[Bauer, Belinda] Sous les bruyères
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[Bauer, Belinda] Sous les bruyères
295 pages
Éditeur: Fleuve Noir
4ème de couverture :
Steven n'a que douze ans et pourtant, il entretient une relation épistolaire avec un tueur en série... C'est le seul moyen qu'il a trouvé pour en finir avec cette histoire familiale qui lui empoisonne l'existence.
Car Steven en a assez de creuser la lande à la recherche du corps de son oncle Billy, disparu à peu près au même âge que lui. Persuadé que sa mère et sa grand-mère ne parviendront jamais à faire leur deuil, il entre en contact avec Arnold Avery, incarcéré pour le meurtre de plusieurs enfants dans la région à la même période. Pour Steven, Billy est forcément tombé entre ses griffes. C'est bien pour cela qu'il lui écrit une lettre énigmatique destinée à piquer sa curiosité. Et le stratagème fonctionne ! Le détenu lui répond, et tous deux instaurent une correspondance codée, afin de tromper la vigilance des gardiens.
Mais Steven n'imagine pas dans quel engrenage il a mis le doigt. Car Arnold Avery n'est pas seulement un meurtrier rusé et sans scrupules, il est aussi joueur et s'ennuie depuis beaucoup trop longtemps dans sa cellule...
Belinda Bauer est une auteure et scénariste anglaise installée au pays de Galles. Sous les bruyères est son premier roman.
Mon avis : Rares sont les polars féminins où un enfant s'adresse à un meurtrier en série.
Sous les bruyères est donc un roman atypique où le héros de 12 ans vit encore dans un drame qui hante la famille. C'est tout le monde de l'enfance qui est évoqué, avec ses peurs et ses cauchemars, son envie aussi de rejoindre le monde des adultes sans connaître le prix à en payer.
Un livre écrit avec beaucoup de sensibilité et de perspicacité avec une écriture fluide. La mise en danger d'un enfant n'était pas chose facile, Belinda Bauer s'en sort avec intelligence sans jamais déraper.
Invité- Invité
Re: [Bauer, Belinda] Sous les bruyères
Hmm.
Je prends note. Merci pour ta critique, je l'ajoute de suite à ma LAL.
Je prends note. Merci pour ta critique, je l'ajoute de suite à ma LAL.
Invité- Invité
Re: [Bauer, Belinda] Sous les bruyères
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Ironman- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Chercheur/Doctorant
Genre littéraire préféré : policier, thriller, fantastique, horreur, manga
Date d'inscription : 30/06/2008
Re: [Bauer, Belinda] Sous les bruyères
Tout d'abord, je remercie les éditions 10/18 ainsi que le site partage lecture pour m'avoir permis de découvrir cet ouvrage.
Enfant mal aimé, Steven 12 ans, pour obtenir la tendresse de sa mère et de sa grand-mère part à la recherche du cadavre de son oncle William, dit Billy, assassiné par un tueur en série alors que ce dernier avait son âge.
A la lecture du quart de couverture je m'attendais à un roman épistolaire puisqu'il est question de correspondance entre le jeune garçon et le meurtrier présumé. En fait il n'en est rien, les échanges entre les deux protagonistes phares de ce récit sont très concis et énigmatiques, c'est par ailleurs un petit bémol que j'émettrais puisque selon moi les courriers de Steven me semblent un peu trop recherchés pour un garçon de 12ans.
Au premier abord j'ai eu vraiment peur à la vue de la taille des caractères, mais je suis tombée sous le charme de la narration de l'auteure, les personnages sont attachants et très travaillés, le lecteur peut facilement se mettre dans la peau du garçon et de l'assassin :
Steven est attachant et brillant (voir trop comme je le disais précédemment, parallèlement à cela il est très ignorant concernant les relations amoureuses) le lecteur est donc amadoué par ce petit garçon pauvre qui fait pitié par sa dévotion et sa bravoure.
Le tueur, Arnold Avery, est quant à lui présenté comme un fou furieux, assez intelligent pour dissimuler sa démence aux psychiatres. Ce dernier ne se repentira jamais et ressent même une jouissance extrême à chaque fois qu'il se remémore ses méfaits passés.
Le bien et le mal face à face, une petite proie facile que l'on voit peu à peu tomber dans le piège d'un pervers, le suspens est omniprésent.
J'admire la richesse des personnages. L'histoire est légère et se lit facilement. Le récit, c'est dommage, à tendance à s'essouffler un peu à la moitié du livre et la fin est trop prévisible à mon sens. Je ne dénote pas de rebondissement malgré le suspens qui aurait pu être d'autant plus accentué si le quart de couverture n'en révélait pas tant.
Pour conclure l'histoire est originale et magnifiquement bien narrée il n'y a aucun doute là-dessus car, il est intéressant de se mettre dans la peau d'un enfant faisant partie d'une famille brisée par un drame familial, et dans la tête d'un dérangé qui ne pense qu'à réitérer ses méfaits, cependant au niveau action le récit me semble trop limité pour que je puisse en faire un coup de cœur. Je pense également que si l'on m'avait demandé d'imaginer la fin de ce récit avec pour base le quatrième de couverture j'aurai probablement été très proche de celle présentée.
Enfant mal aimé, Steven 12 ans, pour obtenir la tendresse de sa mère et de sa grand-mère part à la recherche du cadavre de son oncle William, dit Billy, assassiné par un tueur en série alors que ce dernier avait son âge.
A la lecture du quart de couverture je m'attendais à un roman épistolaire puisqu'il est question de correspondance entre le jeune garçon et le meurtrier présumé. En fait il n'en est rien, les échanges entre les deux protagonistes phares de ce récit sont très concis et énigmatiques, c'est par ailleurs un petit bémol que j'émettrais puisque selon moi les courriers de Steven me semblent un peu trop recherchés pour un garçon de 12ans.
Au premier abord j'ai eu vraiment peur à la vue de la taille des caractères, mais je suis tombée sous le charme de la narration de l'auteure, les personnages sont attachants et très travaillés, le lecteur peut facilement se mettre dans la peau du garçon et de l'assassin :
Steven est attachant et brillant (voir trop comme je le disais précédemment, parallèlement à cela il est très ignorant concernant les relations amoureuses) le lecteur est donc amadoué par ce petit garçon pauvre qui fait pitié par sa dévotion et sa bravoure.
Le tueur, Arnold Avery, est quant à lui présenté comme un fou furieux, assez intelligent pour dissimuler sa démence aux psychiatres. Ce dernier ne se repentira jamais et ressent même une jouissance extrême à chaque fois qu'il se remémore ses méfaits passés.
Le bien et le mal face à face, une petite proie facile que l'on voit peu à peu tomber dans le piège d'un pervers, le suspens est omniprésent.
J'admire la richesse des personnages. L'histoire est légère et se lit facilement. Le récit, c'est dommage, à tendance à s'essouffler un peu à la moitié du livre et la fin est trop prévisible à mon sens. Je ne dénote pas de rebondissement malgré le suspens qui aurait pu être d'autant plus accentué si le quart de couverture n'en révélait pas tant.
Pour conclure l'histoire est originale et magnifiquement bien narrée il n'y a aucun doute là-dessus car, il est intéressant de se mettre dans la peau d'un enfant faisant partie d'une famille brisée par un drame familial, et dans la tête d'un dérangé qui ne pense qu'à réitérer ses méfaits, cependant au niveau action le récit me semble trop limité pour que je puisse en faire un coup de cœur. Je pense également que si l'on m'avait demandé d'imaginer la fin de ce récit avec pour base le quatrième de couverture j'aurai probablement été très proche de celle présentée.
Invité- Invité
Re: [Bauer, Belinda] Sous les bruyères
Auteur : Belinda BAUER
Titre: Sous les Bruyères
Éditeur: 10/18
Nombre de pages: 296
ISBN: 978-2-264-05354-1
Quatrième de couverture:
Steven n’a que douze ans. Pourtant, depuis quelque temps, il entretient une relation épistolaire avec un tuer en série. Il faut dire que la destinée familiale de Steven est des plus dramatiques. Son oncle Billy a disparu au même âge que lui, dans la lande.
Persuadé que sa mère et sa grand-mère ne parviendront jamais à faire leur deuil, il entre en contact avec Arnold Avery, un assassin d’enfants aujourd’hui en prison.
Pour Steven, Billy est forcément tombé entre ses griffes. C’est le début d’une correspondance codée et dangereuse, un dialogue ambigu qui se meut rapidement en engrenage fatal. Car dans l’ombre de sa cellule exiguë, le sombre Arnold fomente son piège. Et personne n’en sortira indemne.
Un des personnages principal de ce roman est « Exmoor », une lande immense d’Angleterre où le temps s’égrène au rythme du brouillard et de la brume qui tentent de cacher ce paysage à l’atmosphère mystérieuse. Un enfant de douze ans, Steven parcoure patiemment ces abruptes terres creusant maladroitement à l’aide d’une bêche. Il ne cherche pas un trésor ni un quelconque objet, Steven recherche le corps de son oncle enlevé au même âge que lui. Obnubilé par le vide immense laissé par cet oncle qu’il n’a pas connu mais qui pèse lourdement dans son foyer, Steven trop mûr pour son âge, beaucoup trop blessé par ce deuil impossible, s’est imposé la lourde tâche de retrouver ce corps sans vie afin que sa grand-mère cesse enfin d’attendre le retour de son fils.
Steven est un enfant empathique, tellement enclin à penser d’abord au bien-être de ceux qui lui sont chers qu’il va délibérément endosser un rôle hors « mesure » qui va le conduire sur des chemins sur lesquels un enfant ne devrait pas se trouver.
L’histoire est terrifiante, impressionnante, le comportement de Steven est à la fois insensé et pragmatique, même si on s’attache forcément à lui, à certains passages on aurait presque envie de se jeter dans les lignes pour lui dire qu’il va beaucoup trop loin parce qu’il s’attaque à un monstre qui fait partie du monde réel.
L’auteur aborde le thème des enlèvements et disparitions tragiques des enfants qui tombent entre les mains de pédophiles criminels. Ce thème maintes fois visités par la littérature est ici abordé de façon originale, l’auteure livre l’expérience d’un jeune membre de la famille qui va évidemment avoir un regard totalement différent de celui des parents. Steven n’a pas vécu le drame en direct mais ce n’est pas plus simple pour lui, il ne sait pas comment évoluer dans ce vide laissé par cet oncle disparu, ce vide qui l’empêcherait presque d’exister aux yeux de sa mère et de sa grand-mère.
L’auteure se posera en calme narratrice, qui nous fera tantôt passer du côté du bien et de la justice avec Steven , tantôt du côté du mal à l’état pur avec Arnold Avery, l’assassin d’enfants, un être froid, calculateur, un personnage dont on suit presque à contrecoeur le cours de ses pensées abjectes qui infectent un peu plus son cerveau déjà malade. Sans effets inutiles, avec beaucoup de justesse Belinda Bauer capte l’attention du lecteur .
Le roman à la manière d’un pur thriller nous tiendra en haleine, commençant sur un rythme lent et grave avec les pensées d’un enfant en souffrance pour ensuite nous entraîner vers une spirale sombre dont on craint la fin.
L’histoire n’est pas basée sur des faits réels mais le récit n’en demeure pas moins très réaliste et déroutant dans la façon dont sont présentés les personnages et les évènements en laissant l’amère impression que ce genre d’histoire terrifiante pourrait hélas se produire.
Je remercie les éditions 10/18 ainsi que le forume Partge Lecture pour cette lecture qui m'a "remuée"!
Titre: Sous les Bruyères
Éditeur: 10/18
Nombre de pages: 296
ISBN: 978-2-264-05354-1
Quatrième de couverture:
Steven n’a que douze ans. Pourtant, depuis quelque temps, il entretient une relation épistolaire avec un tuer en série. Il faut dire que la destinée familiale de Steven est des plus dramatiques. Son oncle Billy a disparu au même âge que lui, dans la lande.
Persuadé que sa mère et sa grand-mère ne parviendront jamais à faire leur deuil, il entre en contact avec Arnold Avery, un assassin d’enfants aujourd’hui en prison.
Pour Steven, Billy est forcément tombé entre ses griffes. C’est le début d’une correspondance codée et dangereuse, un dialogue ambigu qui se meut rapidement en engrenage fatal. Car dans l’ombre de sa cellule exiguë, le sombre Arnold fomente son piège. Et personne n’en sortira indemne.
Un des personnages principal de ce roman est « Exmoor », une lande immense d’Angleterre où le temps s’égrène au rythme du brouillard et de la brume qui tentent de cacher ce paysage à l’atmosphère mystérieuse. Un enfant de douze ans, Steven parcoure patiemment ces abruptes terres creusant maladroitement à l’aide d’une bêche. Il ne cherche pas un trésor ni un quelconque objet, Steven recherche le corps de son oncle enlevé au même âge que lui. Obnubilé par le vide immense laissé par cet oncle qu’il n’a pas connu mais qui pèse lourdement dans son foyer, Steven trop mûr pour son âge, beaucoup trop blessé par ce deuil impossible, s’est imposé la lourde tâche de retrouver ce corps sans vie afin que sa grand-mère cesse enfin d’attendre le retour de son fils.
Steven est un enfant empathique, tellement enclin à penser d’abord au bien-être de ceux qui lui sont chers qu’il va délibérément endosser un rôle hors « mesure » qui va le conduire sur des chemins sur lesquels un enfant ne devrait pas se trouver.
L’histoire est terrifiante, impressionnante, le comportement de Steven est à la fois insensé et pragmatique, même si on s’attache forcément à lui, à certains passages on aurait presque envie de se jeter dans les lignes pour lui dire qu’il va beaucoup trop loin parce qu’il s’attaque à un monstre qui fait partie du monde réel.
L’auteur aborde le thème des enlèvements et disparitions tragiques des enfants qui tombent entre les mains de pédophiles criminels. Ce thème maintes fois visités par la littérature est ici abordé de façon originale, l’auteure livre l’expérience d’un jeune membre de la famille qui va évidemment avoir un regard totalement différent de celui des parents. Steven n’a pas vécu le drame en direct mais ce n’est pas plus simple pour lui, il ne sait pas comment évoluer dans ce vide laissé par cet oncle disparu, ce vide qui l’empêcherait presque d’exister aux yeux de sa mère et de sa grand-mère.
L’auteure se posera en calme narratrice, qui nous fera tantôt passer du côté du bien et de la justice avec Steven , tantôt du côté du mal à l’état pur avec Arnold Avery, l’assassin d’enfants, un être froid, calculateur, un personnage dont on suit presque à contrecoeur le cours de ses pensées abjectes qui infectent un peu plus son cerveau déjà malade. Sans effets inutiles, avec beaucoup de justesse Belinda Bauer capte l’attention du lecteur .
Le roman à la manière d’un pur thriller nous tiendra en haleine, commençant sur un rythme lent et grave avec les pensées d’un enfant en souffrance pour ensuite nous entraîner vers une spirale sombre dont on craint la fin.
L’histoire n’est pas basée sur des faits réels mais le récit n’en demeure pas moins très réaliste et déroutant dans la façon dont sont présentés les personnages et les évènements en laissant l’amère impression que ce genre d’histoire terrifiante pourrait hélas se produire.
Je remercie les éditions 10/18 ainsi que le forume Partge Lecture pour cette lecture qui m'a "remuée"!
Sara2a- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 3030
Age : 54
Localisation : Porto-Vecchio
Genre littéraire préféré : Thrillers, fantastiques et un peu de tout ce qui peut me tomber sous les yeux .
Date d'inscription : 24/01/2010
Re: [Bauer, Belinda] Sous les bruyères
Ce livre m'avait attiré lorsqu'il avait été proposé, merci pour vos critiques
Invité- Invité
Re: [Bauer, Belinda] Sous les bruyères
Auteur : Belinda BAUER
Titre : Sous les bruyères
Editions : 10/18
Année : 2011
Nombre de pages : 293
C'est le printemps, imaginez-vous la lande d'Exmoor et ses bruyères toutes fleuries, une petite brise légère qui vous caresse le visage, les enfants qui jouent innocemment...
Vous n'y êtes pas du tout. "Exmoor, ses fougères sales, ses herbes rêches, sans couleur, ses ajoncs piquants, et la bruyère de l'an passé, si noire qu'on croirait le paysage ravagé par un feu humide qui aurait emporté les arbres, laissant la lande glacée, exposée solitaire à l'hiver, sans protection. L'horizon se dissout dans le crachin, qui mêle ciel et terre en un cocon de coton gris, dont seule émerge une silhouette : un garçon d'une douzaine d'années, nu-tête, vêtu d'un pantalon imperméable noir, luisant de pluie, et affublé d'une bêche."
Voilà le tableau d'entrée de Sous les bruyères. Le garçon, c'est Steven Lamb, de Shipcott, un gamin issu "de cette carapace de douleur, de ressentiment et de pauvreté" qui marque sa famille. Pour sortir de cette carapace, pour rendre un semblant de sourire à sa grand-mère et à sa mère, il s'est mis en tête de creuser la lande pour retrouver le corps de son oncle Billy, tué des années plus tôt après avoir été enlevé. Steven, qui a maintenant l'âge de son oncle au moment de son assassinat, décide d'écrire dans sa prison à Arnold Avery, un pédophile tueur d'enfants. Il lui envoie une lettre suffisamment intelligente pour passer la censure et savoir si son oncle est tombé dans les mains d'Avery. Le "jeu" passionne tout de suite le criminel...
Ce n'est pas du tout une lecture de printemps que nous propose Belinda Bauer, même si le livre s'achève à la belle saison. L'auteur a d'abord travaillé comme journaliste et a ensuite écrit des scénarios. Sous les bruyères est un premier roman adapté d'un de ses scénarios. Et pour un premier opus, il faut reconnaître le brio, l'intelligence, l'efficacité de cet auteur !
En quelque 300 pages, Belinda Bauer nous promène sur la lande d'Exmoor, à la suite de Steven, un gamin intelligent, opiniâtre, courageux, inventif et mal aimé, et dans le quartier protégé d'une prison, dans la tête d'un dangereux pédophile. Les lettres que s'échangent Avery et Steven deviennent les pièces d'un puzzle qui se met implacablement en place sous nos yeux. On a envie de crier à Steven : "Cesse de jouer avec le feu !", à sa mère : "Mais occupe-toi un peu de ton gamin !" La lande d'Exmoor devient un lieu dangereux et fascinant.
Belinda Bauer fabrique ce puzzle avec maîtrise, dans une précision toute photographique, on la sent inspirée du cinéma pour éviter les longueurs, nous faire ressentir les ambiances, les odeurs, la pluie, la misère, mettre en scène les moments musclés du livre.
C'est noir, réaliste, original ! J'espère que ce livre ne restera pas un coup d'essai.
Un tout grand merci aux éditions 10/18 et au forum Partage Lectures pour ce partenariat !
Invité- Invité
Re: [Bauer, Belinda] Sous les bruyères
on retrouve Steven dans le voleur d'enfants tristes
Parc national d'Exmoor, Angleterre. En cet été brûlant, le commissaire Reynolds est confronté à une série de disparitions. Des enfants laissés sans surveillance dans une voiture sont enlevés. Seul indice, une note sur le volant : « Vous ne l'aimez pas. » Pas de revendications, pas de rançon, pas d'espoir. Reynolds et Jonas Holly seront-ils capables de comprendre les motivations de cet étrange ravisseur ? Et ce n'est ni le passé trouble ni le comportement douteux du policier Jonas Holly qui risque de rassurer les habitants paniqués de la bourgade de Shipcott...
un bon polar pour les vacances
Parc national d'Exmoor, Angleterre. En cet été brûlant, le commissaire Reynolds est confronté à une série de disparitions. Des enfants laissés sans surveillance dans une voiture sont enlevés. Seul indice, une note sur le volant : « Vous ne l'aimez pas. » Pas de revendications, pas de rançon, pas d'espoir. Reynolds et Jonas Holly seront-ils capables de comprendre les motivations de cet étrange ravisseur ? Et ce n'est ni le passé trouble ni le comportement douteux du policier Jonas Holly qui risque de rassurer les habitants paniqués de la bourgade de Shipcott...
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Invité- Invité
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