[Makine, Andreï] Une femme aimée
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[Makine, Andreï] Une femme aimée
[Makine, Andreï] Une femme aimée
[Makine, Andreï]
Une femme aimée
Seuil janvier 2013
ISBN 978 2 02 109551 7
363 pages
Quatrième de couverture
Défendre cette femme... Effacer les clichés qui la défigurent. Briser le masque que le mépris a scellé sur son visage.
Aimer cette femme dont tant d’hommes n’ont su que convoiter le corps et envier le pouvoir.
C’est cette passion qui anime le cinéaste russe Oleg Erdmann, désireux de sonder le mystère de la Grande Catherine. Qui était-elle? Une cruelle Messaline russo-allemande aux penchants nymphomanes? Une tsarine clamant son « âme républicaine »? La séductrice des philosophes, familière de Voltaire et Diderot, Cagliostro et Casanova? Derrière ce portrait, Erdmann découvre le drame intime de Catherine ? depuis son premier amour brisé par les intérêts dynastiques jusqu’au voyage secret qui devait la mener au-delà de la comédie atroce de l’Histoire.
L’art de ce grand roman transcende la biographie. L’effervescence du XVIIIe siècle européen se trouve confrontée à la violente vitalité de la Russie moderne. La quête d’Erdmann révèle ainsi la véritable liberté d’être et d’aimer.
Petite chronique
Le personnage central du roman est Catherine la Grande(1762-1796) une princesse allemande mariée à quatorze ans, au futur Pierre ll, qui fut assassiné lors de sa montée sur le trône. Le cinéaste russe d’origine allemande Oleg Erdmann est obsédé par l’histoire de cette femme aux milles facettes, elle a eu de nombreux amants, on la décrit comme une nymphomane cruelle. Mais voila la censure russe veille et l’on sait que dans les années 1990, la censure était celle de l’argent car dans son film, Oleg aimerait présenter la Grande Catherine autrement que comme une despote mais comme il s’agit de montrer beaucoup de scène de sexe pour faire le plus d’audience. Il voudrait présenter la femme qui se cache derrière la souveraine et pour cela il doit user de maintes ruses. C’est une femme aimée et passionnée, restée célèbre, éprouvant une grande amitié pour Diderot et Voltaire. Ce livre est un roman dans un roman car il y a l’histoire d’Oleg, à la recherche de son identité et c’est bien pour ce qu’il veut faire dans le film, ce qui lui tient au cœur, peut-être cela pourrait-il lui apporter une existence sereine et aussi d’atteindre le bonheur ? Voici un roman ou la vérité de l’être palpite et une plongée dans la vie privée et publique de cette femme aimée.
Mon avis
Que l’on ne s’y trompe pas, ce roman n’est pas une biographie car il y a beaucoup de contradictions sur la vie de cette souveraine, certains passages m’ont parus lassants. Un roman difficile à cerner par la difficulté de ma lecture, certes il y a des histoires de sexe, de jalousie et de recherche de l’amour, mais je n’y ai pas retrouvé le style d’Andreï Makine, dommage…
Une femme aimée
Seuil janvier 2013
ISBN 978 2 02 109551 7
363 pages
Quatrième de couverture
Défendre cette femme... Effacer les clichés qui la défigurent. Briser le masque que le mépris a scellé sur son visage.
Aimer cette femme dont tant d’hommes n’ont su que convoiter le corps et envier le pouvoir.
C’est cette passion qui anime le cinéaste russe Oleg Erdmann, désireux de sonder le mystère de la Grande Catherine. Qui était-elle? Une cruelle Messaline russo-allemande aux penchants nymphomanes? Une tsarine clamant son « âme républicaine »? La séductrice des philosophes, familière de Voltaire et Diderot, Cagliostro et Casanova? Derrière ce portrait, Erdmann découvre le drame intime de Catherine ? depuis son premier amour brisé par les intérêts dynastiques jusqu’au voyage secret qui devait la mener au-delà de la comédie atroce de l’Histoire.
L’art de ce grand roman transcende la biographie. L’effervescence du XVIIIe siècle européen se trouve confrontée à la violente vitalité de la Russie moderne. La quête d’Erdmann révèle ainsi la véritable liberté d’être et d’aimer.
Petite chronique
Le personnage central du roman est Catherine la Grande(1762-1796) une princesse allemande mariée à quatorze ans, au futur Pierre ll, qui fut assassiné lors de sa montée sur le trône. Le cinéaste russe d’origine allemande Oleg Erdmann est obsédé par l’histoire de cette femme aux milles facettes, elle a eu de nombreux amants, on la décrit comme une nymphomane cruelle. Mais voila la censure russe veille et l’on sait que dans les années 1990, la censure était celle de l’argent car dans son film, Oleg aimerait présenter la Grande Catherine autrement que comme une despote mais comme il s’agit de montrer beaucoup de scène de sexe pour faire le plus d’audience. Il voudrait présenter la femme qui se cache derrière la souveraine et pour cela il doit user de maintes ruses. C’est une femme aimée et passionnée, restée célèbre, éprouvant une grande amitié pour Diderot et Voltaire. Ce livre est un roman dans un roman car il y a l’histoire d’Oleg, à la recherche de son identité et c’est bien pour ce qu’il veut faire dans le film, ce qui lui tient au cœur, peut-être cela pourrait-il lui apporter une existence sereine et aussi d’atteindre le bonheur ? Voici un roman ou la vérité de l’être palpite et une plongée dans la vie privée et publique de cette femme aimée.
Mon avis
Que l’on ne s’y trompe pas, ce roman n’est pas une biographie car il y a beaucoup de contradictions sur la vie de cette souveraine, certains passages m’ont parus lassants. Un roman difficile à cerner par la difficulté de ma lecture, certes il y a des histoires de sexe, de jalousie et de recherche de l’amour, mais je n’y ai pas retrouvé le style d’Andreï Makine, dommage…
lalyre- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Makine, Andreï] Une femme aimée
Ouille ! Je l'avais remarqué à sa sortie et le résumé me plaisit bien mais je crois que je vais attendre d'autres avis avant de le noter. , Lalyre !
Invité- Invité
Re: [Makine, Andreï] Une femme aimée
Je viens de terminer ce livre... enfin !
Tout comme Lalyre, j'y ai trouvé pas mal de passages lassants.
Difficile de suivre l'histoire. Toutes ces histoires entre les réalisateurs, l' "embrouillamini " entre l'Allemagne, la Russie, les différentes maîtresses...
Bref, j'avoue que j'ai survolé quelques descriptions.
J'espérais beaucoup mieux de Makine.
Tout comme Lalyre, j'y ai trouvé pas mal de passages lassants.
Difficile de suivre l'histoire. Toutes ces histoires entre les réalisateurs, l' "embrouillamini " entre l'Allemagne, la Russie, les différentes maîtresses...
Bref, j'avoue que j'ai survolé quelques descriptions.
J'espérais beaucoup mieux de Makine.
Paprika- Grand sage du forum
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