[Erdogan, Asli] Requiem pour une ville perdue
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[Erdogan, Asli] Requiem pour une ville perdue
[Erdogan, Asli] Requiem pour une ville perdue
[Erdogan, Asli]
Requiem pour une ville perdue
Actes Sud 27 mai 2020
135 pages
Quatrième de couverture
Ce texte est un requiem à la mémoire d’une solitude, celle de l’auteure au cœur de son pays perdu.
De l’enfance, où la figure de la mère revient sans cesse, à la maturité tourmentée par l’engagement politique, esthétique et féministe, Aslı Erdoğan dévoile ici le ressouvenir absolu de son existence tendue depuis toujours vers la nécessité d’écrire. Car, dit-elle, “écrire c’était pour que mes mains puissent toucher l’invisible dans tout ce qui se voit”.
Au centre de cet art poétique se dresse, sublime, la ville d’Istanbul, telle une matrice vertigineuse. Et les ruelles de Galata, quartier tant aimé, arpenté, tel un labyrinthe grand ouvert sur le Bosphore.
Ce livre est par essence un monde intérieur, qui précède et accompagne jusque dans l’exil l’une des voix majeures de la littérature contemporaine.
Mon avis
Requiem pour une ville perdue ou l’auteure engagée mêle l’autofiction à la philosophie, c’est la force d’une femme que rien n’abat alors qu’elle nous fait ressentir son désespoir à sa façon, sa solitude, la profusion noire des images qu’elle nous décrit dans son récit, nous livre sa rage, sa colère et un souffle avec une telle intensité poétique s’adressant aux oubliée et disparus. C’est un très beau texte en douze chapitres exprimant les liens complexe entre dépression et vibration parvenant une fois encore à transmuer le réel avec une autobiographie somptueuse et nostalgique qui évoque plusieurs périodes de la vie de l’auteure turque exilée en Allemagne. Un très beau texte que j’ai apprécié, cependant que je ne saurais noté car j’y ai décelé beaucoup de tristesse face à son pays et sa solitude, ce qui m’a beaucoup touchée.
Après avoir été incarcérée en Turquie, puis libérée, Asli Erdogan disait ne plus pouvoir écrire. Heureusement elle revient enfin à l’écriture avec Requiem pour une ville perdue, où elle transfigure le désespoir et la solitude en raison d’être, d’écrire, de se souvenir.
Requiem pour une ville perdue
Actes Sud 27 mai 2020
135 pages
Quatrième de couverture
Ce texte est un requiem à la mémoire d’une solitude, celle de l’auteure au cœur de son pays perdu.
De l’enfance, où la figure de la mère revient sans cesse, à la maturité tourmentée par l’engagement politique, esthétique et féministe, Aslı Erdoğan dévoile ici le ressouvenir absolu de son existence tendue depuis toujours vers la nécessité d’écrire. Car, dit-elle, “écrire c’était pour que mes mains puissent toucher l’invisible dans tout ce qui se voit”.
Au centre de cet art poétique se dresse, sublime, la ville d’Istanbul, telle une matrice vertigineuse. Et les ruelles de Galata, quartier tant aimé, arpenté, tel un labyrinthe grand ouvert sur le Bosphore.
Ce livre est par essence un monde intérieur, qui précède et accompagne jusque dans l’exil l’une des voix majeures de la littérature contemporaine.
Mon avis
Requiem pour une ville perdue ou l’auteure engagée mêle l’autofiction à la philosophie, c’est la force d’une femme que rien n’abat alors qu’elle nous fait ressentir son désespoir à sa façon, sa solitude, la profusion noire des images qu’elle nous décrit dans son récit, nous livre sa rage, sa colère et un souffle avec une telle intensité poétique s’adressant aux oubliée et disparus. C’est un très beau texte en douze chapitres exprimant les liens complexe entre dépression et vibration parvenant une fois encore à transmuer le réel avec une autobiographie somptueuse et nostalgique qui évoque plusieurs périodes de la vie de l’auteure turque exilée en Allemagne. Un très beau texte que j’ai apprécié, cependant que je ne saurais noté car j’y ai décelé beaucoup de tristesse face à son pays et sa solitude, ce qui m’a beaucoup touchée.
Après avoir été incarcérée en Turquie, puis libérée, Asli Erdogan disait ne plus pouvoir écrire. Heureusement elle revient enfin à l’écriture avec Requiem pour une ville perdue, où elle transfigure le désespoir et la solitude en raison d’être, d’écrire, de se souvenir.
lalyre- Grand sage du forum
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