temps avant la Révolution. Il se rend compte des changements et de l'atteinte à liberté. Il cherche désespérément quelqu'un qui comme lui est contre le Parti. Mais n'est-il pas plutôt fou ?
Que se passe-t-il ensuite ? A vous de le découvrir
Eiger- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 16/02/2016
Re: [Orwell, George] 1984
Je viens de terminé ce livre et je le trouve excellent.
Ce n'est pas un coup de coeur car je trouve que c'est un livre qui ne me fait pas naviguer sur mes divers sentiments mais qui au contraire m'amène au fond puis me dit creuse creuse creuse. C'est prennant, fort en émotion mais peut être pas assez varié de ce point de vue là à mon goût.
1984 est excellent car même si la dictature décrite est caricaturale, on y retrouve de nombreux aspects des dictatures passés :
- le contrôle des jeunesses (jeunesses hitlériennes)
- le culte de la personnalité (coucou staline)
- l'aveuglément massif de la population (rwanda power)
- la destruction de la pensée et du passé (les autodatifés : un classique)
Bref une caricature certe, mais rappelant que toute caricature s'inspire d'un modèle bien réel et c'est là que ça commence à piquer ^^.
De plus même si G.Orwell ne prédit pas parfaitement l'évolution technologique on en est pas loin :
- les télécrans ne sont ils pas les pc équipés d'internet d'aujourd'hui (et oui une cam est si facilement activé à distance), je parle même pas des technologies toutes récentes de contrôle du foyer
- la division en trois catégorie "les puissants/riches" qui ne veulent pas bouger, "les moyens" qui veulent prendre la place des premiers et les "pauvres" qui aspirent à l'égalité est tellement d'actualité
Bref un livre génial qui s'inspire énormément de notre passé est a su partiellement prédire notre présent et peut être notre futur (encore une fois sous forme de caricature)
Bravo
Ce n'est pas un coup de coeur car je trouve que c'est un livre qui ne me fait pas naviguer sur mes divers sentiments mais qui au contraire m'amène au fond puis me dit creuse creuse creuse. C'est prennant, fort en émotion mais peut être pas assez varié de ce point de vue là à mon goût.
1984 est excellent car même si la dictature décrite est caricaturale, on y retrouve de nombreux aspects des dictatures passés :
- le contrôle des jeunesses (jeunesses hitlériennes)
- le culte de la personnalité (coucou staline)
- l'aveuglément massif de la population (rwanda power)
- la destruction de la pensée et du passé (les autodatifés : un classique)
Bref une caricature certe, mais rappelant que toute caricature s'inspire d'un modèle bien réel et c'est là que ça commence à piquer ^^.
De plus même si G.Orwell ne prédit pas parfaitement l'évolution technologique on en est pas loin :
- les télécrans ne sont ils pas les pc équipés d'internet d'aujourd'hui (et oui une cam est si facilement activé à distance), je parle même pas des technologies toutes récentes de contrôle du foyer
- la division en trois catégorie "les puissants/riches" qui ne veulent pas bouger, "les moyens" qui veulent prendre la place des premiers et les "pauvres" qui aspirent à l'égalité est tellement d'actualité
Bref un livre génial qui s'inspire énormément de notre passé est a su partiellement prédire notre présent et peut être notre futur (encore une fois sous forme de caricature)
Bravo
Lorenzo- Membre assidu
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